Une Histoire...

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Une Histoire...

Messagede Ortaon » 06 Nov 2007, 21:58

Bonjour à tous amis a poil, plumes, ecaille etc :lol:

j'aimerai juste votre avis sur une histoire que j'ecris ^^

Merci encore

La Flèche Noire


Notes : j’écris cette histoire pour mon propre plaisir personnel, j’y combinerai diverse passions et envies, si vous aimez tant mieux, si vous n’aimez pas tant mieux aussi, il faut de tout pour faire un monde.

Les personnages utilisés dans cette histoire sont de ma propre invention, ou créés par Phillip Peterandel, j’utilise des personnages et l’univers avec son accord, ne faite pas de même sans l’accord des créateurs.

Cette histoire va mettre un des personnages principaux de Phillip Peterandel en avant, aussi je tient a signaler comme il me l’a demander que cette histoire de reflète un rien la véritable histoire D’Elsa von Strachwitz.

Cette histoire va se passer sur un fond de seconde guerre mondiale, mais qui s’est déroulé très différemment de la réalité, certain personnage seront Anthropomorphes.

Si vous aimez les Avions de la Luftwaffe de 1946, les Furry et le contexte WWII, je pense que vous aimerez.




Chapitre 1
Quelque part en Allemagne, Juin 1946 19H37


« Retour prévu : 19H20 »

Ce furent les paroles que prononça Hylda en posant le plan de vol qu’elle avait sous les yeux sur la table en bois, elle était inquiète, normalement il n’arrivait jamais en retard, surtout avec cet avion.
Ce soir la le soleil rasant éclairait la piste de toute sa splendeur, tel un dragon crachant des flammes, prêt a dévorer tout appareil se lançant vers lui.
Hylda se leva, l’attente était insupportable, elle sortit à l’extérieur du hangar, ses grandes bottes résonnaient sur le béton du terrain, elle s’approchât d’un SD KFZ qu’on utilisait pour ranger les avions dans le hangar, elle posât une main dessus et serra fortement le guidon, à tel point que si elle n’avait pas eu de fourrure, on aurait vu la jointure de ses doigts blanchir.
Hylda n’était pas humaine en effet, elle avait tout du Berger Allemand, mais avec une beauté et un charme incontestable, du haut des ses 1M75, elle regardait vers le nord, la ou elle devrait voir le Dornier arriver.
Elle bougeait sa queue d’anxiété, un peu comme le font les chats, elle ressentait une légère douleur au niveau de ses pattes, en effets les bottes digitigrades n’étaient pas aussi confortables que des bottes d’humains, mais elle avait d’autres choses en tête qui la préoccupait plus.

« Mais ou est tu bon sang ? » dit elle a voix basse, elle attendait son vieil ami, dont elle était secrètement amoureuse.

Elle détourna la tête, et regardât a l’autre bout du terrain, la se tenait le tout nouvel avion de chasse de nuit de la Luftwaffe : le Dornier 335 B-6 / II

« le Monstre… » Comme l’appelait Hylda, il est vrai que cette appareil avait tout d’un monstre.

Cet incroyable bimoteur de type « Push/Pull » avait des performances et une puissance de feu hors du commun.
Equipé du tout dernier model de radar, il lui était facile de détecter n’importe quel bombardier lourd dans la nuit, sa vitesse impressionnante de 800 km/h, obtenu par de nouveau moteurs Daimler-Benz DB603 K de 2500 chevaux chacun.
Il disposait également de nouveau siège éjectables, non plus actionnés par air comprimé, mais par propulsion d’une petite fusée, ce qui rendait le système beaucoup plus efficace. Il y avait aussi le nouveau poste de l’opérateur radar, dépassant du fuselage beaucoup moins que les postes des versions d’entraînement.

Hylda posa son regard sur le nez de l’appareil, un frisson lui parcouru le corps de la nuque au bout de la queue, elle regardait la gueule de monstre, a travers le cône de l’hélice se trouvait la vrai puissance du «PFEIL » : un canon de 55 mm, des obus de ce calibre ne laissait aucune chance à n’importe quel appareil, c’était comme un laser qui découpait tout, c’était une merveille de puissance, c’était…

« …une véritable horreur » dit Hylda en se mordant la lèvre inférieure, elle était mécanicienne, mais faisait une formation pour devenir radariste sur cette avion, et l’idée de donner la mort même pour défendre son pays avec une arme aussi dévastatrice ne l’enchantait guerre, même si tout avait changé…

Elle s’appuya sur le petit tracteur puis posât ses mains sur sa tête, on ne voyait plus son visage, juste son museau et ses oreilles couchées.

La chienne repensa à tout ce qui était arrivé, en effet la guerre ne s’est pas déroulée dans cette histoire comme nous l’avons connue.
Le 30 Avril 1942, Adolf Hitler fut assassiné par un groupe de rebelle Allemands, qui voulait stopper l’horreur de toute cette guerre…

« Et dire que cela a failli marcher… » pensa Hylda.

Effectivement, une proposition de paix arriva 2 jours plus tard, tout les pays l’acceptèrent, tous sauf un…

« Saletés de yankees » murmura la chienne, il est vrai qu’on ne pouvait lui donner tord, tout les pays Alliés avait acceptés la proposition de cessation des hostilités, sauf les Etats-Unis d’Amérique, qui voyait dans le peuple Allemand une menace perpétuelle pour le monde, le président de cette histoire avait décider de se débarrasser des Allemands comme on se débarrasse d’une colonie de cafard.

Les autres pays restèrent neutres, la guerre pour la survie de la Nouvelle Allemagne débutait.



Hylda regarda la queue de l’avion, on y percevait encore l’ancienne croix que l’on avait remplacer par le symbole d’un empreinte de canidé, ces êtres anthropomorphiques, personne ne savait d’où ils venaient, mais on y voyait un espoir, ce fut donc leur empreinte qui remplaça tout les croix de l’ancien régime.

Les oreilles d’Hylda se redressèrent brutalement, elle avait perçu le son d’un moteur, elle figea son regard et tendu mieux l’oreille pour être sur qu’elle avait bien entendu.
Elle se retourna et vit le Dornier qu’elle attendait

« Enfin te voila » murmurât elle, elle se sentie soulagée, reposant sa main sur sa poitrine et soufflant l’air accumulé dans ses poumons, comme si l’attente avait vicié l’air et que ce son permettait a ses poumons de ses remplir d’air pur.

L’appareil amorça un virage au dessus de la piste, puis, réduisant les gaz, il descendit doucement vers la piste, les pneus mordirent le sol brutalement, laissant apparaître un petit nuage de fumée et une jolie trace de gomme sur le bitume de la piste.

Hylda entendit le crissement des freins ralentissant l’appareil, elle vit le moteur frontal se couper alors que le pilote gardait allumé le moteur arrière pour pouvoir amener son « Pfeil » au Parking, le gros chasseur fit encore quelque manœuvre, s’immobilisât et enfin son moteur arrière se tut dans une plainte sifflante.

