Sans pour autant verser dans les méandres sombres du bdsm, il ne faut pas oublier qu'un certain nombre de personnes apprécient d'être réduite à l'état de "pet" pour oublier les responsabilités qui pèsent sur leurs épaules en temps normal (boulot, soucis personnels, etc).
Je n'irai pas jusqu'à faire une généralité du fait mais globalement, une partie des gens ayant des responsabilités souhaitent décompresser en se faisant dominer (dominer, ne veut pas dire bdsm, mais une relation inversée par rapport à ce qu'ils vivent dans leur vie professionnelle ou autre).
A contrario, on peut imaginer le phénomène inverse où ceux n'ayant pas de responsabilités souhaitent pouvoir être de l'autre côté du "mur".
De plus, il ne faut pas croire qu'un dominé perde toutes ses libertés. Si on est un minimum prudent, il y a toujours un mot clé permettant de mettre fin à cette domination (question de sécurité en cas de bd ou bdsm).
De même, on peut déduire de ci-dessus une graduation entre les dominés... ceux qui veulent être dominer tant que ça leur plaît (et qui garde, en quelque sorte, une main-mise sur la domination exercée vu qu'il choisit d'arrêter quand il le souhaite), ceux qui désirent une domination totale pendant quelques heures ou permanente, etc...
Il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier
