Litière! J'peux pu suivre ce bout de fil * s'aplatit *. Hé bien, voici.
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Il me semble que cette affaire furry soit à premier coup d'oeil plutôt environnementale, aussi, car c'est le seul côté qui soit définitif. Ça ce gagne, ça se perd. Personnellement, il y a certains aspects que je ne pense pas pouvoir expliquer purement de cette façon; c'est chic d'attribuer cela à une origine animale de naissance. Bien sûr, ca ne se prouve pas et l'explication est foutue. Au moins, s.v.p. ne me rappelez pas que je suis humain, ça me déprime

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Il y en a certainement qui aient des personnalités beaucoup plus susceptibles à succomber à ce sort "furry" que d'autres, sans que celles-ci ne soient les mêmes entre individus. Du moins, il est clair et drôlement mentionné que plusieurs en ont à faire exactement le contraire, et en n'étant pas/plus de ceux-ci, bien nous avons ça en commun, pas vrai?...
Mais je crois alors que tout cela revient à être une question d'où nous prenons notre personnalité en général, et non pas juste le furry... Et ça, c'est différent pour chacun, comme dit. Mais sûrement, l'environnement ainsi que la génétique jouent tous deux rôles importants. La preuve? On apprend toujours à mépriser la famille pour ses défauts, même si on les partage.
En bref: les deux?