Hylda prit dans la chenillette la manivelle servant a faire descendre l’échelle situé sur l’aile droite du Dornier, elle se déplaça d’un pas vif, son regard ne bougeait pas d’un degré, sa queue elle par contre était légèrement recourbée, indiquant un agacement profond, voir même de la colère.

Lorsqu’elle tourna la manivelle pour faire descendre l’échelle, elle entendit le canopy s’ouvrir et le pilote en sortir, elle ne le voyait pas encore, mais elle savait qu’elle aurait deux mots à lui dire.

Le temps que le hauptman finisse de fermer le canopy, elle fit un tour rapide de l’appareil, l’air très agacée, elle chuchota :

« Pas un seul impact, pas une seul fuite, les canons de 30 mm sont toujours propres, il n’a même pas engager un combat, il n’a pas respecter ce qu’il m’a dit »

Hylda porta son regard par-dessus l’aile, elle se situait a présent sur le coté gauche de l’appareil, entre l’aile et le moteur avant, c’est a ce moment qu’elle vit le capitaine, et aussi la source de sa terrible inquiétude.

« ELSA » Voila ce qu’il y avait marqué sous le cockpit du 335, Elsa… la fille qui causait autant de souci à Hylda…
La bergère allemande donnas un coup de point fermé sur le fuselage de l’avion, mais elle se brûla la main en touchant les pots d’échappements, en effet ceux de son appareil était recouvert de cache flamme pour la chasse de nuit, et ces caches flammes chauffait beaucoup moins.

Elle poussa un petit cri de douleur en se tenant la main

« Ça va ? » fit une voit venant du dessus
« Ja, Hauptman, Ja »

Elle s’adressait au Capitaine Otto Herman Ortaon, un grand Doberman d’1M88 qui la regardait avec un léger sourire, Ortaon descendit de son « Pfeil » puis rejoignat Hylda en passant sous l’aile gauche.

« Fait moi voir ta main » dit t’il d’un ton paternel, il prit la main de la chienne dans sa main et vit que le poil avait roussi du coté ou elle avait touché les pots, il était attentif, a-t-elle point qu’il ne compris pas ce qui lui arriva.

Hylda, avec un aboiement de colère l’attrapa par le col et le plaqua contre le bord d’attaque de l’aile, les yeux bleu acier de la chienne se plongèrent dans les yeux jaune feu du Doberman, elle le retira du bord d’attaque pour mieux l’y re-plaquer, et elle lui dit plein de rage.

« TU N’A PAS ENCORE COMPRIS ? TU VEUX Y LAISSER TA FOURRURE TOI AUSSI ? »

Hylda bavait de colère, elle ne se contrôlait presque plus, le coté humain avait perdu le contrôle, le coté anthropomorphe aussi, même le coté canidé avait presque disparu, elle parlait avec sont coté loup, inscrit dans ses gènes depuis bon nombres d’années, elle avait la rage d’une mère attaquant l’assassin de ses petits.

« ELSA EST MORTE, TU VA TE METTRE CA DANS LE CRANE UNE BONNE FOIS POUR TOUTE OUI ? ELLE EST MORTE !!! LA VOITURE QUI L’AMENAIT A BERLIN A ETAIT PRISE DANS UNE BOMBARDEMENT DE B-17, ALORS ARRETE DE FAIRE CES RECONNAISSANCES QUI NE SONT PAS PREVU POUR SUIVRE TA SOIS DISANTE PISTE POUR LA RETROUVER !!! »

Le silence régnait à présent sur le terrain, les quelques mécanos et pilotes présent sur le tarmac ne disait plus rien, il regardait tous en direction du Dornier, pas un n’osait bouger, de peur de se faire remarquer, comme lors d’une vente aux enchères lorsque le prix atteint un niveau astronomique et que personne n’ose même se gratter le nez de peur que le gérant prenne ce geste comme une surenchère.

Hylda était à présent à genoux, elle pleurait contre les cuisses du pilote, les sentiments à l’intérieur d’elle se bousculaient, la peur, la terreur, l’amour, tout se mélangeait en une affreuse bouillie aussi infecte pour l’âme que un plat avarié pour l’estomac.

Ortaon restait la, debout, la bord d’attaque de l’aile de son avion le rassurait, il adorait cette machine, elle le rassurait, il se sentait bien avec ce monstre de puissance, presque comme si c’était une seconde mère dans laquelle il se sentait a l’abris du monde extérieur.

Il ne savait comment réagir avec la Chienne, il pouvait s’en aller sans rien dire, ou la coller au gniouf pour insubordination, ou essayer de discuter avec elle, mais cela revenait toujours au même, il promettait de ne plus cherche Elsa, mais c’était plus fort que lui, il savait qu’elle était vivante, il le sentait et voulait la retrouver.

Elsa était une Doberman comme lui, ils s’étaient rencontrés en 1938, sur un terrain, il fut témoin lors du crash du 190 qu’Elsa testait, après plusieurs moi d’hôpital, il lui apprit qu’elle pourrait reprendre du service, mais pas en tant que pilote.

Ortaon appris juste qu’elle partait pour Berlin, TOP SECRET, lui avait t’on dit, peut après la route emprunté par son véhicule fut ravagé par un bombardement américains, la voiture n’atteignit jamais sa destination, mais le chien sentait au fond de lui qu’elle était vivante, il voulait la retrouver et lui parler de chose importante.

« Tout va bien Capitaine ? » fit une voix venant de son dos

« Oui Karen, ça va aller, occupe toi d’Hylda et refait le plein de mon appareil et réarme le »

Hylda, noyée de l’arme, les interrompis

« POURQUOI MENT TU ? tu n’a même pas utilisé tes canons, ne va pas raconter que tu a engager un combat, tu ment »

Cette fois ci, Ortaon hésitait, une partie de lui lui disait d’hurlait et d’envoyer cette chose larmoyante accroché ases bottes travailler, et une autre part de lui lui dit d’être plus subtil, de trouver une parade, ce fut cette part la qui gagna.

« Hylda, les 20 mm sont vides, je n’ai pas fait de reconnaissance abusive » mentit-il avec un aplomb incroyable
« je suis tombé sur un F80 américain, j’ai réussi à l’endommager mais j’ai du rentrer faute de carburant »

En effet le Doberman mentait bien, s’attendant aux réflexions d’Hylda sur son retard, il avait vidé ses 2 MG-20 dans un étang, les 3 canons MK-103 eux, étaient toujours plein.

Hylda se releva, elle savait qu’il mentait, mais fit semblant de le croire.

« Karen, amène la se prendre une douche et je veut qu’elle prenne du repos, envoi quelqu’un d’autre s’occuper des avions, occupe toi d’Hylda »

Karen, jeune fille rousse au cheveux court et au magnifique proportion, acquiesa d’un petit mouvement de tête, elle attrapa la chienne par la taille et l’amena vers les locaux sous terrain, tout était en sous sol caché sous la foret, pour évité d’être repéré par les avions espions américain.

