Bon, c'est décidé, je me lance dans l'écriture (Je suis une quiche en dessin mais je sais a peu près bien parler français).
J'espère que la communauté de ce forum pourra m'aider à développer ce roman que je ferais sûrement éditer par la suite.
Toute aide, idée, remarque, critique est la bienvenue. Bonne lecture en espérant que ceci vous plaise . (Pourquoi je stresse, moi ?)
PROLOGUE
Une soirée d'hiver, en plein décembre 2013, une tempête de neige s'annonça et mit en alerte les détecteurs météorologiques de tous les continents. Quand les employés reçurent les données, ils crurent dabord à une panne ou un dérèglement quelconque... Mais ce n'était, hélas, pas le cas. Une des plus grandes tempêtes venant des deux extrémités des pôles nord et sud était en train de se préparer et allait recouvrir l'intégralité de la planète. Les continents annoncèrent la catastrophe en précisant que cet événement de taille ne durerait que quelques jour au maximum... Lorsque j'ai entendu la nouvelle, je travaillais dans l'un ds plus grands labos de biochimie de l’Europe. Rien a craindre du côté de nos installations car tout avait été créé pour résister à de telles conditions. j'ai donc poursuivi les recherches faites sur mon sérum de résistance au froid pour les personnes agées ou malades. Le sérum, baptisé "ignis aeternam", avait demandé de nombreuses heures de travail et de recherches. Et lorsque tout est arrivé, il n'était pas au point, trop... instable.
La température avait chuté de 30°c et continuait à descendre à une vitesse jamais vu. Dans notre installation, la "vague de gel" a fait éclater les conduites de chauffage, ce qui a refroidi plus de la moitié du complexe. Et plus tard, ce froid intense s'est insinué dans le laboratoire de recherche sur l'"ignis aeternam". J'ai dabord ressenti comme tous les chercheurs, cette "vague de gel" comme un coup de fouet sur l'intégralité du corps. Mon haleine a créé de petites brumes de chaleur dans l'air et lorsque je me suis retourné, j'ai vu le sérum s'évaporer et former une fumée cuivrée. Il devait y avoir une dizaine de litre de produit en test dans la salle. Normalement, en cas d'incident, une ventilation aspirait les gaz mais le système électrique ne répondait plus. Je me suis écroulé devant la porte de sortie du labo. Poignée gelée... Pas assez de force... Peur, peur de mourir... Éternuements successifs et sensation d'étouffement... L'agent chimique avait ...envahi mon système respiratoire... Crachats de sang par la bouche et le nez... Puis perte... de conscience.
Mon roman furry, premier essai.
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Mon roman furry, premier essai.
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kikuichi - Chat (Gris avec des bandes noires.) Anthro
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Re: Mon roman furry, premier essai.
Chapitre 1 Renaissance.
Je sens un courant d'air froid... mes membres remuent presque imperceptiblement... mon cœur bat doucement quoique un peu plus vite que d'habitude... mon cerveau est en état de me permettre de réfléchir à des choses basiques comme ou suis-je, ou encore suis-je mort ?... Silence absolu là ou je me trouve... des bruits d'écho, plus lointains... J’entrouvre les yeux pour examiner les alentours mais ma vision est déformée: tout est trop ... flou.
Je commence à reprendre le contrôle de mon corps et essaie de me remettre debout mais mes faibles membres crient pour exprimer leur révolte. Ignorant ces protestations, je force mon corps à se relever tant bien que mal et arrive a m'asseoir contre un mur. Douleur. Une douleur est apparue à ma main gauche. je la place devant mes yeux à peu près habitués à l'obscurité du laboratoire... En repensant à cette pièce, la mémoire me revient par bribes: le sérum, le froid, le gel gazsaignementsperteconnaissance...
Je porte ma main à ma bouche mais rencontre une déformation de ma mâchoire comme ci celle-ci s'était allongé de plusieurs centimètres en avant. Je sens mes oreilles bouger dans plusieurs directions, mes mains sont plus lourdes que d'habitude, mes pieds moins stables et ma vue me permet de savoir que je ne suis plus totalement humain: mes mains sont comme celle d'un animal ainsi que mes jambes. Des coussinets sont apparus sur mes paume et l'extrémité de mes doigts qui sont plus courts et pourvus de quelque chose de rétractile: des griffes.
