Le Furry du jour

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Messagede Setsuki » 23 Juin 2006, 09:13

Tiens? Je savais pas... Il a enfin l'âge qu'il devrait avoir officiellement?
Désolé pour le retard, pour des raisons de pas d'internet j'ai pas pu poster...

Image
Fritz the Cat (en français Fritz le Chat) est un personnage de comics américain créé par Robert Crumb dans les années 1960.
Figure marquante des comics underground, cette bande dessinée pour adulte fut notamment adaptée dans deux films, dont un par Ralph Bakshi en 1972.

Le comics:
Fritz est le premier personnage crée par Crumb. L'auteur l'a créé quand il était enfant pour une BD qu'il réalisait avec son frère Charles. Fritz était au départ un simple chat nommé Fred mais en grandissant Crumb lui donna des caractéristiques humaines pour aboutir à la version définitive lors de son adolescence.
Crumb inséra occasionellement des éléments autobiographiques dans le comics, notamment des références à ses propres mésaventures sexuelles . La première histoire parut dans le numéro 22 du magazine Help en 1965. Cette histoire, intitulée Fritz Comes on Strong, voit Fritz ramener une jeune femelle chez lui et la déshabiller pour lui enlever des puces.
Le comics fut ensuite publié dans plusieurs autres magazines, Cavalier, Fug, et The People's Comics. Il eut son premier album complet en 1969.

Premier film
:
Fritz connut un regain de popularité avec la sortie du premier film tiré de la série, simplement intitulé Fritz the Cat. Réalisé par Ralph Bakshi et produit par Steve Krantz, ce film sorti en 1972 est le premier film d'animation classé X et reservé aux adultes.
Durant la production, le distributeur initial, la Warner Bros, rejeta le projet après avoir visionné quelques minutes de la version de travail. Crumb lui-même rejeta ce film animé, ce qui ne l'empêcha pas d'être un grand succès critique et générationnel.

Le rejet de Crumb par rapport à ce film alla jusqu'à lui inspirer un nouvel épisode de Fritz dans lequel il tue son personnage.
Dans l'histoire Fritz the Cat Superstar publiée en 1972, Fritz est dépeint comme une star d'Hollywood arrogante et exploitée par ses producteurs et son agent (caricaturant Bakshi et Krantz). Alors qu'il conduit sur Sunset Boulevard, Fritz est appelé par une fan lapine qui lui demande de la violer. Plus tard dans l'histoire, après avoir rencontré une ancienne amie autruche, Fritz quitte son appartement lorsque tout à coup il reçoit un coup de pic à glace dans le dos. Fritz est mort.

Mais La mort de Fritz sur le papier n'empêcha pas la sortie d'un second film:
The Nine Lives of Fritz the Cat. Sortie en 1974, cette suite encore produite par Krantz mais dirigée cette fois-ci par Robert Taylor (toujours sans l'aval de Crumb) n'eut ni la qualité ni le succès du premier film.


(Wikipédia)
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Messagede Setsuki » 25 Juin 2006, 20:28

*reviens en courant*
Raaah... désolé, encore en retard, et je préviens tant que j'y pense, il s'accumulera a partir du 11 juillet :oops:

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Au tout début des années 80, une bande de jeunes gens hirsutes et mal fagotés débarquaient dans la bande dessinée, bien décidés à y injecter le cynisme et la méchanceté nécessaire au réveil du genre. Faisant écho à l'énergie et aux ricanements du punk qui secouait l'Europe, ils allaient inventer sans trop le chercher un ton et un style qui font toujours école. Vuillemin, Berroyer, Tramber et Jano, et bien évidemment Rochette et Martin Veyron...
Avec Edmond le Cochon, ces deux-là étaient parvenus à faire se rejoindre la tradition française du dessin animalier, incarnée par Calvo et Benjamin Rabier, et la fureur de l'underground américain, dont Crumb et Corben représentaient deux pôles complémentaires. Redécouvrir aujourd'hui les aventures d'Edmond, ce cochon prêt à tout pour éviter la lame du boucher, c'est replonger aux racines d'une culture qui du Roman de Renart aux Aventures de Lapinot a toujours su, en prêtant aux animaux des sentiments humains, dire la part d'instinct animal qu'il y a en chacun de nous.
Réédité luxueusement à partir des originaux, ce premier volume d'une intégrale qui en comprendra deux, regroupe les albums parus en leur temps sous les noms de Edmond le cochon et Edmond le cochon va en Afrique, et permettra aux nostalgiques comme aux nouveaux venus de retrouver le meilleur de l'une des périodes les plus électriques de la bande dessinée. Hilarant et somptueusement dessiné.
Edmond le Cochon, qui apparaît aujourd'hui dans "L'Echo des Savanes" est un cochon, élevé et engraissé dans une ferme, et donc son avenir ne tient qu'à une seule chose : le couteau qui doit l'égorger lorsqu'il aura fait assez de gras. Ou plutôt, à deux choses : le couteau ET les gonzesses. Car Edmond le Cochon ne sera saigné que lorsque ses facultés de goret reproducteur viendront à baisser. Mais c'est compter sans une intelligence égale en quantité aux poils dans la patte de ce futé de cochon. Roublard, fainéant, teigneux, lâche et cynique, il n'hésite pas à sacrifier ses adipeuses compagnes pour ne pas satisfaire à ses obligations reproductrices et échapper malgré tout au boucher.
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Messagede Setsuki » 26 Juin 2006, 09:49