Ortaon se prit la tête entre les pattes, il ne savait pas quoi penser, Hylda avait peut être raison, Elsa pourrait bien avoir péris dans ce bombardement.

Il murmura :

« La vérité est n’existe que si tu la voit » ce fut la phrase que lui dit Elsa en partant pour Berlin. Ortaon ne faisait que se la répéter dans sa tête pour trouver la véritable signification de ces mots.

Il respira un grand coup, puis se dirigeât vers le mess des officier, il caressa la crosse du P-38 à sa ceinture, cela le rassura.


Karen aida Hylda a se déshabillée, surtout au niveau des bottes, cela n’était pas vraiment facile à enlever avec des griffes, Karen posa les bottes dans un coin, puis elle défit la combinaison grise et sale d’Hylda, la fit descendre jusqu’au hanche, Hylda ne portait dessous que une petit soutien gorge bleu, Karen la regarda tendrement.

A chaque fois que Karen voyait Hylda, elle ressentait plein de chose en elle, il faut dire que cette jeune fille venant d’Autriche a grandi et vécue dans un pensionnat de fille, elle n’avait jamais vu un seul homme jusqu'à ses 19 ans, pour elle, il ne faisait pas partit de ce monde, voila pourquoi Karen éprouvait de l’attirance envers les autres filles et les Anthropomorphe femelles.

Elle retira la combi d’Hylda, cette dernière était a présent en sous vêtements, Karen fit de même puis poussa son ami sous la douche, Hylda posa les main a plat sur le carrelage au dessus de sa tête, Karen ferma la porte.

L’eau ruisselant sur la fourrure d’Hylda fit monter dans l’air une odeur de chien, Hylda serra les dents lorsque l’eau toucha sa mais gauche, la ou elle s’était brûlée.

Karen commença a frotter le dos de la jeune chienne, appuyant convenablement pour la détendre, Hylda se laissait faire, elle adorait les marques d’affections, de toute façon c’était tout ce qui comptait dans sa vie : donner et recevoir de l’affection, peut importe de qui (sauf peut être…).

Hylda senti sa poitrine tomber légèrement lorsque Karen lui dégrafa son soutien gorge afin de mieux lui laver le dos, elle n’y prêta pas attention, cela lui plaisait, malgré sa tristesse une douce chaleur envahi son ventre.

« Voila » fit Karen, « tu n’a plus qu’a te laver les partie intimes, mais si tu est trop fatigué je veut bien le faire pour toi »

Hylda sourie, sans tourner la tête elle dit :

« Je te remercie Karen, mais je ne me sent pas prêtre, tu sais que j’aime fort…. »

Karen lui mordit la peau de la nuque et lui dit :

« Tu aime ressentir de la tendresse et de l’affection, voila tout, moi tu me plait beaucoup, et je ne suis pas jalouse » elle la remordis, Hylda poussa un gémissement de plaisir et de douleur mélanger

« Hylda, je serai toujours la pour toi, je t’aime très fort tu sais »

A présent Karen était tout contre la chienne, ses mais étaient reposés sur le ventre de la bergère allemande et sa tête entre ses omoplates.

« Merci Karen, je t’aime énormément moi aussi, laisse moi finir je te pris »

Karen n’insistât pas, elle sortit des douches, elle jeta un dernier coup d’œil a Hylda qui venait de retirer sa culotte et son soutien gorge pour se laver entièrement, elle eu un sourire coquin, comme le jour ou elle avait vu le capitaine se doucher, son poil ras combiné à l’eau qui coulait dessus laissait apparaître des formes et des reflets mettant grandement en valeur le corps du doberman, elle lorgna longtemps sur son dos et ses cuisses.

« Pourvu que cette saleté de guerre se termine vite » grogna t’elle.

Fin chapitre 1
Ortaon
 
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Messagede Pr. Théodose » 07 Nov 2007, 10:20

Je vois que je ne suis pas le seul amateur de LuftArtet Prototypes.com du forum... :wink:
À part les quelques fautes d'orthographe et de grammaire qui peuvent gêner la compréhension du récit ("noyée de l’arme" n'a pas le même sens que "noyée de larmes"), le principal souci concerne l'intégration des faits historiques alternatifs dans le fil de l'histoire : les personnages connaissent ces faits pour les avoir vécus, et le récit ne doit pas donner l'impression qu'ils brisent le quatrième mur en les racontant directement au lecteur. Je donne un exemple tiré de ton récit :
Ortaon a écrit:Le 30 Avril 1942, Adolf Hitler fut assassiné par un groupe de rebelle Allemands, qui voulait stopper l’horreur de toute cette guerre…
« Et dire que cela a failli marcher… » pensa Hylda.
Effectivement, une proposition de paix arriva 2 jours plus tard, tout les pays l’acceptèrent, tous sauf un…
Pr. Théodose a écrit:Hylda était fatiguée par cette guerre interminable et meurtrière, comme tout la population du pays qui avait un trop lourd tribut pour obtenir ce fameux "Espace Vital" tant vanté par Adolf Hitler. Après le désastre de Stalingrad et l'inexorable avancée de la terrible Armée Rouge, tout le monde souhaitait mettre un terme à ce conflit absurde... sauf le chef suprême et ses fameuses "intuitions" tant vilipendées par les émissions humoristiques de la BBC. Le 30 Avril 1942, voulant éviter à tout prix l'occupation du pays et son démembrement après la défaite inéluctable, un groupe de rebelles Allemands plaça une bombe de forte puissance au pied du responsable dans le bunker de commandement. Le succès de l'opération fut total…
« Et dire que cela a failli marcher jusqu'au bout… » pensa-t-elle.
Le plan des conspirateurs était en effet bien rodé : deux jours après l'attentat, une proposition de paix parvint sur le bureau des différentes chancelleries alliées. Tous les pays l’acceptèrent, sauf un qui ne jurait que par la capitulation sans condition…
Par contre, au vu de la tournure prise par la fin de ce chapitre, il sera peut-être nécessaire de transférer ce sujet en section Yiffy lors de la parution du prochain chapitre...
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Messagede Madox » 07 Nov 2007, 10:45

/HS/
Pr. Théodose a écrit:Je vois que je ne suis pas le seul amateur de LuftArtet Prototypes.com du forum... :wink:

Non mais dis donc, tu me provoques, là ?!! :lol:
A propos, tu connais cette fabuleuse série de bouquins (très chers mais super documentés) sur les projets allemands, anglais, russes, américains durant la seconde guerre mondiale et après ?
http://www.livre-aviation.com/LUFTWAFFE ... _1416.html
Tu peux en trouver certains (pour ceux que je n'ai pas déjà achetés là-bas) à la librairie dont tu trouveras l'adresse sur cette page...
/fin HS/
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Messagede Ortaon » 07 Nov 2007, 22:21

Merci des ces commentaires,

il est vrai que je ne devellope pas trop certain point, mais tout aides est bienvenu

Pour la suite rassurer vous ya pas de yiff, plutot du combat aérien

je posterai la suite bientot :)
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Messagede Ortaon » 17 Déc 2007, 00:40

Bon j'ai un peu avancé, j'ai modifié quelques parametres ^^

La Flèche Noire


Notes : j’écris cette histoire pour mon propre plaisir personnel, j’y combinerai diverse passions et envies, si vous aimez tant mieux, si vous n’aimez pas tant mieux aussi, il faut de tout pour faire un monde.

