Xss a écrit:Si tu crois que tu vas me faire changer d'avis, tu te goures franchement.
C'était pas le cas, je te dit juste de te méfier... Après faut savoir décrypter ce que je dit.
cataloof a écrit:Il y en a certainement qui aient des personnalités beaucoup plus susceptibles à succomber à ce sort "furry" que d'autres, sans que celles-ci ne soient les mêmes entre individus.
Tu me connaitrais, tu te demanderais surement ce que je fous ici (Je dois pas être le seul ceci-dit).
cataloof a écrit:Mais je crois alors que tout cela revient à être une question d'où nous prenons notre personnalité en général, et non pas juste le furry... Et ça, c'est différent pour chacun, comme dit. Mais sûrement, l'environnement ainsi que la génétique jouent tous deux rôles importants. La preuve? On apprend toujours à mépriser la famille pour ses défauts, même si on les partage.
En bref: les deux?
Non: Les 3.
La personalité (Théorie scientifique) viens des gènes, des proches, et de l'extérieur.
Les gènes joue un role dans les traits de base (Receptif au bonheur/malheur, compréhension plus ou moins rapide, etc) ce qui te fait une personnalité de base.
La famille te construit à leur image, mais tes amis aussi (Pouvant être contradictoire avec les parents) Et selon ce qui t'arrive durant ta vie tu peut changer du tout au tout. Ce qui fait que finalement, même des jumeaux, on est tous différent de personalités. Les gènes ne te construise pas à eux tout seul, et l'extérieur peut boulverser ta personalité, gêne ou pas gêne.
Changer c'est possible: On est pas comme on nait.
Oh oui, j'te crois par là, ça va! Ça n'impliquait pas l'absolu, plutôt seul l'évident général, tel que le faible pour les animaux ou bebittes animales quasi-imaginaires quelconques (du côté opposé de l'évidence, t'as pas vraiment des furry haïsseurs d'animaux ou ultra-fanatiques religieux, il me semble - tant qu'à y être, "si tu connaissais les gens que je connais"...).
autant mieux dire que çà partait plutôt bien