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Taylkan_Stenver
Dragonne.
(Dragonne des montagnes campagnardes.)
Anthro
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Posté: 13 Oct 2018, 13:05 Sujet du message: Les petits poèmes du dragon-paresseux, et sa plume.
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Rôliste
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Avant que je poste mes petits poèmes, faut savoir qu'à l'époque où sur Discord je m'appelais encore AnTitanium (maintenant c'est kathly kayna) je postais quelques petits trucs sur le serveur Discord de la chaîne "Trash", je vais aller les chercher après, en attendant, voilà quelques nouveaux que j'ai recommencé à poster sur le Discord en question. (Je reprends de l'activité on dirait...)
____ Patte de dragon.
Tu voles sans te soucier de rien Tes ailes fatiguent un peu, pose toi. Laisse tes pattes prendre le relais, Que la terre te soutienne, repose toi.
Tu en as connu des choses dragon, Tes blessures en sont la preuve. Laisse donc tes compères faire, Que guérissent ces plaies là.
Tu dors, et tu rêves maintenant, Tes terres sont sauves, Bravo. Laisse moi t'approcher compère, Que tes pattes de dragon...
Puissent avoir le soin dont elles ont besoins.
[Date d'écriture, Aujourd'hui à 13:37]
____ Mélodie du ciel.
Toi qui est bleu, parfois gris. Toi qui pleure ou qui brille. Toi qui change de noir à blanc. Toi qui se couvre ou se montre.
Montre nous ton coeur nuageux, Montre nous tes voyages, Montre nous le monde de là bas, Montre nous la sphère jaune brûlante.
Je sais ce que tu est et ce que tu veux, tu veux trouver ton coin de paradis ici, ce paradis n'attends plus que toi mon ami, mon ami, c'est ce que tu est à mes yeux, mes yeux qui te regardent avec une passion, une passion nouvelle pour ce que tu est.
[Date d'écriture, Aujourd'hui à 13:22]
____ Un peu trop vide.
Il est neuf heures, les couloirs sont vides, Tous en classe, ou dans le gymnase. On peut marcher sans être bousculé, On peut s'imposer dans cet espace là.
Mais généralement ça a une fin tout ça, Et cette fin c'est l'horrible sonnerie. Le monde afflue en masse, j'étouffe. Je cherche un point de repère précis.
Je suis hors de la file, hors des bousculades. Je préfère mieux quand y'as personne. Quand c'est calme, paisible, silencieux. Quand c'est vide, un peu trop vide.
[Date d'écriture, Hier à 16:02]
____ Le bus et l'ennui.
On monte, on présente Sa carte. La place attend Une présence chaleureuse.
Le chauffeur tourne la clé, Et le bruit du moteur vient. Que c'est agréable ce bruit.
Je met ma musique, je Me téléporte autre part Et les mouvements me Bercent dans mon vaisseau.
Je suis autre part et plus Rien, plus rien ne me Dérange.
Les rimes je n'en ai pas Besoin pour voyager Autre part à travers Les dimensions et Mondes nouveaux.
Je laisse la musique faire et contrôler mon imagination.
[Date d'écriture, jeudi dernier à 18:15]
____ Si jamais ça vous plaît, n'hésitez pas à me le dire, à m'en donner des retours! J'en posterais encore ici!Peut-être même d'ailleurs que je pourrais en faire quelque chose d'autre...
_________________ It's not fair, it's not right, There's no reason to fight But still that is our daily lives Guns loaded, blind hatred, no eyes that are kind And no sleep at night
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Taylkan_Stenver
Dragonne.
(Dragonne des montagnes campagnardes.)
Anthro
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Posté: 13 Oct 2018, 13:54 Sujet du message: Des anciens poèmes, je sais pas quoi en penser.
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Rôliste
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Allez! les voilà! J'ai bien fouillé et... y en a pas mal en fait.
___ ]Sans titre[
Quand les cieux couvrent l'horizon. Quand les blancs nuages y trouvent refuge Je me blottis à mon terminal... Mon ordinateur... Forcé de rester à l'intérieur... Cause du temps...
[Date d'écriture, 26/02/2018]
___
]Sans titre[ (Va y en avoir beaucoup)
Crépuscule Ardant. Aube cryogénique. Le monde contraire, Se déroule tout autrement. Quand je jour se lève, on voit la lune Quand la nuit devient, le soleil prend place. Une simple opposition, Mais des nouveaux paysages. Prennent place dans Ce merveilleux monde contraire.
