
j'aimerai juste votre avis sur une histoire que j'ecris ^^
Merci encore
La Flèche Noire
Notes : j’écris cette histoire pour mon propre plaisir personnel, j’y combinerai diverse passions et envies, si vous aimez tant mieux, si vous n’aimez pas tant mieux aussi, il faut de tout pour faire un monde.
Les personnages utilisés dans cette histoire sont de ma propre invention, ou créés par Phillip Peterandel, j’utilise des personnages et l’univers avec son accord, ne faite pas de même sans l’accord des créateurs.
Cette histoire va mettre un des personnages principaux de Phillip Peterandel en avant, aussi je tient a signaler comme il me l’a demander que cette histoire de reflète un rien la véritable histoire D’Elsa von Strachwitz.
Cette histoire va se passer sur un fond de seconde guerre mondiale, mais qui s’est déroulé très différemment de la réalité, certain personnage seront Anthropomorphes.
Si vous aimez les Avions de la Luftwaffe de 1946, les Furry et le contexte WWII, je pense que vous aimerez.
Chapitre 1
Quelque part en Allemagne, Juin 1946 19H37
« Retour prévu : 19H20 »
Ce furent les paroles que prononça Hylda en posant le plan de vol qu’elle avait sous les yeux sur la table en bois, elle était inquiète, normalement il n’arrivait jamais en retard, surtout avec cet avion.
Ce soir la le soleil rasant éclairait la piste de toute sa splendeur, tel un dragon crachant des flammes, prêt a dévorer tout appareil se lançant vers lui.
Hylda se leva, l’attente était insupportable, elle sortit à l’extérieur du hangar, ses grandes bottes résonnaient sur le béton du terrain, elle s’approchât d’un SD KFZ qu’on utilisait pour ranger les avions dans le hangar, elle posât une main dessus et serra fortement le guidon, à tel point que si elle n’avait pas eu de fourrure, on aurait vu la jointure de ses doigts blanchir.
Hylda n’était pas humaine en effet, elle avait tout du Berger Allemand, mais avec une beauté et un charme incontestable, du haut des ses 1M75, elle regardait vers le nord, la ou elle devrait voir le Dornier arriver.
Elle bougeait sa queue d’anxiété, un peu comme le font les chats, elle ressentait une légère douleur au niveau de ses pattes, en effets les bottes digitigrades n’étaient pas aussi confortables que des bottes d’humains, mais elle avait d’autres choses en tête qui la préoccupait plus.
« Mais ou est tu bon sang ? » dit elle a voix basse, elle attendait son vieil ami, dont elle était secrètement amoureuse.
Elle détourna la tête, et regardât a l’autre bout du terrain, la se tenait le tout nouvel avion de chasse de nuit de la Luftwaffe : le Dornier 335 B-6 / II
« le Monstre… » Comme l’appelait Hylda, il est vrai que cette appareil avait tout d’un monstre.
Cet incroyable bimoteur de type « Push/Pull » avait des performances et une puissance de feu hors du commun.
Equipé du tout dernier model de radar, il lui était facile de détecter n’importe quel bombardier lourd dans la nuit, sa vitesse impressionnante de 800 km/h, obtenu par de nouveau moteurs Daimler-Benz DB603 K de 2500 chevaux chacun.
Il disposait également de nouveau siège éjectables, non plus actionnés par air comprimé, mais par propulsion d’une petite fusée, ce qui rendait le système beaucoup plus efficace. Il y avait aussi le nouveau poste de l’opérateur radar, dépassant du fuselage beaucoup moins que les postes des versions d’entraînement.
Hylda posa son regard sur le nez de l’appareil, un frisson lui parcouru le corps de la nuque au bout de la queue, elle regardait la gueule de monstre, a travers le cône de l’hélice se trouvait la vrai puissance du «PFEIL » : un canon de 55 mm, des obus de ce calibre ne laissait aucune chance à n’importe quel appareil, c’était comme un laser qui découpait tout, c’était une merveille de puissance, c’était…
« …une véritable horreur » dit Hylda en se mordant la lèvre inférieure, elle était mécanicienne, mais faisait une formation pour devenir radariste sur cette avion, et l’idée de donner la mort même pour défendre son pays avec une arme aussi dévastatrice ne l’enchantait guerre, même si tout avait changé…
Elle s’appuya sur le petit tracteur puis posât ses mains sur sa tête, on ne voyait plus son visage, juste son museau et ses oreilles couchées.