ImagePremière véritable longue histoire de Macherot, considérée aujourd’hui comme un classique de la bande dessinée belge, elle a un petit peu vieilli mais n’en conserve pas moins toute sa fraîcheur. On pense plus à Benjamin Rabier qu’à Walt Disney. Les personnages gardent en effet toute leur crédibilité d’animaux si ce n’est qu’ils parlent ou utilisent des objets empruntés aux humains. On retrouve là toute la créativité de Macherot. Une lampe à souder devient lance-flammes, des lames à raser fixées sur des bouts de bois, des hallebardes. C’est aussi le premier affrontement avec Anthracite, l’impitoyable roi des rats. On découvre aussi certains traits de caractère de Chlorophylle, qu’il perdra par la suite, à savoir une témérité qui lui vaudra pas mal d’ennuis. Apparition aussi d’un thème classique chez Macherot, la quête de nourriture par les carnivores (épisodes avec la vipère ou avec le chat et la fouine).
Chlorophylle est une bande dessinée créée par le Belge Raymond Macherot en 1954 dans Le Journal de Tintin. Celui-ci a animé la série jusqu'en 1965 avant de lancer dans Spirou Sybilline, qui reprend l'univers animalier de Chlorophylle ainsi que la poésie de ses aventures et de ses dessins mais chez un autre éditeur. Après cette date, différents auteurs mettront en scène, avec moins de talent, l'univers de Chlorophylle.

(macherotbd.free.fr-wikipédia)
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Messagede Setsuki » 27 Juin 2006, 10:16

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Calimero est une série télévisée d'animation italienne en 45 épisodes de 20 minutes ou 90 de 10 minutes, créée par Nino Pagot, Toni Pagot et Ignazio Colnaghi et diffusée à partir de 1974 sur TF1.
Une deuxième série italo-japonaise, intitulée Les Amis de Calimero, en 52 épisodes de 20 minutes mettant en scène un Calimero « rajeuni » a été créée en 1992 et diffusée en France à partir du 29 janvier 1996 sur TF1.
Cette série, destinée aux enfants, raconte les mésaventures d'un poussin noir, coiffé d'une coquille d'œuf, sur qui le sort s'acharne et dont la réplique favorite est « C’est vraiment trop injuste ! ». Cependant, en réalité, en dépit de sa bonne volonté, il a toujours réuni les conditions du désastre (et de la punition) dont il se plaint. De ce fait, son nom est passé en désignation proverbiale d'une personne qui se plaint toujours et sans reconnaitre ses torts.
À l'origine, Calimero est un personnage créé en 1963 pour les besoins d'une publicité pour une marque de lessive italienne. Tombé dans la boue à sa naissance, le poussin noir retrouvait sa couleur grâce à la lessive Ava.
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Messagede Setsuki » 29 Juin 2006, 20:40

A l'occasion de sa sortie proche en DVD, je vais vous parler d'un film qui m'a bercé vers mes trois ans, comme Porco Rosso ou d'autres petits bijoux furries d'animation...