[Date d'écriture, 30/03/2018]
___ ]Sans titre[
Simple plume, et l'épée est à terre. Simple feuille et on entoure la pierre . Espoir est un mot en lequel il faut croire. Réalité est ce qu'on cherche à oublier. Famille, c'est une priorité dans la vie. Amis, un jour, amis toujours. Quand tu penses à ces mots, ces phrases : que vois tu? Mon cœur dis que c'est l'essence de la vie. Ma pensée dis qu'elle ne connait pas la signification. Je dis que c'est un texte.
[Date d'écriture, 04/04/2018]
___ ]Allez! c'est la fête aux sans titres![
Je ne vois rien, plongé dans la nuit. J'attends, quelque chose de particulier. Venant de loin, venant du ciel. Aux couleurs sorties d'un rêve. L'aurore, cette reine des phénomènes naturels. L'aurore boréale, un cadeau solaire.
[Date d'écriture, 04/04/2018]
___ ]Sanstitre.exe a cessé de fonctionner, Windows recherche une solution au problème.[
Je l'ai entendu, Tu l'as vu, Il l'a eu, Le rêve s'est matérialisé, En nuages comme le disait mémé, J'en suis encore émerveillé. Rouge bleu jaune vert, Tellement de couleur... Ah non c'est une erreur... Je viens de me réveiller... La réalité, dure sortie. Je n'ai plus qu'à sortir du lit ...
[Date d'écriture, 06/04/2018]
___ ]Et on fait tourner les sans titres![
Je suis... C'est simple ! Je suis. Je suis aventurier. Je suis éleveur. Je suis bibliothécaire. Je suis agriculteur. Je suis... Ce que je veux... Mais ce n'est que dans les bras... Les bras de Morphée... Je suis en vrai un simple adolescent de 15ans... En quête d'une aventure... Qui ne cherche qu'à jouer constamment sur son ordinateur... Je suis... Mais pas comme j'en rêve... Le rêve... Cette alternative à la réalité... On en oublie qui on est
[Date d'écriture, 16/04/2018]
___ Dystopie. (AH ENFIN! des titres!)
Ciel, terre, océan. Nouvelle ère devant. Je sens, je vois l'avenir. J'arrive à le ressentir. Il n'est pas forcément glorieux. Le travail sera trop laborieux. Je veux entrer dans l'utopie. On m'emprisonne dans la dystopie.
Dystopie, tout le contraire de notre utopie. On va tomber dans la Dystopie, le rêve n'est qu'une autre utopie.
On me disait quand j'étais gamin Qu'il fallait croire aux rêves du lendemain Je me suis rendu compte que c'est pas possible. Je me suis rendu compte que c'est impossible. Pourtant impossible n'est pas français. Enfin comme les optimistes l'imaginaient. C'est pour ça que maintenant. Je ne crois plus les parents.
Dystopie, tout le contraire de notre utopie. On va tomber dans la Dystopie, le rêve n'est qu'une autre utopie.
L'avenir est mauvais, ça je le sais. Mais comprenez que juste, j'en ai plus rien à faire en vrai, plus rien à faire en vrai. Mon moral est à zéro, ça c'est un fait, pourtant encore je pense que dans l'utopie j'arriverai, dans l'utopie j'arriverai.
Dystopie, c'est le contraire de la juste utopie. On finira tous dans la Dystopie, le rêve est la nouvelle utopie.
[Date d'écriture, 20/04/2018]
___ ]Même après ça j'arrive encore a faire des sans titre... eh beh...[
Quand le temps devient interminable. Quand la vie te fais te sentir comme minable. Quand le ciel ne brille plus de milles feux. Quand un vaut beaucoup mieux que deux. En ces moments là... Ce sombre aléa... Je regarde la supernova. Je regarde le ciel de nova. Je prends le temps de Vivre et de ne pas renoncer à ce que j'ai été, ce que je serais.
[Date d'écriture, 07/05/2018]
___ ]Sans titre, on commence a avoir l'habitude avec le moi d'antan[
Désormais je vois le monde comme j'ai toujours voulu le voir. Pas de dystopie pour venir troubler mes rêves, je veux y croire. Quand on veut, on peut ! Quand on veut on peut! Danser dans le feu! Danser et être heureux !
Chaque couleur est synonyme d'émotions, ça ne s'invente pas. C'est réellement le cas et moi j'y crois, le rouge je ne le vois pas. Comme toute le monde j'ai eu l'occasion d'être né. Et j'espère pouvoir donner naissance moi aussi. Les odeurs de la nature me guident vers le bonheur. J'espère ne pas être en retard d'une simple heure. Les odeurs de la nature ne viennent pas du malheur. Je ne serai pas en retard pour sa naissance je serai juste à l'heure!
Je veux le voir grandir, dans le bonheur! Je veux le voir grandir avec les fleurs! Je veux ressentir de la joie comme lui. Je veux juste pouvoir le voir grandir ! Eh!
Depuis sa naissance, je vois le monde comme j'ai toujours voulu le voir. Pas de dystopie pour venir troubler mes rêves, je veux y croire. Quand on veut, on peut ! Quand on veut on peut! Danser dans le feu! Danser et être heureux! Désormais je vois le monde comme j'ai toujours voulu le voir. Pas de dystopie pour venir troubler mes rêves, je veux y croire. Quand on veut, on peut ! Quand on veut on peut! Danser dans le feu! Danser et être heureux !
"tu vois petite j'ai été comme toi. J'ai jamais laissé tomber un rêve. Je me suis toujours dis que si j'en lâchais un seul, ma vie était foutue -oui mais papa toi t'as voyagé mais moi pas encore, Voudrais tu me faire découvrir le monde merveilleux qui nous entoure." Depuis qu'elle a dit ces mots, on arrête pas de voyager. Constamment en mouvement vers des lieux magiques. Elle a voulu aller voir les montagnes des Vosges. On y est allé et après on est parti vivre une vie à Limoges.
Je l'ai vu grandir et enchaîner ses bougies une par une. Je l'ai vu grandir et déchaîner sa joie devant la lune. Je l'ai vu trouver l'amour de sa vie, elle en est passionné. J'ai pu faire la seule que je voulais, c'était de la voir grandir!
La dystopie n'a pas fait le poids contre moi. J'ai déchiré ses pages sombre et sans utopies. J'ai vécu des rêves et des moments merveilleux. Maintenant... J'ai 96 ans...
[Date d'écriture, 30/05/2018]
___ Oulala... sont tous là! Comparez et dites moi ce que vous en pensez, sont par ordre chronologique !
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Taylkan_Stenver
Dragonne.
(Dragonne des montagnes campagnardes.)
Anthro
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Posté: 04 Nov 2018, 17:25 Sujet du message: Nuit du dragon-paresseux.
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Rôliste
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Voici enfin un nouvel ensemble de poèmes, ou le thème principal qui est abordé est la nuit.
Nuit blanche.
Je ne dors pas, mes yeux disent non. La lune se couche déjà, j'ai sommeil. Pourquoi cette soudaine insomnie?
Je cherche dans mes pensées l’erreur, Elles sont confuses, la voilà la raison. Je ne peux pas faire le tri dans tout ça. Elles se bousculent sans cesse, dans ma tête.
Est-ce que j’ai trop voyagé ces temps-ci? Est-ce que je pense trop a chercher l’amour? Est-ce que c’est simplement l’ennui quotidien? C’est juste que je pense a trop de choses a la fois. Je devrais prendre un verre de lait, ça ira mieux là. Un lait blanc, tout comme cette nuit là, insomnie, va t’en.
Va t’en d’ici et laisse mon corps en paix, je veux des forces pour demain. J’en ai besoins pour voyager et voler dans les cieux de l’aube montante.
[Nuit du dragon-paresseux, mardi vingt-trois octobre, minuit six]
Nuit d’autre part
La nuit est belle, vue de chez soi, mais elle l’est encore plus ailleurs. Voyagez donc, voyez là défiler sous toutes ses facettes et ses beaux angles.
Que vous alliez en montagne, en mer. Posez vous, prenez le temps d’observer. Au moins les étoiles, juste leurs lueurs… Peut-être la lune aussi, la pleine ou non.
De mon côté, je me pose sur les falaises, et je chante pour la belle nature nocturne.
De mon côté, je dépose mon emprunte là. Partout ou la nuit est avec moi, souvenirs.
De son côté, elle m’embrasse avec sa lumière, celle que le soleil lui donne, pour la partager .
De son côté, elle danse calmement avec le ciel, avec les étoiles, et les roches qui lui disent bonsoir.
C’est beau la nuit, peu importe comment on la voit, c’est beau… Elle ne cesse de nous impressionner à chaque fois qu’elle pointe le bout de son nez.