La chienne repensa à tout ce qui était arrivé, en effet la guerre ne s’est pas déroulée dans cette histoire comme nous l’avons connue.
Le 30 Avril 1942, Adolf Hitler fut assassiné par un groupe de rebelle Allemands, qui voulait stopper l’horreur de toute cette guerre…
« Et dire que cela a failli marcher… » pensa Hylda.
Effectivement, une proposition de paix arriva 2 jours plus tard, tout les pays l’acceptèrent, tous sauf un…
« Saletés de yankees » murmura la chienne, il est vrai qu’on ne pouvait lui donner tord, tout les pays Alliés avait acceptés la proposition de cessation des hostilités, sauf les Etats-Unis d’Amérique, qui voyait dans le peuple Allemand une menace perpétuelle pour le monde, le président de cette histoire avait décider de se débarrasser des Allemands comme on se débarrasse d’une colonie de cafard.
Les autres pays restèrent neutres, la guerre pour la survie de la Nouvelle Allemagne débutait.
Hylda regarda la queue de l’avion, on y percevait encore l’ancienne croix que l’on avait remplacer par le symbole d’un empreinte de canidé, ces êtres anthropomorphiques, personne ne savait d’où ils venaient, mais on y voyait un espoir, ce fut donc leur empreinte qui remplaça tout les croix de l’ancien régime.
Les oreilles d’Hylda se redressèrent brutalement, elle avait perçu le son d’un moteur, elle figea son regard et tendu mieux l’oreille pour être sur qu’elle avait bien entendu.
Elle se retourna et vit le Dornier qu’elle attendait
« Enfin te voila » murmurât elle, elle se sentie soulagée, reposant sa main sur sa poitrine et soufflant l’air accumulé dans ses poumons, comme si l’attente avait vicié l’air et que ce son permettait a ses poumons de ses remplir d’air pur.
L’appareil amorça un virage au dessus de la piste, puis, réduisant les gaz, il descendit doucement vers la piste, les pneus mordirent le sol brutalement, laissant apparaître un petit nuage de fumée et une jolie trace de gomme sur le bitume de la piste.
Hylda entendit le crissement des freins ralentissant l’appareil, elle vit le moteur frontal se couper alors que le pilote gardait allumé le moteur arrière pour pouvoir amener son « Pfeil » au Parking, le gros chasseur fit encore quelque manœuvre, s’immobilisât et enfin son moteur arrière se tut dans une plainte sifflante.
Hylda prit dans la chenillette la manivelle servant a faire descendre l’échelle situé sur l’aile droite du Dornier, elle se déplaça d’un pas vif, son regard ne bougeait pas d’un degré, sa queue elle par contre était légèrement recourbée, indiquant un agacement profond, voir même de la colère.
Lorsqu’elle tourna la manivelle pour faire descendre l’échelle, elle entendit le canopy s’ouvrir et le pilote en sortir, elle ne le voyait pas encore, mais elle savait qu’elle aurait deux mots à lui dire.
Le temps que le hauptman finisse de fermer le canopy, elle fit un tour rapide de l’appareil, l’air très agacée, elle chuchota :
« Pas un seul impact, pas une seul fuite, les canons de 30 mm sont toujours propres, il n’a même pas engager un combat, il n’a pas respecter ce qu’il m’a dit »
Hylda porta son regard par-dessus l’aile, elle se situait a présent sur le coté gauche de l’appareil, entre l’aile et le moteur avant, c’est a ce moment qu’elle vit le capitaine, et aussi la source de sa terrible inquiétude.
« ELSA » Voila ce qu’il y avait marqué sous le cockpit du 335, Elsa… la fille qui causait autant de souci à Hylda…
La bergère allemande donnas un coup de point fermé sur le fuselage de l’avion, mais elle se brûla la main en touchant les pots d’échappements, en effet ceux de son appareil était recouvert de cache flamme pour la chasse de nuit, et ces caches flammes chauffait beaucoup moins.
Elle poussa un petit cri de douleur en se tenant la main
« Ça va ? » fit une voit venant du dessus
« Ja, Hauptman, Ja »
Elle s’adressait au Capitaine Otto Herman Ortaon, un grand Doberman d’1M88 qui la regardait avec un léger sourire, Ortaon descendit de son « Pfeil » puis rejoignat Hylda en passant sous l’aile gauche.