Les personnages utilisés dans cette histoire sont de ma propre invention, ou créés par Phillip Peterandel, j’utilise des personnages et l’univers avec son accord, ne faite pas de même sans l’accord des créateurs.

Cette histoire va mettre un des personnages principaux de Phillip Peterandel en avant, aussi je tient a signaler comme il me l’a demander que cette histoire de reflète un rien la véritable histoire D’Elsa von Strachwitz.

Cette histoire va se passer sur un fond de seconde guerre mondiale, mais qui s’est déroulé très différemment de la réalité, certain personnage seront Anthropomorphes.

Si vous aimez les Avions de la Luftwaffe de 1946, les Furry et le contexte WWII, je pense que vous aimerez.




Chapitre 1
Quelque part en Allemagne, Juin 1946 19H37


« Retour prévu : 19H20 »

Ce furent les paroles que prononça Hylda en posant le plan de vol qu’elle avait sous les yeux sur la table en bois, elle était inquiète, normalement il n’arrivait jamais en retard, surtout avec cet avion.
Ce soir la le soleil rasant éclairait la piste de toute sa splendeur, tel un dragon crachant des flammes, prêt a dévorer tout appareil se lançant vers lui.
Hylda se leva, l’attente était insupportable, elle sortit à l’extérieur du hangar, ses grandes bottes résonnaient sur le béton du terrain, elle s’approchât d’un SD KFZ qu’on utilisait pour ranger les avions dans le hangar, elle posât une main dessus et serra fortement le guidon, à tel point que si elle n’avait pas eu de fourrure, on aurait vu la jointure de ses doigts blanchir.
Hylda n’était pas humaine en effet, elle avait tout du Berger Allemand, mais avec une beauté et un charme incontestable, du haut des ses 1M75, elle regardait vers le nord, la ou elle devrait voir le Dornier arriver.
Elle bougeait sa queue d’anxiété, un peu comme le font les chats, elle ressentait une légère douleur au niveau de ses pattes, en effets les bottes digitigrades n’étaient pas aussi confortables que des bottes d’humains, mais elle avait d’autres choses en tête qui la préoccupait plus.

« Mais ou est tu bon sang ? » dit elle a voix basse, elle attendait son vieil ami, dont elle était secrètement amoureuse.

Elle détourna la tête, et regardât a l’autre bout du terrain, la se tenait le tout nouvel avion de chasse de nuit de la Luftwaffe : le Dornier 335 B-6 / II

« le Monstre… » Comme l’appelait Hylda, il est vrai que cette appareil avait tout d’un monstre.

Cet incroyable bimoteur de type « Push/Pull » avait des performances et une puissance de feu hors du commun.
Equipé du tout dernier model de radar, il lui était facile de détecter n’importe quel bombardier lourd dans la nuit, sa vitesse impressionnante de 800 km/h, obtenu par de nouveau moteurs Daimler-Benz DB603 K de 2500 chevaux chacun.
Il disposait également de nouveau siège éjectables, non plus actionnés par air comprimé, mais par propulsion d’une petite fusée, ce qui rendait le système beaucoup plus efficace. Il y avait aussi le nouveau poste de l’opérateur radar, dépassant du fuselage beaucoup moins que les postes des versions d’entraînement.

Hylda posa son regard sur le nez de l’appareil, un frisson lui parcouru le corps de la nuque au bout de la queue, elle regardait la gueule de monstre, a travers le cône de l’hélice se trouvait la vrai puissance du «PFEIL » : un canon de 55 mm, des obus de ce calibre ne laissait aucune chance à n’importe quel appareil, c’était comme un laser qui découpait tout, c’était une merveille de puissance, c’était…

« …une véritable horreur » dit Hylda en se mordant la lèvre inférieure, elle était mécanicienne, mais faisait une formation pour devenir radariste sur cette avion, et l’idée de donner la mort même pour défendre son pays avec une arme aussi dévastatrice ne l’enchantait guerre, même si tout avait changé…

Elle s’appuya sur le petit tracteur puis posât ses mains sur sa tête, on ne voyait plus son visage, juste son museau et ses oreilles couchées.

La chienne repensa à tout ce qui était arrivé, en effet la guerre ne s’est pas déroulée dans cette histoire comme nous l’avons connue.
Le 30 Avril 1942, Adolf Hitler fut assassiné par un groupe de rebelle Allemands, qui voulait stopper l’horreur de toute cette guerre…

« Et dire que cela a failli marcher… » pensa Hylda.

Effectivement, une proposition de paix arriva 2 jours plus tard, tout les pays l’acceptèrent, tous sauf un…

« Saletés de yankees » murmura la chienne, il est vrai qu’on ne pouvait lui donner tord, tout les pays Alliés avait acceptés la proposition de cessation des hostilités, sauf les Etats-Unis d’Amérique, qui voyait dans le peuple Allemand une menace perpétuelle pour le monde, le président de cette histoire avait décider de se débarrasser des Allemands comme on se débarrasse d’une colonie de cafard.

Les autres pays restèrent neutres, la guerre pour la survie de la Nouvelle Allemagne débutait.



Hylda regarda la queue de l’avion, on y percevait encore l’ancienne croix que l’on avait remplacer par le symbole d’un empreinte de canidé, ces êtres anthropomorphiques, personne ne savait d’où ils venaient, mais on y voyait un espoir, ce fut donc leur empreinte qui remplaça tout les croix de l’ancien régime.

Les oreilles d’Hylda se redressèrent brutalement, elle avait perçu le son d’un moteur, elle figea son regard et tendu mieux l’oreille pour être sur qu’elle avait bien entendu.
Elle se retourna et vit le Dornier qu’elle attendait

« Enfin te voila » murmurât elle, elle se sentie soulagée, reposant sa main sur sa poitrine et soufflant l’air accumulé dans ses poumons, comme si l’attente avait vicié l’air et que ce son permettait a ses poumons de ses remplir d’air pur.

L’appareil amorça un virage au dessus de la piste, puis, réduisant les gaz, il descendit doucement vers la piste, les pneus mordirent le sol brutalement, laissant apparaître un petit nuage de fumée et une jolie trace de gomme sur le bitume de la piste.

Hylda entendit le crissement des freins ralentissant l’appareil, elle vit le moteur frontal se couper alors que le pilote gardait allumé le moteur arrière pour pouvoir amener son « Pfeil » au Parking, le gros chasseur fit encore quelque manœuvre, s’immobilisât et enfin son moteur arrière se tut dans une plainte sifflante.

