[Histoire]We are friend Speed Writing

[Canislupus]

[Skianous]

Le plus triste, c'est que ce genre de choses arriverait sûrement si les furries existaient pour de vrai.

En tout cas, c'est dingue la façon dont tu fais progresser ton histoire, autant de progrès en seulement quatre chapitres !

[Pr. Théodose]

Mon commentaire ne sera pas des plus originaux, mais je rejoins les autres lecteurs dans leurs appréciations : cet écrit se révèle d'une lecture extrêmement fluide en dépit de son rythme un peu syncopé et parvient à retranscrire les émotions des personnages d'une manière bigrement efficace. En tant que nouvelliste ayant la concision et l'efficacité narrative comme mots d'ordre, je me dois de saluer la performance réalisée et son résultat surprenant.
Il se trouve que j'ai en tête un brouillon de nouvelle au scénario assez similaire au tien mettant en scène des félins très peu humanisés (Madox m'a d'ailleurs réalisé un très joli dessin à ce sujet) mais je butte actuellement sur une scène d'amour que je souhaiterais aussi douce et tendre que possible sans qu'un quelconque aspect scabreux puisse en ternir la lecture.

Sinon j'ai quelques interrogations à propos de l'élaboration de ce récit, notamment son caractère spontané : As-tu écrit cette histoire comme s'il s'agissait d'un conte que tu déroulais au fur et à mesure de la "veillée" virtuelle ? Ou bien s'agissait-il d'un "film intérieur" déjà prêt que tu transformais progressivement en mots ?

Autre petite question : suis-je le seul à voir eu l'impression tenace de lire par moment le livret d'une comédie musicale au rythme entraînant ? Certains passages convergent vers le slam ou la poésie plus classique, notamment la fin des chapitres 2 et 3, mais ils me rappellent aussi des scènes de "Starmania" avec Ziggy et Marie-Jeanne.

[Loane]

Merci encore pour tous ces compliment, ça me fait chaud au cœur .

As-tu écrit cette histoire comme s'il s'agissait d'un conte que tu déroulais au fur et à mesure de la "veillée" virtuelle ? Ou bien s'agissait-il d'un "film intérieur" déjà prêt que tu transformais progressivement en mots ?

Hum... Alors que je t'explique. J'avais déjà quelque idée en vrac ( les persos ( Djin et loane ) et le contexte ), avant de commencer a écrire, je me met en condition par rapport a se que je veux montrer ( pour cela que je ne peux pas continuer mon histoire quand je veux ( c'est quand mon esprit le veux )). Ensuite je choisis une musique ( par exemple pour le 1, 2 et 3, j'ai travaillé avec Reason de Tamaki Nami ( et pour le 4, j'ai ripé entre celle la et l'OST de pearl Harbor )). Ensuite, je commence par une description des sentiments ( pour m'intégrer au perso ). Le fait de raconter des sentiments a grande vitesse est dût a la vitesse de mon esprit étant à la place du perso. Ensuite, l'enchainement de l'histoire se fait au tac au tac, tout en sachant ou je vais, CAD que tout se qui concerne sentiment, parole et action de l'histoire : je ne la connais pas. Se que je connais : la trame.
Donc en conclusion : je deroule au fur et a mesure l'histoire dans mon esprit ( et dans la veillée ), tout en me mettant complétement dans la peau de mes perso et ayant un " film intérieur" flou pré-pensé.
Un peu dur, car après je suis complétement vidé ( mentalement ), mais c'est un exercice sympathique.

suis-je le seul à voir eu l'impression tenace de lire par moment le livret d'une comédie musicale au rythme entraînant ? Certains passages convergent vers le slam ou la poésie plus classique, notamment la fin des chapitres 2 et 3, mais ils me rappellent aussi des scènes de "Starmania" avec Ziggy et Marie-Jeanne.