[Nuit du dragon-paresseux, mardi vingt-trois octobre, dix-sept heure trente-six.]
Nuit calme.
C’est doux, c’est tendre, j’aime être dedans! Ces draps font ma nuit, et mes beaux rêves, mon sommeil, et mes moments en amoureux. Moi et lui, ensemble à rêver l’un de l’autre.
On rêve de nous deux combattant des monstres, avec pour seule arme, notre bel amour éternel. On se bat parfois pour gagner un palais en or, parfois pour un vaisseau aux couleurs magenta.
Quoi qu’il en soit, chaque rêve est quelque chose, unique et merveilleux, émouvant ou dramatique. Simple paysages, ou lieux cristallisé et colorés, peu importe tant que j’en rêve avec lui, seulement.
Je veux juste rester avec lui, dans ces rêves-ci, parce que il est tout pour moi.
[Nuit du dragon-paresseux, jeudi vingt-cinq octobre, vingt-trois heure quarante-six]
Nuit et orage.
Je l’entends toner, ce son, cet impact. Cette soudaine lumière dans l’obscurité. Ça fait peur, mais ça me passionne. L’orage et moi, c’est comme des amis.
Je me met devant ma fenêtre, et… J’attends qu’il me réponde, après? AWOOOOOOOOOOOOOOOOO C’est plus fort que moi, pas possible d’y résister.
Je dois hurler, je dois, je veux répondre! Je veux partager ma discussion avec les éclairs! Qu’on sache que l’orage et moi, c’est comme deux vieux amis.
Malgré la peur que certains ressentent, lui et moi on échange, on se raconte nos journées. Il me parle des terres qu’il a frappé, je lui parle de mes aventures, et de moi.
[Nuit du dragon-paresseux, vendredi vingt-six octobre, deux heures cinquante-sept]
Nuit de guerre.
C’était inattendu, ils ont frappé vers minuit trente, quels lâches. La plus part des forces furent tuées moi j’ai combattu avec ma hache.
Les généraux sont partis très vite d’ici les murailles ont très vite été démolie notre si belle et grande armée, ramollie puis la bataille fut achevée, c’en était fini.
J’ai juste cherché a retrouver les survivant, ceux qui peuvent revivre une telle horreur une seconde fois, je commence à avoir peur.
Je veux les protéger, mais pour ça, on va devoir fuir loin d’ici, il faudra juste espérer qu’on en ressorte vivants.
[Nuit du dragon-paresseux, lundi vingt neuf octobre, une heure seize.]
Caverne des nuits cristallisées
Il pleut dehors, et je suis bien obligé d’y rester, sinon je vais être trempé. Cette caverne m’intrigue vraiment. Je devrais avancer dedans autant faire quelque chose de cette nuit là.
C’est étrange, la roche n’est plus la même, on la croirait couverte d’une sorte de verre maintenant, et plus je vais loin, plus ça semble transparent.
J’entends quelque chose, on dirait que c’est de l’eau qui coule, une rivière sous terre? J’approche le bruit, doucement, là. Hein? Mes pattes se sont faites mouillées? C’est… oh? Mais c’est tellement beau ça!
J’entre dans une belle caverne aux milles couleurs vives et multiples, chaque pas et tout change, elle est remplie de cristaux.
Je n’ai jamais vu une telle beauté.
La rivière que j’ai entendu est une source chaude.
C’est agréable, un beau paysage, une source chaude en plus, j’adore. Que de détente en ce lieu, je vais… Je vais m’y endormir pour la nuit.
Je vais y revenir avec lui, il va aimer cet endroit.
[Nuit du dragon-paresseux, lundi vingt-neuf octobre, treize heures trente-six]
Une nuit dans la station.
On pourra dire ce qu’on veut sur cette station, mais la vue d’ici est tout simplement une merveille. Peut-être, il n’y a que du bruit ici, mais c’est un mal pour un bien titanesque.
Les étoiles sont par millions ici, et voir ces planètes d’en haut ça nous fait réaliser qu’on est très petit dans un monde a la taille de millions de soleils réunis là.
Que ce soit ces planètes désertes ou alors les volcaniques ou les cryogéniques, tout ces paysages n’attendent que leur explorateur.
Je suis celui-ci, et ces planètes sont mon terrain de jeu, mais je m’oblige a y aller la nuit, c’est encore plus beau.