Image
Le Monde de Totoro est véritablement un monde à part. Dans Mon Voisin Totoro vous découvrirez une famille attendrissante, des personnages étranges, des décors de toute beauté et les fameux Totoros, gardiens de la forêt...
Destiné aux plus jeunes, Mon Voisin Totoro séduit aussi les plus âgés par le merveilleux et la rêverie que propose le dessin animé. La magie des Totoros, leurs pouvoirs et la philosophie du scénario vous transporteront pendant près d'une heure et demi dans un autre monde...
Deux petites filles vont vivre une expérience innoubliable... Alors que Mei et Satsuki déménage en pleine campagne pour se rapprocher de l'hôpital dans lequel se trouve leur mère, les 2 soeurs vont faire des rencontres inattendues et surprenantes.
Le passage de la ville à la campagne pour les 2 petites filles est un émerveillement de chaque instant. La découverte de la nature, des animaux, des paysans et l'arrivée dans une maison traditionnelle japonaise vont être une source inépuisable de curiosité.
Granny, la grand-mère et Kanta son petit-fils vont les aider dans leur eménagement même si ce dernier est d'une timidité maladive. Granny confie aux petites filles qu'il existe des esprtis magiques dans la forêt qui borde la maison et Mei ne va pas tarder à les rencontrer...
Dans le grenier Mei découvre les susa-atari, les petites boules noires qui s'enfuient dès qu'elle s'en approche. Un peu plus tard elle fera la rencontre de Chu Totoro et de Chibi Totoro dans le jardin; en les suivant elle découvrira Dai Totoro, le chat géant gardien de la forêt.
Lorsque Mei raconte son histoire, sa soeur Satsuki ne la croit pas mais l'arrivée de Totoro et du Chat Bus alors qu'elles attendent l'arrivée de leur père va changer les choses. En attendant, le temps passe et les visites auprès de leur mère malade se succèdent.
Mais alors que celle-ci doit rentrer dans sa famille, les médecins de la maman de Mei et Satsuki lui conseillent de rester quelques jours de plus à l'hôpital; Mei qui se faisait une joie de ce retour ne l'accepte pas et court rejoindre sa mère, un épis de maïs dans les bras mais elle se perd...
Après des heures de recherches qui ont mobilisées tous les habitants du village, Satsuki est à bout de force lorsqu'arrive le Chat Bus. Mei est rapidement retrouvée grâce à son aide et l'épis de maïs est alors déposé près de la maman sous l'oeil des 2 petites filles assises dans l'arbre aux côtés du Chat Bus.
Totoro est le gardien de la forêt. Il a la faculté d'apparaître et de disparaître en un instant et il ne peut être vu que par les enfants. Il présentera son univers aux 2 jeunes filles, accompagné de Chu Totoro et de Chibi Totoro et il n'hésitera pas à faire appel au Chat-bus pour retrouver Mei.
(http://www.maxoekissa.com)
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Messagede dj_ponyhard » 30 Juin 2006, 12:05

Et c'est un film qui tient la route alors qu'il n'y a aucun "méchant"
Je tire mon chapeau au studio Ghibli pour ce chef d'oeuvre :wink:
"cheval = plus belle conquete de l'homme"... prrrt :/
et le poney dans tout ça?
... et quelle criniere ^^
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Messagede Rimou » 30 Juin 2006, 14:50

Ah si ! Les méchants ce sont les dessinateurs de ce DA qui mériteraient qu'on revende leurs mains au marché noir tellement c'est des enflures de faire des décors aussi beaux ! *mode camisole et bouche qui mousse* :shock:
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Messagede Setsuki » 01 Juil 2006, 20:06

Rimou a écrit:Ah si ! Les méchants ce sont les dessinateurs de ce DA qui mériteraient qu'on revende leurs mains au marché noir tellement c'est des enflures de faire des décors aussi beaux ! *mode camisole et bouche qui mousse* :shock:

Bah, de toutes façons, Ghibli à ce niveau....

Bon, Et aujourd'hui, moins de décors: Catharsis.
crée en 2002 par J. Boeke, le webcomic Catharsis nous présente les histoires de Rremly, un dragon domestique, Gwen, sa maitresse, Baxter, un écureuil "sauvage" à l'esprit punk, Aya, une chatte Ninja, et d'autres...(par exemple, des cerises indigènes).
Bien que se disant non-furry (voir gag N°"j'ai pas retrouvé"), la majorité des personnages sont anthropomorphes.

Aujourd'hui, je me baserai uniquement sur le personnage de Rremly.

Image
Nom: Rremly.
Age: quatre cent quelque chose.

Bio: Au début de sa vie, Rremly fut adopté comme animal de la famille royale. Alors que "sa" princesse grandissant, Rremly se débrouilla seul. On en sait à présent un peu plus sur son passé, ou comment il fut amené a vivre avec Gwen, mais il trouve le bonheur en habitant avec elle et ses autres ... "amis"... dans son petit appartement. Rremly n'est pas très brave, Mais il se rattrape par son sens de l'amitié et sa fidélité. Malgré son age, il n'est pas extrèmement experimenté.
Note: Rremly peut changer de couleur comme un caméléon, mais cela lui demande beaucoup d'efforts, et, étant a présent Americanisé, moins il fait d'efforts, mieux il se porte.
aime: écureuils, les gens, voler, bruler des choses, la glue, les trucs qui brillent, faire des marionettes avec des chausettes.
n'aime pas: le JT, Gwen triste, Gwen enervée, être accusé de vol de chausettes.


Le furry du jour a écrit:Rremly peut changer de couleur comme un caméléon

Je réclame des droits!
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Messagede Setsuki » 04 Juil 2006, 12:25

:cry: Retard retard, internet pas marcher, orage tomber, broum broum, Setsuki apeuré, désolé.

Image
Film d'animation de Tim Johnson et Karey Kirkpatrick (Etats-Unis) - Durée: 1h30 environ
Nos Voisins Les Hommes(Over The Hedge) est le troisième film d'animation produit par Dreamworks à être présenté en sélection officielle à Cannes après les deux Shrek, mais celui-ci l'est hors compétition.
RJ a la voix de Bruce Willis, la tortue Verne celle de Garry Shandling (très connu pour son show télévisé entre 1992 et 1998), Nick Nolte est aussi présent.

L'histoire
Le printemps est de retour. La tortue Verne et ses amis sortent d'un long sommeil hivernal. Mais, entre-temps, ô surprise, une grande "chose" verte a poussé à l'orée du bois et envahi leur domaine. Surgit alors le raton laveur RJ, jamais à court de combines et d'explications. Il s'agit, leur dit-il, d'une HAIE, destinée à protéger le domaine enchanté du "Bien-être", habité par les Humains, ces créatures d'un genre particulier qui vivent pour manger, au lieu de manger pour vivre.
Le pusillanime Verne, qui se méfie de RJ (et le jalouse un peu), se convainc que lui et sa famille doivent rester de ce côté-ci de la haie - on n'est jamais mieux que sous sa carapace. Mais l'habile RJ persuade les hôtes du bois qu'"ailleurs l'herbe est plus verte", et qu'ils n'ont rien à craindre de leurs nouveaux voisins. Commence alors une grande aventure dans cet étrange univers qu'on appelle "Banlieue".
(france2.fr)

Ce film étant encore en pleine promotion, il est difficile de donner plus d'informations que sa synopsis et quelques détails, mais si vous l'avez vu, postez vos critiques :)
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Messagede dark blood » 04 Juil 2006, 13:56

vivi moi je l'ai vu! j'ai franchement bien aimé (sauf la tite moral, mais il en faut bien une alors tant qu'à faire). les perso sont vachement attachant avec petit plus pour l'écureuil hyperactif, Zamy, et l'opposum dramaturge Ozzie. Je le conseille: on passe un bon moment.
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Messagede Setsuki » 05 Juil 2006, 12:27

La Terre il y a 65 millions d'années, comme si vous y étiez.
Image
Paléontologues amateurs, collectionneurs passionnés de dinosaures, Disney vous offre une synthèse jurassique en 3D. Avec ses "3,2 millions d'heures de traitement de données numériques", Dinosaure se présente avant tout comme une éblouissante prouesse technique.
Un troupeau survolé par un Ptéranodon La scène d'ouverture est tout bonnement à couper le souffle: passant de bec d'Oviraptor en griffes de Ptéranodon, un œuf de dinosaure, abandonné par sa maman, survole vallées, falaises et océans à la beauté originelle, où les reptiles règnent en maîtres. Ainsi, les vues aériennes de troupeaux de dinosaures en train de paître offrent aux spectateurs un véritable safari préhistorique. Réalisme bluffant (attention aux cauchemars pour les tous-petits) jusque dans chacun des trente personnages, dessiné et animé écaille par écaille et dent pour dent par les animateurs Disney, suivant les indications précises de paléontologues renommés. Car, voyez-vous, un Styrachosaure ne se meut pas comme un Iguanodon et un Carnotaure réussit beaucoup moins bien les clins d'œil qu'un Brachiosaure.
Et l'histoire dans tout ça? On l'oublierait presque. Le petit Iguanodon qui sortira de l'œuf deviendra Aladar, un grand dadais idéaliste, élevé par un groupe de lémuriens dont les facéties n'ont rien d'inédit (on apréciera tout de même le doublage très hip-hop de l'un d'eux par Djamel).
Cours, Aladar, cours! Quand une météorite réduira en miettes leur île (magnifique feu d'artifice apocalyptique, mais qui ne correspond pas à la fameuse météorite qui extermina les dinosaures), la petite troupe sera contrainte de s'intégrer à une horde de dinosaures en route vers une terre verte et promise. des dixaines de milliers de poils ont été modélisés pour chaque lémurien
Et Aladar, en Moïse des dinosaures, leur fera comprendre que la survie à cet éprouvant trajet dépend de leur entraide mutuelle...
L'originalité scénaristique n'est donc pas le meilleur atout de ce Bambi à la sauce préhistorique. Disney a toujours fait parler et philosopher ses "héros" à quatres pattes comme les humains. Anthropomorphisme de charmant aloi pour des faons, des lapins et des petites souris, mais moins emballant pour ces géants d'un autre âge, qui, à cause de mièvres dialogues, perdent une part de leur superbe. Qu'importe. Les adultes tiqueront, sans doute, sur ces quelques négligences, mais ouvriront d'aussi grands yeux que les plus jeunes devant cette superproduction antédiluvienne.
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Messagede dark blood » 05 Juil 2006, 17:24