Héhé, comme je l'ai dit plus haut, j'écris avec la musique, si ma musique est rapide le récit aussi, si ma musique est triste le texte aussi. C'est peut-être ça ton impression, et puis j'aime quand il y a un rythme, pour moi la vie est une musique ( et après je dois un peu le montrer dans mes histoire ^^ )

[kushimushi]

En fait c'est une histoire ayant pour thème la discrimination, mais avec un bonhomme furry, je dois avouer que ça fait mal au cœur car on imagine des comportements animal d'amitié et c'est très mignon, j'adore!

De plus, tu ne décrit pas trop le personnage, donc le lecteur peut s'imaginer son furry, et c'est ce qu'il y avait de mieux à faire sur ce forum

bravo ^^

[Snokami]

C’est très beau ce que tu écris Loane, j’ai hâte de lire la suite…

[Sletos]

A quand la suite ?

[Loane]

We are Friend Speed Writting Partie 5

« Loane, peux tu venir ? »

*Voila 2 jours que nous sommes caché
*je n'arrive plus a dire un mot
*je suis comme muée

*« Loane, s'il te plais j'aimerai te parler »

*La mère de Djin voulais me parler, mais je n'osai pas la regarder
*j'ai honte
*de moi et de se que je suis

*« Pitié Loane, c'est important, Pitié »

*Je leva la tête
*elle pleurai
*donc je lui fit signe que je la suis
*elle me remercia
*se leva et marcha dans une direction précise

* « Loane...
*Aimes tu Djin ?
*Vraiment »

*J'ochai la tête

* « je vois dans tes yeux la vérité, alors je vais t'enseigner quelque chose d'important
*Un homme et un furry ne peuvent s'aimer
*Il ne peuvent vivre l'un s'en l'autre, mais en aucun cas s'aimer
*Mais toi
*Tu l'aimes
*Mais Djin, j'ai peur qu'il ne puisse plus t'aimer, et je ne veux pas qu'il te perde, tu es gentil tu prend soin de lui »

*Je ne pouvais pas croire à cela
*je l'aime
*rien n'est plus fort que l'amour

* « Loane protège Djin
*moi je ne pourrais pas le faire
*je ... je dois rester
*c'est mon devoir de mourir au près de mon amour
*je dois vivre avec lui
*pour toujours
*je l'ai jurée
*en lui donnant mon amour »

*Je ne savais pas quoi faire
*je voulais lui dire non
*qu'elle reste
*auprès de Djin
*mais je n'arrive pas à parler
*je pleure
*la prend dans mes bras
*pour l'inciter à rester
*mon cœur va exploser
*je n'en peux plus

* « Loane
*...
*Je suis désolé
*Mais toi aussi tu comprendra bientôt
*alors emmène Djin
*va à Fularan
*vous serai en sécurité
*Je t'en supplie
*protège Djin
*...
*Adieu, Loane »

*Elle s'échappa de mon emprise, comme si je ne la tenais pas
*et elle parti en courant
*j'ai essayé de la rattraper
*mais ... je ne suis que humain
*Je retourna vers le campement
*Djin était la
*paisible
*plus je le regarde, plus je voudrai qu'il soit réveillé
*je lui passe un gant d'eau chaude sur le front
*lui remet une couverture
*puis m'assis à coté de lui, auprès du feu
*La neige a tout recouvert
*cela aurai pus être un beau noël
*Mais il n'y en aura plus
*maintenant je suis seul
*et j'ai peur de ne plus être aimer et de ne plus aimer
*de ne plus avoir d'ami
*Je ne veux pas être seul !!

*J'ai mal à la tête
*j'ai faim
*je n'arrive pas a bougé
*je n'arrive pas a ouvrir les yeux
*et je n'entend rien
*suis-je mort ?

*Djin a bougé
*je me précipite sur lui
*et j'arrive à dire : « Djin … »

*Cette voix
*je la connais
*j'ouvre les yeux, je ne vois rien sauf une grande ombre au dessus de moi
*l'ombre se forme
*Loane ... il est avec moi
*toujours
*là pour moi
* « Loane … »

*Je lui donna a manger
*le força à se reposer
*il n'osait pas me parler
*et je n'y arriver pas
*je n'ose plus le regarder, je baisse les yeux quand il me regarde


*Loane...
*tu sembles si différent...
*Je ne veux pas te haïr
*je veux t'aimer

*Djin ...
*Plus je te regarde plus j'ai peur
*Je ne veux pas que tu me haïsses
*alors je ne t'aimerais plus
*tu ne peux pas ....
*Je suis perdu ....