Mon vaisseau n’attends plus que moi ma prochaine destination m’attends.
La nuit d’ici semble être très courte.
[Nuit du dragon-paresseux, mardi trente octobre, onze heures cinquante-deux.]
Vivement la nuit…
ça fait depuis treize heure que j’attends cette ombre et sa jolie lueur dans les cieux, elle, là, qui accompagne ces belles nuits d’ici.
Pas la moindre trace d’étoiles, et pas non plus de couché de soleil. Je me demande vraiment si elle joue a cache cache. Peut-être, la nuit semble joueuse en ces temps.
Pas de trace d’elle depuis trois jours, dommage moi qui était venu là haut pour la voir. Mais attends, j’avais oublié qu’on était au pôle nord! C’est les six mois de jours! Zut.
[Nuit du dragon-paresseux, mercredi trente et un octobre, une heure trente.]
Les étoiles et les montagnes…
Voir qu’elles montent haut et qu’elles côtoient le ciel et son sombre drap de nuit, moi ça me fait planer, rien que m’imaginer sur leurs sommets, je…
Je m’imagine sur la frontière entre nocturne, terre, ciel, et ces étoiles.
Je monte sur leurs sommet via les miracles de l’imagination, le paysage est beau, au dessus des nuages le monde est un verre de lait.
Je me pose sur la frontière entre nuages, air frais, lueurs et lune.
Je m’y crois comme si c’était vrai, je suis léger, et je ne sens plus mon corps, il se relâche subitement, je tombe trop bas.
Je suis dans la frontière entre rêve, cauchemar, réalité, et… Une chute. Je me réveille… je suis sauvé.
[Nuit du dragon-paresseux, samedi trois octobre, deux heures cinquante-deux]
Vivre sans elle?
Non, on en a besoins, besoins de son voile de cécité imposé, aussi de sa couverture de magie, nuit. Vivre sans toi n’est pas possible.
De plus, le monde est plus beau avec toi le recouvrant de tes airs de reine, reine des lieux quand le clocher sonne les quatre zéros, ou comme je dit, l’appel de Morphée.
Mais il faut bien que ça cesse et laisse place au jour, tu dois partir malheureusement, même mon cœur en souffre, et mes rimes ne sont plus en ton absence, qu’elle est longue.
Oui et non, on peut vivre sans elle. Il nous faut ce cycle ou la lumière et les ténèbres s’échangent leurs places, sinon… ça en est fini de nous.
[Nuit du dragon-paresseux, samedi trois novembre, seize heure quarante-sept.]
La dernière avant le retour.
C’est demain, on y retourne dans cette routine des stylos et des classeurs, tant mieux à vrai dire, mes jours était longs tout comme ce vers-ci qui semble dépasser ses limites…
Je pourrais enfin retrouver les joies de devoir courir partout dans ce bâtiment, devant aller ici, là-bas, en haut, dehors et je ne sais même plus encore.
En attendant, laissez moi avec. Laissez moi faire ma dernière discussion avec sa sphère qui luit tard, et très tôt à la fois.
Je veux qu’elle soit parfaite pour que la journée de demain se passe tout aussi bien que elle… la nuit.
Dormez bien, et, savourez la tant que vous le pouvez, demain, c’est le retour.
[Nuit du dragon-paresseux, dimanche quatre novembre, dix-sept heure quatorze.]
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Claircendre
corbeau
(avec un peut de bleu et de violet)
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Posté: 16 Mar 2019, 12:20 Sujet du message: Re: Les petits poèmes du dragon-paresseux, et sa plume.
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tu m'a conquis dé le premier poème YvY magnifique
_________________ Croa croa. Moi oiseau de mauvais augure? mais non... Juste nécrophage filou et farceur ^v^
+ [spoiler]
déçue? vous vous attendiez à quoi? ^v^
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Taylkan_Stenver
Dragonne.
(Dragonne des montagnes campagnardes.)
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Posté: 08 Avr 2019, 23:08 Sujet du message: Re: Les petits poèmes du dragon-paresseux, et sa plume.
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Rôliste
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Mhhrr... ça fait assez longtemps que j'ai pas fait un tour sur le forum... Boarf! J'en profite pour ajouter les nouveaux poèmes, ça sera fait ^w^
Dans pas très longtemps.
Encore deux trois jours à attendre, je le veux à côté de moi déjà, là… j’attends qu’il puisse venir chez moi que je prenne amoureusement soin de lui.
