Je réactive cet assez vieux fil pour indiquer la sortie du premier chapitre de ma dernière nouvelle :
Les enfants de la Mascotte
Mon changement de méthode de travail (papier-crayon puis ordi) a donné des résultants fulgurants : j'ai recommencé à écrire dimanche dernier et j'ai déjà terminé le chapitre 1, la moitié du chapitre 2 et un bout du chapitre 4...
Mes nouvelles (français et anglais)
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Dernière édition par Pr. Théodose le 29 Août 2007, 10:14, édité 2 fois.
"Writing is perhaps the greatest of human inventions, binding together people who never knew each other, citizens of distant epochs. Books break the shackles of time. A book is proof that humans are capable of working magic." (Carl Sagan)
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Ecrivain
Voici le lien vers la suite de ma nouvelle "Les enfants de la mascotte" : Chapitre 2 : Divergences
Commentaires et critiques sont les bienvenus, comme d'habitude.
Je ne reviens toujours pas de la facilité d'écriture que m'a procuré le simple fait de remplir une longue fiche de worldbuilding puis de faire quelques croquis avant de me lancer : en deux semaines, j'ai déjà écrit 14 pages pour cette nouvelle soit près du double de ma production littéraire depuis le début de l'année (traductions non comprises).
Donc c'est promis Dark Blood, je me penche sur l'univers de la nouvelle que je t'ai promis dès que j'ai terminé celle-ci...
Commentaires et critiques sont les bienvenus, comme d'habitude.
Je ne reviens toujours pas de la facilité d'écriture que m'a procuré le simple fait de remplir une longue fiche de worldbuilding puis de faire quelques croquis avant de me lancer : en deux semaines, j'ai déjà écrit 14 pages pour cette nouvelle soit près du double de ma production littéraire depuis le début de l'année (traductions non comprises).
Donc c'est promis Dark Blood, je me penche sur l'univers de la nouvelle que je t'ai promis dès que j'ai terminé celle-ci...
Dernière édition par Pr. Théodose le 29 Juil 2007, 21:36, édité 1 fois.
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Ecrivain
Et me voila pile à l'heure prévue pour vous livrer la suite de l'histoire :
Chapitre 3 : Jet Lag
J'en ai profité pour mettre à jour les liens vers les deux chapitres précédents et corriger quelques erreurs dans les PDF.
Chapitre 3 : Jet Lag
J'en ai profité pour mettre à jour les liens vers les deux chapitres précédents et corriger quelques erreurs dans les PDF.
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Ecrivain
Et voici la continuation de votre feuilleton hebdomadaire (façon de parler) :
Chapitre 4 : Accueil
Chapitre 4 : Accueil
"Writing is perhaps the greatest of human inventions, binding together people who never knew each other, citizens of distant epochs. Books break the shackles of time. A book is proof that humans are capable of working magic." (Carl Sagan)
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Ecrivain
Voici avec une semaine de retard sur mon planning le chapitre suivant de l'histoire, le plus long mais aussi le plus délicat à mettre au point.
Chapitre 5 : Des hauts et des bas
Le retour à Paris du reste la famille et plusieurs visites/fêtes ont induit une cassure dans mon rythme de travail, car je ne peux écrire efficacement que seul et en silence.
Par ailleurs, j'ai préféré classer cette partie comme mature (il faut donc se connecter sur Furaf avant de consulter le lien) car la dernière scène pourrait choquer les plus sensibles malgré l'usage intensif de mes techniques favorites de l'ellipse et du paravent.
Chapitre 5 : Des hauts et des bas
Le retour à Paris du reste la famille et plusieurs visites/fêtes ont induit une cassure dans mon rythme de travail, car je ne peux écrire efficacement que seul et en silence.
Par ailleurs, j'ai préféré classer cette partie comme mature (il faut donc se connecter sur Furaf avant de consulter le lien) car la dernière scène pourrait choquer les plus sensibles malgré l'usage intensif de mes techniques favorites de l'ellipse et du paravent.
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Ecrivain
Je viens de lire le premier chapitre, et parce que j'ai deux minutes, je te livre une critique qui se veut constructive.