*Il pleure
*Je le prend dans mes bras
* « Je t'aime Loane »

*Je le repousse
*et lui fit non de la tête
*Je me leva
*il se leva
*me regarda dans les yeux
*puis il me repris dans ses bras

*Il se laissa faire
*je ne veux pas le perdre
* « Je t'aime, alors aime moi Loane »
*Je passa la journée à lui parler
*lui m'écouter
*je compris que ma mère était reparti avec mon père
*Je vis dans ses yeux la honte
*la tristesse
*mais l'amour aussi
*il me fit comprendre que nous devions nous rendre à Fularan
*Nous partîmes alors le lendemain


*Nous somme parti de bonne heure
*il semblait pressé
*je le suivais
*ne parlant toujours pas
*tête baissé
*Djin me protège
*je ne suis pas capable de le protéger, je ne suis qu'un faible

*Voila près de trois mois que nous voyageons
*Le printemps arrive
*et nous somme en approche de Fularan
*Loane ne reparle pas encore
*parfois il dit mon nom
*Nous somme en train de traverser une magnifique plaine
*je pris Loane par la main

*Et il m'entraina en courant
*l'air frais me fouette le visage
*je me sens léger
*libre
*j'oublie mes problèmes
*je cours avec lui

*Je trébucha dans un trou
*et entraina Loane avec moi dans ma chute
*une fois par terre
*nous regardâmes les nuages
* « Ils sont beau, pas vrai ? »

*j'acquiesçai de la tête

* « J'aimerai être un nuage
*être au dessus des problèmes »

* « Djin .... »
*il se leva
*et me dis :

*nous devrions continuer
*il reste un peu de route

*Il n'y a qu'une solution a notre amour, mais elle est impossible
*un doux rêve

*Un rêve que je ferai réalité, foi de Djin, je vais tout faire pour

*Fin de la partie 5

[Wylf]

triste mai j'aime toujours au-temps vivement la suite ou sa commence a aller mieux apparemment

[Deoloup]

Tu devrais rajouter des guillemets ou des tirets quand les personnages parlent.
La ca fait un peu fouilli dans la derniere partie, et souvent, j'ai du relire 2 3 fois avant de savoir si il pensait, ou si il parlait.

[Loane]

Il y en a mais pas a chaque ligne, en fait.
j'en met au début de la tirade et quand il a fini de parler...
Des tirets ça pourrait être une bonne alternative.
Mais bon les textes sont pas définitif ( surtout la ponctuation très sommaire dut au fait que je ne l'utilise pas quand j'écris ( ou très peu ))

[Loane]

We are Friend partie 6

*Nous avancions bien...
*Une semaine est passé depuis que Loane a recommencé a parler
*Et notre arrivé a Fularan est imminente

*Je ne sais pourquoi, la terre a une odeur de sang
*Plus nous approchons de Fularan et plus cet odeur augmente
*Une masse de fumée s'installa bientôt a l'horizon
*« c'est normal toute cette fumée djin ? »

*« Je ne sais pas, je ne suis jamais allé a Fularan,
*mon grand père et ma grand mère vivent là bas »
*Cette fumée m'inquiète...
*Noir comme la cendre
*Cette odeur de sang
*elle se mélange a l'odeur du bruler

*« Djin, je crois qu'il se passe quelque chose là bas...
*Tu sens cette odeur ? »
*Djin regardai l'horizon
*il semblait inquiet

* « Vite ! »
*je partis en courant
*au bout de quelque minutes, j'arrivai en haut de la falaise qui surplombe la plaine
*La ville était sous blocus, entouré de millier de soldat et machine de guerre
*Les bruit d'explosion, le blocus, la fumée, Fularan va tomber
*« non... Papi... Mamie »

*« Que fait-on Djin ? On a nulle part où aller »
*Il se retourna vers moi
*me pris les épaules
*se serra contre moi