Hylda prit dans la chenillette la manivelle servant a faire descendre l’échelle situé sur l’aile droite du Dornier, elle se déplaça d’un pas vif, son regard ne bougeait pas d’un degré, sa queue elle par contre était légèrement recourbée, indiquant un agacement profond, voir même de la colère.

Lorsqu’elle tourna la manivelle pour faire descendre l’échelle, elle entendit le canopy s’ouvrir et le pilote en sortir, elle ne le voyait pas encore, mais elle savait qu’elle aurait deux mots à lui dire.

Le temps que le hauptman finisse de fermer le canopy, elle fit un tour rapide de l’appareil, l’air très agacée, elle chuchota :

« Pas un seul impact, pas une seul fuite, les canons de 30 mm sont toujours propres, il n’a même pas engager un combat, il n’a pas respecter ce qu’il m’a dit »

Hylda porta son regard par-dessus l’aile, elle se situait a présent sur le coté gauche de l’appareil, entre l’aile et le moteur avant, c’est a ce moment qu’elle vit le capitaine, et aussi la source de sa terrible inquiétude.

« ELSA » Voila ce qu’il y avait marqué sous le cockpit du 335, Elsa… la fille qui causait autant de souci à Hylda…
La bergère allemande donnas un coup de point fermé sur le fuselage de l’avion, mais elle se brûla la main en touchant les pots d’échappements, en effet ceux de son appareil était recouvert de cache flamme pour la chasse de nuit, et ces caches flammes chauffait beaucoup moins.

Elle poussa un petit cri de douleur en se tenant la main

« Ça va ? » fit une voit venant du dessus
« Ja, Hauptman, Ja »

Elle s’adressait au Capitaine Otto Herman Ortaon, un grand Doberman d’1M88 qui la regardait avec un léger sourire, Ortaon descendit de son « Pfeil » puis rejoignat Hylda en passant sous l’aile gauche.

« Fait moi voir ta main » dit t’il d’un ton paternel, il prit la main de la chienne dans sa main et vit que le poil avait roussi du coté ou elle avait touché les pots, il était attentif, a-t-elle point qu’il ne compris pas ce qui lui arriva.

Hylda, avec un aboiement de colère l’attrapa par le col et le plaqua contre la jambe de l’atterrisseur gauche, les yeux bleu acier de la chienne se plongèrent dans les yeux jaune feu du Doberman, elle le retira de l’atterrisseur pour mieux l’y re-plaquer, et elle lui dit plein de rage.

« TU N’A PAS ENCORE COMPRIS ? TU VEUX Y LAISSER TA FOURRURE TOI AUSSI ? »

Hylda bavait de colère, elle ne se contrôlait presque plus, le coté humain avait perdu le contrôle, le coté anthropomorphe aussi, même le coté canidé avait presque disparu, elle parlait avec sont coté loup, inscrit dans ses gènes depuis bon nombres d’années, elle avait la rage d’une mère attaquant l’assassin de ses petits.

« ELSA EST MORTE, TU VA TE METTRE CA DANS LE CRANE UNE BONNE FOIS POUR TOUTE OUI ? ELLE EST MORTE !!! LA VOITURE QUI L’AMENAIT A BERLIN A ETAIT PRISE DANS UNE BOMBARDEMENT DE B-17, ALORS ARRETE DE FAIRE CES RECONNAISSANCES QUI NE SONT PAS PREVU POUR SUIVRE TA SOIS DISANTE PISTE POUR LA RETROUVER !!! »

Le silence régnait à présent sur le terrain, les quelques mécanos et pilotes présent sur le tarmac ne disait plus rien, il regardait tous en direction du Dornier, pas un n’osait bouger, de peur de se faire remarquer, comme lors d’une vente aux enchères lorsque le prix atteint un niveau astronomique et que personne n’ose même se gratter le nez de peur que le gérant prenne ce geste comme une surenchère.

Hylda était à présent à genoux, elle pleurait contre les cuisses du pilote, les sentiments à l’intérieur d’elle se bousculaient, la peur, la terreur, l’amour, tout se mélangeait en une affreuse bouillie aussi infecte pour l’âme que un plat avarié pour l’estomac.

Ortaon restait la, debout, la jambe de train du PFEIL le rassurait, il adorait cette machine, il se sentait bien avec ce monstre de puissance, presque comme si c’était une seconde mère dans laquelle il se sentait a l’abris du monde extérieur.

Il ne savait comment réagir avec la Chienne, il pouvait s’en aller sans rien dire, ou la coller au gniouf pour insubordination, ou essayer de discuter avec elle, mais cela revenait toujours au même, il promettait de ne plus cherche Elsa, mais c’était plus fort que lui, il savait qu’elle était vivante, il le sentait et voulait la retrouver.

Elsa était une Doberman comme lui, ils s’étaient rencontrés en 1938, sur un terrain, il fut témoin lors du crash du 190 qu’Elsa testait, après plusieurs moi d’hôpital, il lui apprit qu’elle pourrait reprendre du service, mais pas en tant que pilote.

Ortaon appris juste qu’elle partait pour Berlin, TOP SECRET, lui avait t’on dit, peut après la route emprunté par son véhicule fut ravagé par un bombardement américains, la voiture n’atteignit jamais sa destination, mais le chien sentait au fond de lui qu’elle était vivante, il voulait la retrouver et lui parler de chose importante.

« Tout va bien Capitaine ? » fit une voix venant de son dos

« Oui Karen, ça va aller, occupe toi d’Hylda et refait le plein de mon appareil et réarme le »

Hylda, noyée de l’arme, les interrompis

« POURQUOI MENT TU ? tu n’a même pas utilisé tes canons, ne va pas raconter que tu a engager un combat, tu ment »

Cette fois ci, Ortaon hésitait, une partie de lui lui disait d’hurlait et d’envoyer cette chose larmoyante accroché ases bottes travailler, et une autre part de lui lui dit d’être plus subtil, de trouver une parade, ce fut cette part la qui gagna.

« Hylda, les 20 mm sont vides, je n’ai pas fait de reconnaissance abusive » mentit-il avec un aplomb incroyable
« je suis tombé sur un F80 américain, j’ai réussi à l’endommager mais j’ai du rentrer faute de carburant »

En effet le Doberman mentait bien, s’attendant aux réflexions d’Hylda sur son retard, il avait vidé ses 2 MG-20 dans un étang, les 3 canons MK-103 eux, étaient toujours plein.

Hylda se releva, elle savait qu’il mentait, mais fit semblant de le croire.

« Karen, amène la se prendre une douche et je veut qu’elle prenne du repos, envoi quelqu’un d’autre s’occuper des avions, occupe toi d’Hylda »

Karen, jeune fille rousse au cheveux court et au magnifique proportion, acquiesa d’un petit mouvement de tête, elle attrapa la chienne par la taille et l’amena vers les locaux sous terrain, tout était en sous sol caché sous la foret, pour évité d’être repéré par les avions espions américain.