« Fait moi voir ta main » dit t’il d’un ton paternel, il prit la main de la chienne dans sa main et vit que le poil avait roussi du coté ou elle avait touché les pots, il était attentif, a-t-elle point qu’il ne compris pas ce qui lui arriva.
Hylda, avec un aboiement de colère l’attrapa par le col et le plaqua contre le bord d’attaque de l’aile, les yeux bleu acier de la chienne se plongèrent dans les yeux jaune feu du Doberman, elle le retira du bord d’attaque pour mieux l’y re-plaquer, et elle lui dit plein de rage.
« TU N’A PAS ENCORE COMPRIS ? TU VEUX Y LAISSER TA FOURRURE TOI AUSSI ? »
Hylda bavait de colère, elle ne se contrôlait presque plus, le coté humain avait perdu le contrôle, le coté anthropomorphe aussi, même le coté canidé avait presque disparu, elle parlait avec sont coté loup, inscrit dans ses gènes depuis bon nombres d’années, elle avait la rage d’une mère attaquant l’assassin de ses petits.
« ELSA EST MORTE, TU VA TE METTRE CA DANS LE CRANE UNE BONNE FOIS POUR TOUTE OUI ? ELLE EST MORTE !!! LA VOITURE QUI L’AMENAIT A BERLIN A ETAIT PRISE DANS UNE BOMBARDEMENT DE B-17, ALORS ARRETE DE FAIRE CES RECONNAISSANCES QUI NE SONT PAS PREVU POUR SUIVRE TA SOIS DISANTE PISTE POUR LA RETROUVER !!! »
Le silence régnait à présent sur le terrain, les quelques mécanos et pilotes présent sur le tarmac ne disait plus rien, il regardait tous en direction du Dornier, pas un n’osait bouger, de peur de se faire remarquer, comme lors d’une vente aux enchères lorsque le prix atteint un niveau astronomique et que personne n’ose même se gratter le nez de peur que le gérant prenne ce geste comme une surenchère.
Hylda était à présent à genoux, elle pleurait contre les cuisses du pilote, les sentiments à l’intérieur d’elle se bousculaient, la peur, la terreur, l’amour, tout se mélangeait en une affreuse bouillie aussi infecte pour l’âme que un plat avarié pour l’estomac.
Ortaon restait la, debout, la bord d’attaque de l’aile de son avion le rassurait, il adorait cette machine, elle le rassurait, il se sentait bien avec ce monstre de puissance, presque comme si c’était une seconde mère dans laquelle il se sentait a l’abris du monde extérieur.
Il ne savait comment réagir avec la Chienne, il pouvait s’en aller sans rien dire, ou la coller au gniouf pour insubordination, ou essayer de discuter avec elle, mais cela revenait toujours au même, il promettait de ne plus cherche Elsa, mais c’était plus fort que lui, il savait qu’elle était vivante, il le sentait et voulait la retrouver.
Elsa était une Doberman comme lui, ils s’étaient rencontrés en 1938, sur un terrain, il fut témoin lors du crash du 190 qu’Elsa testait, après plusieurs moi d’hôpital, il lui apprit qu’elle pourrait reprendre du service, mais pas en tant que pilote.
Ortaon appris juste qu’elle partait pour Berlin, TOP SECRET, lui avait t’on dit, peut après la route emprunté par son véhicule fut ravagé par un bombardement américains, la voiture n’atteignit jamais sa destination, mais le chien sentait au fond de lui qu’elle était vivante, il voulait la retrouver et lui parler de chose importante.
« Tout va bien Capitaine ? » fit une voix venant de son dos
« Oui Karen, ça va aller, occupe toi d’Hylda et refait le plein de mon appareil et réarme le »
Hylda, noyée de l’arme, les interrompis
« POURQUOI MENT TU ? tu n’a même pas utilisé tes canons, ne va pas raconter que tu a engager un combat, tu ment »
Cette fois ci, Ortaon hésitait, une partie de lui lui disait d’hurlait et d’envoyer cette chose larmoyante accroché ases bottes travailler, et une autre part de lui lui dit d’être plus subtil, de trouver une parade, ce fut cette part la qui gagna.
« Hylda, les 20 mm sont vides, je n’ai pas fait de reconnaissance abusive » mentit-il avec un aplomb incroyable
« je suis tombé sur un F80 américain, j’ai réussi à l’endommager mais j’ai du rentrer faute de carburant »
En effet le Doberman mentait bien, s’attendant aux réflexions d’Hylda sur son retard, il avait vidé ses 2 MG-20 dans un étang, les 3 canons MK-103 eux, étaient toujours plein.