*« Loane... Je dois aller sauver, ma famille... Je ne peux pas laisser d'autre personne de ma famille mourir »

*« Non ! Tu va te faire tuer... Comment veux-tu entrer ! »
*Je ne veux pas perdre la personne que j'aime
*Il ne peux entrer seule...
*Mais a deux ont peut y arriver
*« Djin, je viens avec toi
*j'ai un plan pour entrer dans la ville »
*Je lui explique mon idée
*Il réfléchi un moment

*« Ça pourrait marcher. »

*« Bien alors je part seul. Reste ici »
*Je me dirige vers le camps ennemi
*mon corps tremble
*je ferme les yeux... Respire
*Mon cœur bat de plus en plus vite

*« Et toi là bas ! »

*reste calme
*arrête toi sans faire de manière
*« Ou...oui »

*« Tu es nouveau, toi...
*Pff, ils engagent des mômes maintenant
*Bon va dans la caserne des bleus et va prendre un uniforme
*Tu va finir au trou si tu es habillé en civil...
*Et n'oublie pas notre slogan :
*Un furry doit être puni. Et sa punition est l'annihilation ! »

*Quel horreur... Les hommes me dégoutent
*Bon le plan fonctionne
*une fois que j'aurai l'uniforme on pourra poursuivre le plan
*j'espère que Djin va bien

*voila 1 heure qu'il est parti
*je m'inquiète... j'ai peur pour lui
*Quelle vision d'horreur... la guerre... quelle barbarie
*Une douleur extrême se fit dans mon cou
*tout devint noir...

*Il y a de l'agitation dehors
*je sort de la caserne pour regarder
*un des soldat porte sur son dos un furry...
*Je me précipita pour le voir de plus près
*ce n'était pas djin... J'ai eu peur... lui semblait déjà mort... ils doivent l'en mené dans la fosse commune
*Puis un autre groupe arriva...
*L'un d'eux portait Djin sur son épaule !
*Il est vivant... comment le sauver !
*Mon dieu... Calme toi... réfléchi vite...
*« messieurs, Ordre du général : Il doit venir avec moi pour interrogatoire, Il détient des informations. »

*« hohoho le bleu, détend toi, ils sont tous interroger avant exécution. Mais si tu veux tu pourras l'interroger, tu en as l'air capable
*viens avec moi »

*Vite réfléchi … bon dieu il doit y avoir une solution...
*je te sauverai Djin
*nous sommes arriver dans la salle d'interrogatoire
*ils attachèrent Djin a une chaise
*je passa devant une étagère
*je la fouilla et dénicha une piqure léthargique et un couteau
*j'enmena tout
*il réveillèrent djin avec un seau d'eau
*il était terrifié
*ses yeux... Vite je dois me dépêcher

*« on te laisse a l'œuvre le bleu, mais nous somme derrière la vitre. La liste des questions est devant toi et quelque outil torture aussi. Un fois que le travail est accompli, prend le pistolet et tire lui une balle dans la nuque »

*mon dieu, quel horreur
*je m'assis devant Djin
*lui fit un coup d'œil rassurant
*il me fit signe qu'il était près
*Je lui posa les questions.
*Lui tenta d'y répondre
*a un moment une voix s'éleva et me dit qu'il mentait
*m'ordonnant de le torturer
*Je ne peux le faire... il ne reste que 2 questions et on pourra partir de là
*djin me regarda dans les yeux et me fit signe de le faire
*je n'ai que 2 instrument différent, les deux était horrible dans leur utilisation
*un pour couper les doigts
*et l'autre qui s'installe autour du coup qui donne des décharge électrique
*je pris les collier
*l'installa autour de son cou
*reposa la question et...
*appuya sur le bouton de la télécommande
*Djin hurla
*Je me força pour ne pas pleurer
*Je tremblais

*« Tu aimes ça, hein ? Tu en tremble d'excitation ! Va ! Fait toi plaisir, Torture cette pourriture »

*Je ne supporte pas... je ne pourra pas le refaire...
*Djin je t'aime... je ne veux pas te faire du mal

*« Prend l'autre et coupe lui un doigt ! Hahaha. Fais le souffrir »