Ortaon se prit la tête entre les pattes, il ne savait pas quoi penser, Hylda avait peut être raison, Elsa pourrait bien avoir péris dans ce bombardement.

Il murmura :

« La vérité est n’existe que si tu la voit » ce fut la phrase que lui dit Elsa en partant pour Berlin. Ortaon ne faisait que se la répéter dans sa tête pour trouver la véritable signification de ces mots.

Il respira un grand coup, puis se dirigeât vers le mess des officier, il caressa la crosse du P-38 à sa ceinture, cela le rassura.


Karen aida Hylda a se déshabillée, surtout au niveau des bottes, cela n’était pas vraiment facile à enlever avec des griffes, Karen posa les bottes dans un coin, puis elle défit la combinaison grise et sale d’Hylda, la fit descendre jusqu’au hanche, Hylda ne portait dessous que une petit soutien gorge bleu, Karen la regarda tendrement.

A chaque fois que Karen voyait Hylda, elle ressentait plein de chose en elle, il faut dire que cette jeune fille venant d’Autriche a grandi et vécue dans un pensionnat de fille, elle n’avait jamais vu un seul homme jusqu'à ses 19 ans, pour elle, il ne faisait pas partit de ce monde, voila pourquoi Karen éprouvait de l’attirance envers les autres filles et les Anthropomorphe femelles.

Elle retira la combi d’Hylda, cette dernière était a présent en sous vêtements, Karen fit de même puis poussa son ami sous la douche, Hylda posa les main a plat sur le carrelage au dessus de sa tête, Karen ferma la porte.

L’eau ruisselant sur la fourrure d’Hylda fit monter dans l’air une odeur de chien, Hylda serra les dents lorsque l’eau toucha sa mais gauche, la ou elle s’était brûlée.

Karen commença a frotter le dos de la jeune chienne, appuyant convenablement pour la détendre, Hylda se laissait faire, elle adorait les marques d’affections, de toute façon c’était tout ce qui comptait dans sa vie : donner et recevoir de l’affection, peut importe de qui (sauf peut être…).

Hylda senti sa poitrine tomber légèrement lorsque Karen lui dégrafa son soutien gorge afin de mieux lui laver le dos, elle n’y prêta pas attention, cela lui plaisait, malgré sa tristesse une douce chaleur envahi son ventre.

« Voila » fit Karen, « tu n’a plus qu’a te laver les partie intimes, mais si tu est trop fatigué je veut bien le faire pour toi »

Hylda sourie, sans tourner la tête elle dit :

« Je te remercie Karen, mais je ne me sent pas prêtre, tu sais que j’aime fort…. »

Karen lui mordit la peau de la nuque et lui dit :

« Tu aime ressentir de la tendresse et de l’affection, voila tout, moi tu me plait beaucoup, et je ne suis pas jalouse » elle la remordis, Hylda poussa un gémissement de plaisir et de douleur mélanger

« Hylda, je serai toujours la pour toi, je t’aime très fort tu sais »

A présent Karen était tout contre la chienne, ses mais étaient reposés sur le ventre de la bergère allemande et sa tête entre ses omoplates.

« Merci Karen, je t’aime énormément moi aussi, laisse moi finir je te pris »

Karen n’insistât pas, elle sortit des douches, elle jeta un dernier coup d’œil a Hylda qui venait de retirer sa culotte et son soutien gorge pour se laver entièrement, elle eu un sourire coquin, comme le jour ou elle avait vu le capitaine se doucher, son poil ras combiné à l’eau qui coulait dessus laissait apparaître des formes et des reflets mettant grandement en valeur le corps du doberman, elle lorgna longtemps sur son dos et ses cuisses.

« Pourvu que cette saleté de guerre se termine vite » grogna t’elle.











































CHAPITRE 2
Terrain d’aviation, Hangar 2, 02h12 du matin.



Le « monstre » était la, tel un dragon dans sa grotte prêt à cracher des flammes sur l’intrus qui approcherait pour lui voler son trésor, il se tenait la, dans une demi obscurité, ont aurai dit qu’il frissonnait d’impatience, tel un chien prêt à courir après une proie.

Ortaon se tenait devant lui, il avait l’impression d’être un Dragonnier prêt à chevaucher son Dragon, il touchât la casserole de l’hélice avant, celle si était trouée pour laisser passer le canon MK-112 de 55 mm, cela donnait une gueule impressionnante à cet appareil, ainsi que les antennes sur les bord d’attaques des ailes.

« Ou est mon radariste ? » demanda le Doberman d’une voix encore un peu endormie

« Elle arrive » lui répondit un jeune mécanicien, « elle est à l’entrée »

Ortaon détourna la tête et vit la jeune Hylda qui s’avançait vers lui, elle le salua comme le voulait le protocole, puis elle posa son équipement de vol sur une table.
Elle posât ses mains sur ses hanches et regarda l’avion, elle éprouvait un sentiment d’excitation et de dégoût envers cette machine, elle pouvait tuer bon nombre de personnes, mais aussi en protéger beaucoup d’autres, tout dépend de notre philosophie, une arme sert t’elle à tuer ou à protéger ?

Hylda bailla longuement.

« Tu te sent d’attaque ? » demanda Ortaon.

« Oui ne t’inquiète pas, ça ira, au fait je voulais te dire pour hier… »

Ortaon lui serra le museau de ses mains et lui lança un regard tendre

« Hier j’ai juste entendu de bon conseils, je ne me souviens de rien d’autres »

Le Chien lâcha le museau de la Bergère Allemande, Hylda expira un grand coup, puis se secoua la tête.

« Quel est le plan de vol mon Capitaine ? »

Ortaon s’approcha d’une table ou était disposé une carte de l’Europe

« Les yankees on réussi a construire un nouveau bombardier lourd qui peut venir lâcher sa cargaison sur notre continent, d’après les services secrets… »

Services secrets, Ortaon ne pouvait pas prononcer ces mots sans penser immédiatement a Elsa, son cœur se serra, il bloqua sa respiration, il était perdu au plus profond de ses pensés.

« Capitaine ? »
Ortaon repris son explication

« …je disais donc, d’après certaines sources fiables, il vont tenter d’attaquer Berlin, l’idée d’une frappe nucléaire n’est pas a exclure.
Heureusement pour nous, il n’ont que quelque appareil de ce type, et il devrai y en avoir pas plus de trois ce soir, ils vont passer au dessus de l’Angleterre, nous avons tout un escadron de HE-219 qui vont tenter des les repérer, nous nous allons protéger Berlin ( Elsa ) de leur attaque, on va voler longtemps, on a 2 réservoirs largables sous les ailes plus un dans la soute.
N’oublie pas d’aller aux toilettes avant de partir, on va voler longtemps, tu as bien mangé tes carottes ? »

Hylda fit la moue et tira la langue d’entre ces dents, elle détestait les carottes, mais cela faisait partit du règlement, les carottes augmente la perception dans le noir, même si la plupart de ces chiens bipèdes sont nyctalopes, les carottes amélioraient leur performances visuel.