Affolé, je me relève mais mes pieds eux aussi métamorphosés me font tomber au sol par manque d'équilibre. Paniqué, j'inspecte une nouvelle fois mon corps qui ressemble à celui d'un croisement animal-humain: des poils verts et blancs ont poussés sur la totalité de ma peau, mes "pattes" sont recouvertes de cette épaisse et douce fourrure verte, mon ouïe est augmentée et mes oreilles en pointes, ma bouche s'est transformée en museau, mon odorat est lui aussi décuplé et ma vue est telle qu'en regardant les restes du laboratoire, j'arrive à distinguer tant de chose que mon cerveau peine à analyser toutes ses données. Pire encore, J'ai une queue touffue vert foncé et blanche au bout qui a poussé à la base de mon coccyx.
Je me force à rester calme mais la peur ne fait que grandir en moi. J'essaie de raisonner, probablement que le gaz émit par l'"ignis aeternam" m'ont transformé en ce que je suis maintenant. Il est vrai que le sérum se basait sur la particularité des animaux à résister au froids les plus intenses. Comme celui qui avait frappé la planète. Je me mis a faire quelques pas dans le laboratoire entièrement dévasté. Des débris de verres et de matériel en métal jonchaient le sol comme si une tornade miniature avait frappé la pièce dans laquelle je me trouvait. Aucun des objets se trouvant dans la salle ne pourrait servir.
L'air était toujours froid mais je le ressentais a peine. Premièrement, sortir de là pour savoir ce qui est arrivé au reste des membres de l'équipe. Je me suis dirigé vers la porte qui avait toujours la poignée gelée, donc impossible a ouvrir. Et dans le labo, aucun objet assez lourd pour défoncer la porte. Pas même un stupide extincteur. Je recule et décide d'enfoncer la porte avec le plus de recul possible. Je me prépare met m'élance sur la porte qui s'ouvre avec fracas. Déséquilibré, je m'étale de tout mon long sur le sol gelé. Je me relève grognant de douleur avec une nouvelle coupure au bras gauche. Décidément, la chance m'abandonne. Le couloir est désert, aucune lumière juste le son du vent soulevant la poussière.
La première impression que ce lieu familier me fait avoir est être seul. J’avance lentement, mes pas ne résonnant pas sur le sol, mes yeux scrutant les différentes issues du couloir. La couche de poussière au sol me renseigne peu sur le nombre de jours dans lesquels je suis resté inconscient. Un embranchement se présente à moi et bizarrement je ne veut pas rejoindre la sortie du complexe, comme si... comme si je ressentais un danger quelconque émanant du couloir. Absurde ! Je suis seul, perdu dans un complexe désert et... Bruit.
Du bruit émane du même couloir. Mon ouïe augmentée par ma mutation me fait savoir que c'est un raclement métallique. J’avance prudemment tout en ayant à l'esprit que c'est pas une bonne idée. Une ombre discrète se dessine au fond du couloir. Plus petite, lente mais plus mortelle qu'elle en a l'air.
Ma vue m'indique que c'est un animal, genre chien. Ou loup. Je recule et provoque un crissement de verre qui fait réagir l'animal et qui regarde dans ma direction Une seconde passe, puis deux, puis trois...
L'animal grogne et se met en position d'attaque, son poil se hérisse, ses grognements ne sont pas un avertissement: c'est une déclaration de combat à mort !
Je sens un courant d'air froid... mes membres remuent presque imperceptiblement... mon cœur bat doucement quoique un peu plus vite que d'habitude... mon cerveau est en état de me permettre de réfléchir à des choses basiques comme ou suis-je, ou encore suis-je mort ?... Silence absolu là ou je me trouve... des bruits d'écho, plus lointains... J’entrouvre les yeux pour examiner les alentours mais ma vision est déformée: tout est trop ... flou.
Je commence à reprendre le contrôle de mon corps et essaie de me remettre debout mais mes faibles membres crient pour exprimer leur révolte. Ignorant ces protestations, je force mon corps à se relever tant bien que mal et arrive a m'asseoir contre un mur. Douleur. Une douleur est apparue à ma main gauche. je la place devant mes yeux à peu près habitués à l'obscurité du laboratoire... En repensant à cette pièce, la mémoire me revient par bribes: le sérum, le froid, le gel gazsaignementsperteconnaissance...
Je porte ma main à ma bouche mais rencontre une déformation de ma mâchoire comme ci celle-ci s'était allongé de plusieurs centimètres en avant. Je sens mes oreilles bouger dans plusieurs directions, mes mains sont plus lourdes que d'habitude, mes pieds moins stables et ma vue me permet de savoir que je ne suis plus totalement humain: mes mains sont comme celle d'un animal ainsi que mes jambes. Des coussinets sont apparus sur mes paume et l'extrémité de mes doigts qui sont plus courts et pourvus de quelque chose de rétractile: des griffes.