dinosaure... Arf, ça aussi j'aime bien (même bcp)...
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Messagede Setsuki » 07 Juil 2006, 14:32

Image
Un petit d'homme, Mowgli, est élevé dans la jungle par des loups, jusqu'à ce qu'il devienne dangereux pour lui de rester à cause de Shere Khan, le tigre, qui a juré de tuer l'enfant. Bagheera, la panthère, est choisie pour accompagner Mowgli dans son voyage de retour à la civilisation, mais elle a beaucoup de difficultés parce que le garçon n'a pas l'air d'avoir envie de partir. Après avoir rencontré l'ours Baloo, un adorable « fainéant de la jungle », Mowgli est encore plus sûr de vouloir rester avec ses amis. Après sa rencontre avec Louie, le roi fou des singes, et alors que Baloo et Bagheera le pressent de retourner au village humain, Mowgli s'enfuit. Seul dans la jungle, il tombe nez à nez avec Shere Khan et c'est seulement grâce à l'intervention de dernière minute de ses amis, qu'il parvient à vaincre le tigre. Peu de temps après, il rencontre une jeune fille du village des humains et retourne de son plein gré vers la civilisation.
Le célèbre conte de la jungle de Rudyard Kipling(paru en 1894) fut le dernier dessin animé supervisé par Walt Disney, et devint le numéro un de tous les films Disney en termes de succès d'audience. Richard M. et Robert B. Sherman écrivirent les chansons qui incluent « I Wanna Be Like You », « Trust in Me », « My Own Home », « That's What Friends Are For », et « Colonel Hathi's March », et Terry Gilkyson fournit la chanson qui reçut une nomination aux Oscars®, « Bare Necessities ».
Il fut réalisé par Wolfgang Reitherman. Voix : Phil Harris (Baloo), Sebastian Cabot (Bagheera), Louis Prima (Louie), George Sanders (Shere Khan), Sterling Holloway (Kaa), J. Pat O'Malley (Vautour), et Bruce Reitherman (Mowgli). Durée : 78 min. Il est ressorti en salle en 1978, 1984, et 1990 et est sorti en cassette vidéo en 1991. Une version de l'histoire avec des personnages réels est sortie en 1994.
(wikipédia, disney.fr)

Allez, avec moi; :dance: il en faut, peuuu pour être heureux... :dance:
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Messagede Lord Foxhole » 07 Juil 2006, 19:23

Setsuki a écrit:Allez, avec moi; il en faut, peuuu pour être heureux... :dance:


Baloo a écrit:Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux
Il faut se satisfaire du nécessaire
Un peu d'eau fraîche et de verdure
Que nous prodigue la nature
Quelques rayons de miel et de soleil.

Je dors d'ordinaire sous les frondaisons
Et toute la jungle est ma maison
Toutes les abeilles de la forêt
Butinent pour moi dans les bosquets
Et quand je retourne un gros caillou
Je sais trouver des fourmis dessous.
- Essaye c'est bon, c'est doux, oh!
Le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence. (Georges Abitbol - La Classe américaine)
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Messagede Loupy » 08 Juil 2006, 07:30

Je suis aller voir nos voisins les hommes, c'est génial.
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