Ortaon lui fit un petit sourire, décidément cette fille était vraiment craquante.

« Allons y »

Ils montèrent dans le Dornier, Ortaon prit la place du pilote et Hylda se confina dans l’habitacle du radariste, situé juste derrière, c’était un second poste de pilotage légèrement surélevé, elle pouvait piloter l’avion mais les commandes étaient réduite au minimum, l’habitacle étant occupé par les systèmes du radar.

Elle entendit les volets de capots s’ouvrir, puis le démarreur avant se lança dans un long sifflement aigu, quelque instant après le dragon s’éveilla, et les 2500 chevaux du moteur avant se mirent à ronronner d’impatience.
Ce fut la même chanson pour le moteur arrière, mais en beaucoup plus fort vu que le moteur arrière était juste derrière et un peu en dessous d’elle.

Les deux moteurs du PFEIL était a présent prêt à rugir et à faire s’envoler cette machine, Ortaon alluma les phares situé sur l’aile gauche, puis commença a rouler sur le tarmac, vers la piste d’envol.

Il regarda les étoiles pendant qu’il roulait, pensant que tout pourrai être mieux sans cette guerre pour la survie.
Il tourna la tête a droite et regarda la lumière de la lune qui caressait le fuselage et la peinture grise tacheté de son avion. Il adorait regarder la lune, c’était pour lui la douceur incarné de ce monde, la lumière qui apaisait toute les souffrances.

« Porte moi chance » dit il en s’adressant à l’astre.

Le Dornier était a présent aligné sur la piste, Ortaon s’occupa des dernières formalités radio, il descendit les volet de 2 crans, puis bloqua les freins.
Il aurait voulu dire une grande phrase comme on aime à le dire dans ces moments, mais rien ne lui venait en tête, il se contenta de regarder les quelques hommes, femmes et Antrhos qui le regardaient sur le tarmac, il leur dit un simple

« A bientôt »

Il lança les moteurs à fonds, leur rugissement étaient impressionnant, la cabine vibrait de toute part, mais il aimait ça, une fois que les moteurs eurent leur régime maximal atteint, il lâcha les freins, et le Dragon gris s’élança de toute sa puissance, voulant chevaucher le ciel, après quelques centaines de mètre de roulage, l’appareil mordit le ciel et disparu rapidement, les cache-flammes des moteurs empêchait de voir les flammes des échappements, on ne pouvait le discerner dans le noir.

L’avion disparu dans le ciel pur rempli d’étoiles, pour une mission de mort qui devait en empêcher d’autre…









































Chapitre 3
Quelque part dans le ciel d’Europe, 4h15 du matin

Le ronronnement des moteurs agissait comme une berceuse aux oreilles d’Hylda, elle s’efforçait de rester éveillée mais cela n’était pas facile, le radar restait totalement muet, à croire qu’il n’y avait rien que leur 335 dans le ciel.

Hylda regarda le ciel étoilé qui s’affichait devant elle, il était magnifique, tant de lumières luisante au loin, alla attrapa le micro.

« Radariste au Pilote »

« Je t’écoute »

« Tu est sur qu’on est bien au bon endroit, je n’ai rien sur le radar » Dit Hylda en tenant le micro casque contre son oreille gauche.

« On est au bon endroit, ce qui m’inquiète c’est notre altitude, j’ai bien peur que leur nouveau bombardier ois bien plus haut » fit Ortaon, qui jeta un coup d’œil a l’altimètre qui indiquait 4000 mètres.

« On monte Hylda, prépare ton masque a oxygène »

« Très bien » acheva Hylda avec une note de mélancolie, elle détestait ce masque, de plus il était très mal conçu, elle pouvait respirer convenablement, mais ne pouvait pas parler, il fallait l’enlever pour prononcer la moindre parole, et le remettre aussitôt pour respirer.

Et l’ascension commença, les moteurs se firent plus bruyant, et le PFEIL montât.

La chienne regardait l’altimètre avec ses yeux bleus remplis de fatigue, 6000 mètres, 8000 mètres, 10 000 mètres, et enfin 12 000 mètres, l’altitude maximale de l’avion.

Ortaon respirait calmement dans son masque, il regardait les voyants du tableau de bord de son Appareil, surtout le fameux compteur de munition qui indiquait le nombre d’obus restant de façon (très) approximative.

« le MK-112 est prêt a cracher et les 2 MG-20 sont aussi parés, reste à espérer que ce canon de 55 sois aussi efficace qu’il le prétend »

Le dragon volait seul a présent, son radar cherchant désespérément une proie, ou plutôt a chasser tout intrus s’approchant de Berlin, le ciel était vraiment dégagé, on y voyait a des kilomètres, tout semblait calme et paisible, rien ne laissait transparaître dans cette nature de nuit l’horreur de cette guerre sans fin, le Doberman regarda a sa droite, il contemplait l’aile de son avion ainsi que les antennes radar qui en dépassait, cela lui faisait imaginer une araignée tissant sa toile entre ces antennes.

« elle pourrait attraper plein de papillon vu leur disposition »

Il la voyait marchant, tissant, attendant ses proies, contacte à 2h00, elle se jetterai dessus pour dévorer le moindre insecte trop imprudent pour s’aventurer entre les l’arbre métallique que forme les antennes, apparemment c’est du gros, cette araignée la pourrait se repaître des formidables insectes qu’elle attraperai.
Ortaon voyait maintenant un insecte noir arrivant dans la toile, il allait se faire attraper et se faire manger tout cru, cette insecte était un peu lumineux, comme des flammes d’échappements de moteurs…

Un son strident lui traversa le crâne, c’était celui de l’émetteur de bord, qu’on utilise si un pilote s’évanouie

« TU VA TE REVEILLER OUI ? CA FAIT BIEN 2 MINUTES QUE JE REPETE QU’IL Y A UN CONTACT ENORME A NOTRE DROITE !!! » Hurla Hylda.

Ortaon sortit de sa torpeur brutalement, il était encore en train de rêvasser, et le fameux insecte n’était qu’un énorme bombardier qui se situé a 1 kilomètres de distance, juste a ces 2h00.

« Exc…Excuse moi, je me suis assoupi » bégaya t’il.

« L’araignée ira manger plus tard ! Coupe ton micro quand tu chuchotes, ça ne me déconcentrera pas, et réveille toi quand je te dis qu’il y a quelque chose prêt de nous. »

Ortaon ne la reconnaissait pas, en situation de danger Hylda devenait tellement plus dur et sérieuse, elle lui faisait presque (envie) peur.

« On y va, prévient la base que nous apercevons un avion très gros »

Le Dornier vira a droite, droit vers sa cible, les moteur se mirent à rugirent leur chevaux, l’avion prit de la vitesse, il arriverai au contact avec sa cible a une vitesse de 700 KMH, de façon a ne pas laisser aux artilleurs le soins de riposter.