Affolé, je me relève mais mes pieds eux aussi métamorphosés me font tomber au sol par manque d'équilibre. Paniqué, j'inspecte une nouvelle fois mon corps qui ressemble à celui d'un croisement animal-humain: des poils verts et blancs ont poussés sur la totalité de ma peau, mes "pattes" sont recouvertes de cette épaisse et douce fourrure verte, mon ouïe est augmentée et mes oreilles en pointes, ma bouche s'est transformée en museau, mon odorat est lui aussi décuplé et ma vue est telle qu'en regardant les restes du laboratoire, j'arrive à distinguer tant de chose que mon cerveau peine à analyser toutes ses données. Pire encore, J'ai une queue touffue vert foncé et blanche au bout qui a poussé à la base de mon coccyx.
Je me force à rester calme mais la peur ne fait que grandir en moi. J'essaie de raisonner, probablement que le gaz émit par l'"ignis aeternam" m'ont transformé en ce que je suis maintenant. Il est vrai que le sérum se basait sur la particularité des animaux à résister au froids les plus intenses. Comme celui qui avait frappé la planète. Je me mis a faire quelques pas dans le laboratoire entièrement dévasté. Des débris de verres et de matériel en métal jonchaient le sol comme si une tornade miniature avait frappé la pièce dans laquelle je me trouvait. Aucun des objets se trouvant dans la salle ne pourrait servir.
L'air était toujours froid mais je le ressentais a peine. Premièrement, sortir de là pour savoir ce qui est arrivé au reste des membres de l'équipe. Je me suis dirigé vers la porte qui avait toujours la poignée gelée, donc impossible a ouvrir. Et dans le labo, aucun objet assez lourd pour défoncer la porte. Pas même un stupide extincteur. Je recule et décide d'enfoncer la porte avec le plus de recul possible. Je me prépare met m'élance sur la porte qui s'ouvre avec fracas. Déséquilibré, je m'étale de tout mon long sur le sol gelé. Je me relève grognant de douleur avec une nouvelle coupure au bras gauche. Décidément, la chance m'abandonne. Le couloir est désert, aucune lumière juste le son du vent soulevant la poussière.
La première impression que ce lieu familier me fait avoir est être seul. J’avance lentement, mes pas ne résonnant pas sur le sol, mes yeux scrutant les différentes issues du couloir. La couche de poussière au sol me renseigne peu sur le nombre de jours dans lesquels je suis resté inconscient. Un embranchement se présente à moi et bizarrement je ne veut pas rejoindre la sortie du complexe, comme si... comme si je ressentais un danger quelconque émanant du couloir. Absurde ! Je suis seul, perdu dans un complexe désert et... Bruit.
Du bruit émane du même couloir. Mon ouïe augmentée par ma mutation me fait savoir que c'est un raclement métallique. J’avance prudemment tout en ayant à l'esprit que c'est pas une bonne idée. Une ombre discrète se dessine au fond du couloir. Plus petite, lente mais plus mortelle qu'elle en a l'air.
Ma vue m'indique que c'est un animal, genre chien. Ou loup. Je recule et provoque un crissement de verre qui fait réagir l'animal et qui regarde dans ma direction Une seconde passe, puis deux, puis trois...
L'animal grogne et se met en position d'attaque, son poil se hérisse, ses grognements ne sont pas un avertissement: c'est une déclaration de combat à mort !
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kikuichi - Chat (Gris avec des bandes noires.) Anthro
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Re: Mon roman furry, premier essai.
Ah voilà qui est agréable de pouvoir lire avant d'aller se coucher :p Bon quelques petites remarques : L'histoire a l'air d'être pour l'instant, plutôt bonne. J'ai hâte de lire la suite Par contre je te conseille de te relire, ça évitera certaines fautes assez grosses. Et également de corriger la tournure de certaines phrases. Bon courage pour la suite, il y a de bonnes idées
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Shin - Dhole (Steampunk) Anthro
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Re: Mon roman furry, premier essai.
Je te remercie et pour la relecture, j'ai déjà fait (donc je suis bigleux ). Bon re-regardons ce texte...
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kikuichi - Chat (Gris avec des bandes noires.) Anthro
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Re: Mon roman furry, premier essai.
Je confirme y'a de l'idée bonne continuation pour la suite et perd pas le file tu a le bon...
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chtimide - Léopard des neige_tigré (Léopard_Tigré) Anthro
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Re: Mon roman furry, premier essai.
Un texte bien plus que sympathique...j’attends la suite avec impacience
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