Il faut juste attendre, c’est ça, attendre. Mais à force, mes journées deviennent longues Et je m’ennuie vite, ne cessant de penser à lui. j’imagine déjà tout ce qu’on voulais faire ensemble.
Je lâche une larme de temps en temps, le temps les efface une à une, il sera bientôt là. Je pense à son regard, son odeur, ses envies, ainsi qu’aux moment qu’on va passer.
[J'avais pas noté la date XwX]
Le rêve, ou la raison.
T’auras beau en rêver. Les miracles c’est rare. Fait toujours un essai, mais tu verras c’est pas toujours simple d’y arriver
Entre rêve et réalité faut choisir. Le rêve, tu ne pense qu’a une vie parfaite. Mais tu sais que ça n’arrivera peut-être pas. La réalité, tu pense a ce que tu peux faire avant. Tu galère, tu bosse, tu te renferme pas sur toi, et à force de travail tu devient possesseur de ton rêve. Mais rare, très rare est présente cette opportunité.
T’auras beau en rêver. Tu ne l’aura pas vieux. Soit réaliste un moment. Sort de ta bulle et pense réel avant onirique.
Ton rêve, faut pas se leurrer. t’as pleins de façon d’y arriver. Mais une seule est celle qui t’es adaptée. Les autres ne sont pas ce que tu reflète réellement. Soit elles vont t’obliger à changer ton unique personnalité Soit elles vont t’isoler lentement et te pousser au lieu de te tirer. Choisit la bonne. Elles ne sont pas étiquetées et n’ont pas de goût ni d’odeurs.
T’auras beau en rêver. Tout les chemins mènent à Rome. Tout les chemins mènent à Carthage. Tout les chemins mènent à un futur qui te sera bon, ou mal.
[24/03/2019]
Galaxie des notes.
Considérez la matière comme un instrument, Et les couleurs comme des notes plus ou moins graves ou aiguës. Imaginez vous un monde ou les notes sont votre, et les instruments aussi. Et créez, créez avec tout et n’importe quoi. Vous êtes maîtres.
Matérialisez votre monde, saupoudrez le de vos goûts, faites des mélanges. Créez VOS étoiles, vos planètes, avec vos notes. Soyez le dieu du rythme, le dieu de la musique. Que les instruments vous permettent le pouvoir, le pouvoir de création. Ô créez votre seule et unique galaxie des notes.
Une musique nous fait toujours penser à quelque chose. Un paysage, un livre, un moment, une personne. Des souvenirs, de la tristesse, de la joie, de l’amour. Utilisez votre mémoire pour vous aider dans votre quête galactique.
Synthétisez votre monde, assaisonnez le de vos goûts, faites votre cuisine stellaire. Créez CET univers, ses règles, avec votre talent. Soyez l’annonciateur d’une révolution musicale. Que les grand d’ici vous apprennent à faire le grand de chez vous. Ô créez l’utopie auditive, un endroit magnifique. La galaxie des notes.
[La musique dans toute sa nature onirique. 24 03 2019 15H 10]
Le rêve qui voulait durer.
Je me lève, comme chaque matin, Réveillé par mon père, j’veux dormir. Encore un moment s’il te plaît, J’ai pas envie d’y aller. Dans une heure si tu veux.
Au final je pose la patte au sol. C’est mouillé. Ça monte. C’est étrange. Je rêve encore? J’en sais rien mais l’eau monte. Je cherche des points de repère, vite fait. Comme j’ai des ailes je m’envole au plafond, m’accrochant aux poutres de bois de la chambre.
L’eau n’est plus, j’étais sûr de l’avoir vu, il n’y a même pas une seconde avant. Je regarde encore, je frotte mes yeux, plus d’eau, je comprend plus rien. Subitement le décor change. On… est dans le futur?
Ça explose, des morceaux de métal me frôlent, une machine ressemblant à une araignée mécanique surgit du mur, elle se bat avec quelques personnes, je crois les reconnaître. Elles viennent de mon imagination.
D’un coup je me sens secoué. J’entends qu’on crie mon prénom, Le décor se dissipe, mes repères ne sont plus. C’est… Le réveil. Inévitable. Je m’étais rendormi en même pas une seconde.
C’était un rêve qui voulait faire son temps. C’était un rêve que mon cerveau voulait voir. C’était un rêve qui voulait se finir, ou… C’était le rêve qui voulait durer.
[Onimonde. 26 03 2019. 23H 03]
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