Le Pfeil se rapprocha de sa cible, et c’est bien ce que les 2 aviateurs craignaient.

Ils virent un gigantesque bombardier, avec 6 moteurs a piston renversé vers l’arrière, les traits de la lune se reflétaient sur son fuselage étincellent, il était facile de distinguer sa silhouette grâce a eux.

« A nous deux, aigle américains, voyons si mes crocs transperceront tes belles plumes d’aciers »


Tout fut très rapide, le Pfeil volait a au moins 300 KMH de plus que le Bombardier lourd, il fonça droit dessus.

Hylda se calla bien dans son siège, l’attaque allait être foudroyante, elle était excitée, mais cette exitation disparu vite quand elle si dit :

« Des pères, des Fils, pour en sauver, nous devons en tuer… quel horreur » elle coupa son micro et se mit a pleurer, fermant les yeux et priant une divinité pour ce qui allait se passer

Tout se passa en un éclair, arrivé a porté de tir, Ortaon enclencha la détente commandant le MK-112, des flammes sortirent de l’avant de l’hélice, pour cracher un feu mortel sur l’appareil ennemi, les obus touchèrent leur cible juste entre l’aile gauche et le 3eme moteurs, mais le spectacle qui s’en suivi fut différent de ce que le pilote avait put imaginer.

L’aile se détacha du bombardier dans une tempête de flamme, le tir n’avait même pas duré une seconde mais les obus de 55 mm avait déchiqueté la voilure avant d’exploser à l’intérieur, puis ce fut l’éclair jaune, l’avion venait d’exploser.

« J’ai du toucher les réservoirs… » Dit Ortaon.

Le Pfeil dépassât la boule de feu et disparu dans l’obscurité, rentrant vers sa base, Ortaon la contacta par radio, lui et Hylda allait pouvoir dormir, mais tout lui paraissait avoir été trop facile ce soir la.

L’avion disparu dans le noir, Hylda dans le poste supérieur, pleurait de joie et d’amertume

« Des vies détruire pour en sauver d’autres »

Le brut des moteurs disparu dans la nuit…






























« Uhu 1, m’entendez vous ? »
Cette phrase réveilla Hylda, l’écouteur dans ses oreilles lui faisait d’ailleurs assez mal
« Ici Uhu 1, je vous écoute »
« Avez-vous abattus un énorme bombardier ? »
« Affirmatif » répondit Hylda, « il y a un problème ? »

Il y eu un temps de silence, puis le contrôleur repris

« Rentrez a la base »

Hylda n’eu même pas le temps de répondre, la communication radio fut coupé, elle voulut en informer son pilote mais s’en ravisa

« Bizarre, ce n’était pas la voix d’Hans, le jeune contrôleur » elle se dit que ce dernier devait dormir, elle se rendormis réchauffé par son blouson.

Ce fut le choc des pneus mordant la piste qui réveilla Hylda, ils venaient de se poser sur la piste de la base, l’appareil roula jusqu’au tarmac et les deux DB603 K s’arrêtèrent dans un long mugissement, les deux chiens pouvaient entendre le métal chaud qui claquait pendait qu’il refroidissait

L’escalier roulant leur fut amenés, ils descendirent de l’avion, la ils virent 5 officiers des services secret qui les attendaient

« Capitaine Herman, Lieutenant Konig, Suivez nous, sans faire d’Histoires » dit un grand homme dans un uniforme noir qui ne laissait aucun doute sur son origine

Le Doberman et la Bergère Allemande ne résistèrent pas, ils suivirent les hommes sans discuter, de toute façon ils étaient bien trop fatigués.

Ils furent amenés dans une petit baraquement éclairé, Hylda retira son blouson, bien que la nuit sois la, il faisait chaud en juin.

« Asseyez vous » dit l’homme devant les 2 membres d’équipage de l’avion, les deux chiens s’exécutèrent sans poser de questions, l’officier fit le tour de la pièce, vérifiant que personne ne pourrait les écouter.

« Bien, je me présente, je suis le Major D.Hesselbarth, services secret, vous étés avec moi car il y a des choses qu’il faut que vous sachiez »

Le major se retourna et s’assis devant le bureau, faisant face au pilote et à sa radariste.

Ce dernier avait le crâne presque rasé, un front assez haut et un visage relativement fin pour un homme de sa taille.

Il respira un grand coup, comme si il allait plonger en apnée, puis il débitât tout ce qu’il avait à dire a une vitesse incroyable, on aurait presque dit une MG-42.

«Vous avez abattu le plus gros bombardier yankee qui existe, il faut savoir que contrairement a ce que vous pensiez, il ne transportait pas de bombe atomique, mais quelque chose d’autre, nous ne savons pas ce que c’est, certains disent que ça ne viens pas d’ici… »

« D’Allemagne ? Le coupa Hylda »

« Non, repris le major, plutôt de ce monde »

Ortaon releva ses oreilles, tout d’un coup son cœur s’accéléra, l’adrénaline coulait a flot dans ses veines, tout cela l’intriguais beaucoup.
Hylda elle frissonnât, les poils de sa nuque se hérissèrent.

« Que…QUOI ? » fit Ortaon

« Peut importe, la seule chose a savoir et que vous n’avez jamais abattu d’avion, que votre appareil a eu un ennui technique et que vous êtes rentrés bien plus tôt, vous étés allés vous douché et vous avez fait l’amour dans votre chambre, ce qui a dérangé Hans Wilft, qui ne pouvait dormir a cause de ça, plusieurs personne on été témoin des bruits de vos ébats ce qui prouve que vous étiez bien rentré il y a déjà 3 heures et 21 minutes »

Ils comprirent immédiatement, ce n’était pas la peine de discuter, Ortaon, pour conclure et faire comprendre qu’il avait bien compris rajoutât :

« J’adore faire l’amour avec toi Hylda, c’est vrai qu’on a dérangé pas mal de monde »

Hylda aurait rougis si elle avait pu le faire, elle pensa :

« si tu savais comme j’aimerai que le Major ai raison »

Ils se levèrent et saluèrent, puis le major rajouta d’une voix bien plus forte, fait en sorte pour que les curieux l’entendent

« Vous pouvez vous amusez, peut être que nous serons tous mort d’ici peu, mais SOYEZ DISCRET »

Le major insistât bien sur le mot « discret » en regardant les deux pilotes dans les yeux

« Disposez »

Ils sortirent tous de la baraque, le major rejoignit avec ses hommes un Arado 234 qui les attendaient.

« Tiens ils ont fait une version transport » remarqua Hylda

Le biréacteur décolla dans un rugissement et disparu dans la nuit
Hylda se colla contre Ortaon, plaquant son museau sur le coup du Doberman, son poil ras était si doux

« J’aimerai ne pas dormir seul, et il faut faire en sorte que ce que nous a dit le major puisse paraître réel »

Ortaon mis un petit temps à percuter, puis il sourit, les oreilles bien droites.

« Toi alors »

Il passât un bras autour de sa taille et l’amena vers les douches
Ortaon
 
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