*Si je ne le fait pas, ils me remplaceront et ils le tueront
*Je... je dois le faire
*Je pris son doigt, mis en place l'appareil autour de celui ci...
*appuya sur le bouton
*Un bruit retenti, quelque chose tomba au sol
*un cri strident a coté de moi

*« Bien le bleu, maintenant achevé le ! Et Tourne le vers nous. Je veux voir son dernier regard »

*c'est le moment
*je m'installa derrière Djin cacha ma main derrière sa chaise pris le couteau m'ouvris la main en serrant des dents
*piqua Djin avec la piqure léthargique
*étala mon sang sur sa nuque
*tourna le collier de façon a avoir la parti en métal de mon coté
*posa ma main ensanglanté sur le mécanisme
*et plaça le canon de l'arme sur ma main
*de cette façon je stopperai la balle qui est un petit calibre
*mes doigts se fermèrent sur l'arme
*un bruit sourd retenti
*la douleur me fit tituber
*ma main et la machine on stoppé la balle
*la piqure mit Djin en léthargie, de cet façon personne ne se doutera qu'il est vivant
*mon sang avait éclaboussai mon visage. A la vue de main mutiler, je me retourna pour vomir
*je déchira une large bande de sa chemise pour me bander la main au plus vite
*les garde entrèrent

*« pas mal le bleu... on te laisse l'enmener dans la fosse, Je vois que toi aussi tu fait des trophée. Toi les chemise ensanglanté, moi les oreilles. Hahaha »

*Les gardes partirent.
*je pris Djin et l'enmena vers la fosse, qui était proche de la ville.
*je couru vers la ville. Djin sur mes épaules
*Je pleurai. Je maudissais le monde
*j'arrivai près de la première bâtisse et me cacha dedans
*j'avais pris l'engin de torture qui avais pris un doigt a Djin
*et promis de subir le même sort
*Nous restâmes caché le temps que Djin se réveille
*la maison avait tout se dont nous avions besoin, trousse de secours, nourriture, boisson
*je soignas Djin et ma main
*Il se réveilla plus tard dans la soirée

*« Lo...Loane nous sommes vivant... tu as réussi »
*ma main me faisait souffrir
*mais nous sommes vivant... Il m'a sauvé

*« Je suis désolé Djin... Je n'ai pas eu le choix... Je... »

*« Loane, Grâce a toi je vais pouvoir sauver ma famille, qui est aussi celle de mon père
*je t'en serais éternellement reconnaissant, et mon doigt n'est rien comparé a la vie »
*Il s'enfouit dans mes bras et pleura
*je le console, le pris dans mes bras, l'embrassa …
*Merci loane

*Fin de la 6em parti

ps : désolé pour le double post

[Bestiole]

Je viens de découvrir le thread et dois avouer que je prend beaucoup de plaisir à lire ton récit.

Malgré la simplicité apparente je trouve qu'il y'a beaucoup de recherche (instinctive ?) et ce à plusieurs niveaux.
J'aime beaucoup et je ne cesse depuis les premières lignes d'imaginer cette histoire sous la forme d'un récit audio ("saga MP3").
Je vais aller écouter les morceaux qui t'ont aider à composer et relire tout ça !

En tous cas merci beaucoup, ce fut un moment fort agréable, vivement la suite !
(Tu as du talent, il n'est pas facile d'avoir autant de logique "dans ses pensées" dans ce type de récit, c'est une sacrée gymnastique ! Scénariste c'est tout un métier et tu te débrouilles franchement bien !).

[Tho Panda]

J'ai lu une partie et demi, mais je suis pas fan. Je trouve ça assez cucul.... Avis perso.

[Bestiole]

Il est vrai que certains passage sont tout de même "culcul", et déjà vu sous de nombreuses formes.

Pour ma part, j'attends surtout d'une œuvre qu'elle m'évoque d'autres sujets que ceux initialement cités et me mène à réfléchir sur ceux-là.

Son oeuvre me procure par endroit cette "sensation" et je la trouve assez distrayante, après c'est comme les goûts et les couleurs ...