Le Furry du jour

de **Defurét** » 19 Avr 2006, 23:12

Aaiiee! Les schtroumpfs me font peur! Je blague pas...j'ai une phobie depuis l'âge de trois ans...

de **Setsuki** » 20 Avr 2006, 11:19

Flin a écrit:Je n'ai eu l'occasion que de lire "Variations" et je l'ai trouvé formidable.

T'as commencé par, selon moi, le meilleur, mais les autres restent fabuleux également!

Defurét a écrit:Aaiiee! Les schtroumpfs me font peur! Je blague pas...j'ai une phobie depuis l'âge de trois ans...

vraiment? Hola... tu veux que je change l'image?

de **Lord Foxhole** » 20 Avr 2006, 11:49

Defurét a écrit:Aaiiee! Les schtroumpfs me font peur! Je blague pas...j'ai une phobie depuis l'âge de trois ans...

C'est vrais que si tu as été confronté à la série pondue par Hanna-Barbera, au début des années 1980, il y avait de quoi être traumatisé ! C'était esthétiquement hideux et moralement culcul-la-praline ! :roll:

Voilà ce qui arrive quand on confie des personnages de BD belges à des Etats-uniens : on obtient des trucs qui terrorisent les pôvres petits nenfants !

de **Defurét** » 20 Avr 2006, 22:02

Voilà ce qui arrive quand on confie des personnages de BD belges à des Etats-uniens : on obtient des trucs qui terrorisent les pôvres petits nenfants !

Non, c'est bien possible que les yanks aiment ces petits monstres. C'est les canadiens qui ont peur d'eux, probablement du fait qu'il portent pas de chemises...au Canada (surtout en hiver) ça serait fatale. 8-)

OK, la vraie raison est probablement parce-qu'il y avait une grande peluche (un schtroumpf bien sûr) à ma maternelle. C'était presque deux fois plus grand que moi... :shock:

de **Setsuki** » 21 Avr 2006, 11:20

Defurét a écrit:C'était presque deux fois plus grand que moi...

Il m'est arrivé la même chose avec le ski, je me suis retrouvé sur des skis et un chasse-neige devant moi... à 6 ans ça fait peur!!! il m'a fallu environ 5 ans pour remonter sur des skis^^

Bon, j'arrête avec les shtroomfphes.

Les formidables aventures de Lapinot nous invitent à entrer dans un monde propre à Lewis Trondheim, où les réflexions pseudo-philosophiques sur des thèmes comme l'amour, la religion, les problèmes quotidiens sont traitées avec intelligence et surtout humour.
Mais le dépaysement n'est pas total, le lecteur parvient toujours à conserver ses marques : l'univers de Trondheim a toutes les apparences de la région parisienne, avec, parfois des détours par des époques ou des ambiances révolues (western, polar). Ainsi les dialogues, résolument modernes, se répercutent bien mieux.
Quant aux personnages, même s'ils ne sont pas à proprement parler humains, en ont l'esprit. Vils, généreux, honnêtes, impitoyables... Tous les caractères se fondent et égalent presque les fables de La Fontaine.
Les scénarii sont particulièrement originaux et bien traités, allant d'aventures mêlant de terribles malédictions (pichenettes) à des investigations journalistiques mettant en lumières les actions rebelles d'un groupe " d'écolos " voulant éviter la pollution de la lune (la couleur de l'enfer).
Bien que toutes ses intrigues se placent sur un fond de vie quotidienne, Lewis Trondheim a le génie de réussir à en tirer le meilleur. Jamais on ne sombre dans l'ennui, seul le plaisir de la lecture est présent.
Les dialogues y sont sûrement pour quelque chose : ils sont incroyablement complets et denses, souvent drôles, parfois réfléchis, mais toujours diablement efficaces ! Le dessin est le seul point déroutant des formidables aventures de Lapinot. Il est simplifié grandement (on dirait du graphisme vectoriel) et totalement original.
Il faut quelques minutes pour s'y habituer puis, soit l'adorer, soit l'exécrer ; c'est un obstacle qui peut rebuter quelques potentiels lecteurs, mais ils ne savent pas ce qu'ils perdent... N'hésitez pas une seule seconde si vous ne connaissez pas encore. Les formidables aventures de Lapinot sont forcement faites pour vous !

(http://bd-livres.krinein.com)

de **Setsuki** » 23 Avr 2006, 14:00

Aujourd'hui, coup de nostalgie(quelle belle rime).
Jazz Jackrabbit

le héros, Jazz, fut crée vers fin 1993. l'idée originale, si l'on peut appeller cela "original", était de faire de Jazz un astronaute. cependant le thème de l'espace était très utilisé dans les jeux vidéos à cette époque, il fut donc décidé de faire quelque chose qui se démarquerait plus.
Il fut vite décidé qu'il serait un lapin vert. Le nom de Jazz vient du nom du chien de l'un des créateurs du jeu. Nous n'avons cependant aucun autre indice nous permettant d'en savoir plus sur ce qui a inspiré ce personnage. malgré le problème cité plus haut, le thème de l'esapce fut gardé pour Jazz Jackrabbit 1.
sa quète est simple: il doit arreter Devan Shell, la tortue maléfique qui souhaite annihiler les lapins.
(texte original: http://www.jazz2online.com, traduit par bibi)

Le premier opus de ce jeu a remporté un succès modeste grâce a ses petites innovations dans le jeu de plate-forme, cependant, Epic megagames ne s'est pas arreté là et à misé un maximum sur le second opus: génériques, animations fluides, disque additionel... Si je me souviens bien, une série fut entamée également... Et cela marcha, le jeu eut droit à son quart d'heure de gloire, qu'il avait tout de même mérité.

Vous pouvez télécharger légalement les jeux(les droits n'étant plus protégés) jazz jackrabbit 1 et 2

mmm... pas bien gros comme furry du jour

de **Defurét** » 24 Avr 2006, 21:47

Pas de furry aujourd'hui? Dommage...

de **ano1** » 25 Avr 2006, 20:02

Setsuki viens de terminer à l'instant une LAN de deux jours chez moi, d'ou la raison d'absence de données :wink:

de **Setsuki** » 26 Avr 2006, 16:38

En effet, pas de furry hier :cry:

Et je n'ai pas le temps d'en faire un maintenant

Je suis désolé.. j'essaierai d'en poster un aujourd'hui mais... je promets rien.

de **Defurét** » 27 Avr 2006, 02:55

Eh...ne t'en fais pas. Je peux attendre.

de **Setsuki** » 27 Avr 2006, 21:46

On continue avec les furries pas-dessinés et un truc culte.
"La planète des singes" est inspiré d'un roman de Pierre Boulle.

Film de Franklin Schaffner sorti en 1967 chez la Fox.

A l'époque des premiers voyages hors du système solaire, quatre astronautes se voient confier la mission d'explorer le système d'une étoile sitée dans la constellation d'Orion. Le voyage se termine en l'an 3979 par un crash sur une planète inconnue et la mort de l'un des astronautes. La planète sur laquelle débarquent les survivants est apparemment viable pour leur survie. Commence alors une longue exploration et la traversée d'une vaste étendue désertique, au cours de laquelle le moral des hommes est mis à rude épreuve, jusqu'à la découverte des premières formes de vie puis d'une gigantesque oasis. Surprise : celle-ci est habitée par une espèce proche de l'espèce humaine mais apparemment dénuée de la parole, qui fuit rapidement à l'approche de cavaliers... simiesques ! Capturé, Taylor va devoir faire la preuve de son "humanité". Mais certaines théories et certaines preuves risquent de déranger...

Découvert par Hollywood, "La planète des singes" fait rapidement l'objet d'une adaptation cinématographique de la part de Franklin J. Schaffner, laquelle consacre l'un des plus grands rôles de Charlton Heston. Il est nécessaire ici de rappeler que la réalisation devait initialement échoir à Blake Edwards ("Diamants sur canapé", "La panthère rose"), mais que Charlton Heston aurait imposé Franklin Schaffner, qui l'avait précédemment dirigé dans "Le seigneur de la guerre".
L'esprit de l'oeuvre originale est formidablement bien conservé, même si le scénario en diffère quelque peu. Cette première adaptation diverge fortement du livre dans le dénouement, mais là encore, quel choc ! Il est fort à parier que la plupart des spectateurs de ce film n'oublieront pas de sitôt les mots de Charlton Heston, de ces mots qui se gravent au burin dans la mémoire... L'apocalypse finale est tellement mémorable qu'elle pourrait servir d'icône.