Hylda se releva, elle savait qu’il mentait, mais fit semblant de le croire.
« Karen, amène la se prendre une douche et je veut qu’elle prenne du repos, envoi quelqu’un d’autre s’occuper des avions, occupe toi d’Hylda »
Karen, jeune fille rousse au cheveux court et au magnifique proportion, acquiesa d’un petit mouvement de tête, elle attrapa la chienne par la taille et l’amena vers les locaux sous terrain, tout était en sous sol caché sous la foret, pour évité d’être repéré par les avions espions américain.
Ortaon se prit la tête entre les pattes, il ne savait pas quoi penser, Hylda avait peut être raison, Elsa pourrait bien avoir péris dans ce bombardement.
Il murmura :
« La vérité est n’existe que si tu la voit » ce fut la phrase que lui dit Elsa en partant pour Berlin. Ortaon ne faisait que se la répéter dans sa tête pour trouver la véritable signification de ces mots.
Il respira un grand coup, puis se dirigeât vers le mess des officier, il caressa la crosse du P-38 à sa ceinture, cela le rassura.
Karen aida Hylda a se déshabillée, surtout au niveau des bottes, cela n’était pas vraiment facile à enlever avec des griffes, Karen posa les bottes dans un coin, puis elle défit la combinaison grise et sale d’Hylda, la fit descendre jusqu’au hanche, Hylda ne portait dessous que une petit soutien gorge bleu, Karen la regarda tendrement.
A chaque fois que Karen voyait Hylda, elle ressentait plein de chose en elle, il faut dire que cette jeune fille venant d’Autriche a grandi et vécue dans un pensionnat de fille, elle n’avait jamais vu un seul homme jusqu'à ses 19 ans, pour elle, il ne faisait pas partit de ce monde, voila pourquoi Karen éprouvait de l’attirance envers les autres filles et les Anthropomorphe femelles.
Elle retira la combi d’Hylda, cette dernière était a présent en sous vêtements, Karen fit de même puis poussa son ami sous la douche, Hylda posa les main a plat sur le carrelage au dessus de sa tête, Karen ferma la porte.
L’eau ruisselant sur la fourrure d’Hylda fit monter dans l’air une odeur de chien, Hylda serra les dents lorsque l’eau toucha sa mais gauche, la ou elle s’était brûlée.
Karen commença a frotter le dos de la jeune chienne, appuyant convenablement pour la détendre, Hylda se laissait faire, elle adorait les marques d’affections, de toute façon c’était tout ce qui comptait dans sa vie : donner et recevoir de l’affection, peut importe de qui (sauf peut être…).
Hylda senti sa poitrine tomber légèrement lorsque Karen lui dégrafa son soutien gorge afin de mieux lui laver le dos, elle n’y prêta pas attention, cela lui plaisait, malgré sa tristesse une douce chaleur envahi son ventre.
« Voila » fit Karen, « tu n’a plus qu’a te laver les partie intimes, mais si tu est trop fatigué je veut bien le faire pour toi »
Hylda sourie, sans tourner la tête elle dit :
« Je te remercie Karen, mais je ne me sent pas prêtre, tu sais que j’aime fort…. »
Karen lui mordit la peau de la nuque et lui dit :
« Tu aime ressentir de la tendresse et de l’affection, voila tout, moi tu me plait beaucoup, et je ne suis pas jalouse » elle la remordis, Hylda poussa un gémissement de plaisir et de douleur mélanger
« Hylda, je serai toujours la pour toi, je t’aime très fort tu sais »
A présent Karen était tout contre la chienne, ses mais étaient reposés sur le ventre de la bergère allemande et sa tête entre ses omoplates.
« Merci Karen, je t’aime énormément moi aussi, laisse moi finir je te pris »
Karen n’insistât pas, elle sortit des douches, elle jeta un dernier coup d’œil a Hylda qui venait de retirer sa culotte et son soutien gorge pour se laver entièrement, elle eu un sourire coquin, comme le jour ou elle avait vu le capitaine se doucher, son poil ras combiné à l’eau qui coulait dessus laissait apparaître des formes et des reflets mettant grandement en valeur le corps du doberman, elle lorgna longtemps sur son dos et ses cuisses.
« Pourvu que cette saleté de guerre se termine vite » grogna t’elle.
Fin chapitre 1