Diti a écrit:Cela ne l'empêche pas de n'éprouver aucun remords si l'humanité ne dépendait que de lui. Quel est le problème ?
Le problème est que le terme "humanité" cache souvent voir même toujours bien des choses et qu'on n'y met pas tous les mêmes idées. En réalité, ça pose soucis aux gens qui ont envie de vivre dans une certaine cohésion sociétale (tiré de "je connais des mots" - Rimou - Editions Gallimards
). De se voir versé du sel sur les plaie quand on a conscience de vivre dans un monde où il existe également des gens qui se contre-fiche du monde dans lequel nous vivons, généralement c'est problématique, un soucis de conscience. Y en a qui veulent faire avancer le monde, y en a d'autres qui savent pas ce qu'ils veulent, y en a d'autres qui veulent démonter le monde.Mon avis perso sur le furry et sa place dans le monde humain actuel : il était déjà le fils de quelqu'un, placé dans une structure humanisée avant de commencer à en douter par le biai du furry ou autre. L'humain a le droit de prendre du recul sur son prochain. Celà dit, un furry peut entièrement vivre en société, s'il est près à considérer qu'il fait parti d'une grande famille (de cons certes) à la base qui n'est pas celle des renards ni des avatars second life.
Faut parfois se battre pour ce qu'on aime, sa passion, que ça soit chez les autres ou même sur-soit. Le soucis d'avoir aucune réflexion et aucun altruisme, ça révèle d'une ignorance assez profonde sur le sujet qui mérite qu'on s'y attarde ... ou pas ! Mon avis perso : si t'aimes pas l'humain, tu vas souvent faire la gueule parce qu'il y en a partout ici. C'est toujours les mêmes "cons d'humains" qui sont à l'origine des premières conventions furries, si on doit mettre tous les humains dans un même panier.