Quatres suites furent créées, mais aucune ne remporta le même succès. Une série finit de détruire tout espoir de tirer encore de l'argent de l'idée de la planète des singes.

Tim Burton fit un remake en 2001, mais un échec, une fois de plus.

de **Setsuki** » 27 Avr 2006, 21:54

Voila, celui de mardi est rattrapé
celui d'aujourd'hui maintenant:

Félix le Chat est un personnage de dessin animé américain créé par Otto Messmer ou Pat Sullivan. Encore aujourd'hui, il est difficile de savoir qui en est le véritable créateur : Pat Sullivan décédé, son assistant Otto Messmer revendiqua le personnage. Feline Follies (1919) était le premier film du chat. La série a eu un succès international tout au long des années 20, mais avec la venue des films parlants américains et la création de Mickey Mouse, Félix perdit rapidement de sa popularité. Félix réapparut plus tard à la télévision américaine dans les années 60 sous la direction de Joe Oriolo.
La première version de Félix le chat apparait sous forme de petites bandes dessinées humoristiques au début des années 1900 dans les journaux.
Il faudra attendre 1919 pour le voir dans des court-métrages au cinéma (le premier s'intitulant Feline Follies), puis 1922 pour le voir héros dans une première série dédiée en Noir et Blanc (chez Pat Sullivan Cartoons) de 154 épisodes. Cette série proposait Félix (et uniquement lui) dans des petits sketches et aventures amusantes.
La série que nous connaissons est la seconde mettant en scene le petit chat. C'est dans celle-ci que sont crées et qu'interviennent tous les personnages secondaires connus (le Professeur, Petit Biquet, Maître Cylindre...) et l'intrigue du sac magique (dont le concept a certainement inspiré Filmation pour le dessin animé Sport Billy).
On compte une autre série issues de la licence Felix the cat : "the twisted adventures of Felix the cat" (en 1995 : 33 épisodes)

de **Lone_Fox** » 27 Avr 2006, 21:58

Concernant La Planète des Singes, les esprits éclairés du forum pourront peut-être apporter les réponses à mes questions.
En effet, on a dit que la fin du film de Tim Burton (pas vraiment un remake) est conforme à celle du livre.
Or, j'avoue que je ne l'ai absolument pas comprise. Je suis peut-être un peu épais, mais tout au long du film on voit des corps célestes qui n'ont rien à voir avec ceux qui orbitent autour de la Terre - le film se passe donc sur une autre planète. Et paf, à la fin les USA sont peuplés de singes.
...
What the f..k ?
Quelqu'un pourrait-il enfin m'expliquer ?

de **Lord Foxhole** » 27 Avr 2006, 22:12

Lone_Fox a écrit:Concernant La Planète des Singes, les esprits éclairés du forum pourront peut-être apporter les réponses à mes questions.
En effet, on a dit que la fin du film de Tim Burton (pas vraiment un remake) est conforme à celle du livre.
Or, j'avoue que je ne l'ai absolument pas comprise. Je suis peut-être un peu épais, mais tout au long du film on voit des corps célestes qui n'ont rien à voir avec ceux qui orbitent autour de la Terre - le film se passe donc sur une autre planète. Et paf, à la fin les USA sont peuplés de singes.
(...)
Quelqu'un pourrait-il enfin m'expliquer ?

Je te rassure : personne n'y a rien compris... Pas même moi !!!

La seule explication « plausible » qui me vienne à l'esprit est le héros n'est pas retourné dans le passé... Mais a carrément glissé dans un univers parallèle ! :duh:

Bon, d'accord, je n'y connais pas grand chose en déplacements spatio-temporels...
Heu... Prof Théodose, au secours !!!

Site Internet · de **Loupy** » 28 Avr 2006, 06:32

Les corps célèstes bougent dans le ciel terrestre au cours des millénaires.

Le Furry du jour

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