- L'introduction est trop abrupte, on a d'abord l'introduction d'un personnage au cours d'une scène de panique, et on saute directement au côté encyclopédique. Ensuite, la présentation du personnage laisse à désirer : c'est un astronaute, ça on le sait tout de suite, mais son historique n'apporte rien à part répéter sur dix lignes qu'il a fait des études d'astronaute.
- Le changement de narrateur n'est pas évident au premier abord. L'alternance des narrateurs est trop fréquente pour utiliser le système de date comme coupure - elle est même trop fréquente tout court, à mon avis. En général on change de narrateur au bout de 5 à 10 pages, pas au bout d'une page, ou alors uniquement dans les scènes de tension ou d'action. Tu devrais peut-être essayer de réorganiser ton récit en évitant d'étaler une scène sur plusieurs paragraphes.
- Attention aux niveaux de langue ('exigü' et 'coup de boule' dans une même phrase, c'est particulièrement gênant quand le narrateur parle à la première personne)
- Le héros est un militaire formé aux situations d'urgence : pleurer en pensant au formalisme de la théorie du boost ultra-relativiste de son ami russe n'est peut-être pas la première chose qui devrait lui passer par la tête, surtout s'il est dans une capsule de survie en feu en pleine descente vers une planète inconnue.
- 'Cassioppée' manque d'originalité pour un vaisseau spatial, je suis sûr que tu peux faire mieux.
- C'est mon credo, je l'admets, mais peut-on avoir quelques descriptions ? Ordinateur de bord ou pas, après s'être écrasé sur une autre planète, qui ouvrirait la porte du sas sans même regarder par le hublot ? Quel effet ça fait de traverser l'atmosphère d'un monde inconnu dans l'équivalent spatial d'un gilet de sauvetage ? Et même dans ces circonstances, être le premier Homme à poser le pied sur une planète inconnue mérite peut-être un petit pincement au coeur ? Cette angoisse de se retrouver seul dans l'univers sans aucun espoir de secours, ça ne justifie pas quelques lignes ? Ou plus prosaïquement, le hurlement de l'air sur la capsule, les cris assourdissants des alarmes en tous genres, le choc de l'ouverture du parachute et de l'aterrissage puis ces premiers pas dans une combinaison lourde et encombrante - tout ça, le lecteur a besoin de le lire pour y être.
- Enfin, tu as de gros problèmes de concordance des temps. La narration à la première personne y est peut-être pour quelque chose, puisqu'elle est plus difficile à maîtriser. Essaye par exemple de réécrire ce premier chapitre à la troisième personne pour voir ce que ça donne.
Bon, malgré tout ce que j'ai dit il y a quand même du bon. Le second narrateur, la femme, a attiré mon attention et m'a donné envie de continuer à lire. Il y a aussi quelques bons points dans les descriptions et de manière générale, je sens qu'il y a un bon fond. Je vais aller lire un peu la suite et voir ce que ça donne.
- L'introduction est trop abrupte, on a d'abord l'introduction d'un personnage au cours d'une scène de panique, et on saute directement au côté encyclopédique. Ensuite, la présentation du personnage laisse à désirer : c'est un astronaute, ça on le sait tout de suite, mais son historique n'apporte rien à part répéter sur dix lignes qu'il a fait des études d'astronaute.
- Le changement de narrateur n'est pas évident au premier abord. L'alternance des narrateurs est trop fréquente pour utiliser le système de date comme coupure - elle est même trop fréquente tout court, à mon avis. En général on change de narrateur au bout de 5 à 10 pages, pas au bout d'une page, ou alors uniquement dans les scènes de tension ou d'action. Tu devrais peut-être essayer de réorganiser ton récit en évitant d'étaler une scène sur plusieurs paragraphes.
- Attention aux niveaux de langue ('exigü' et 'coup de boule' dans une même phrase, c'est particulièrement gênant quand le narrateur parle à la première personne)
- Le héros est un militaire formé aux situations d'urgence : pleurer en pensant au formalisme de la théorie du boost ultra-relativiste de son ami russe n'est peut-être pas la première chose qui devrait lui passer par la tête, surtout s'il est dans une capsule de survie en feu en pleine descente vers une planète inconnue.
- 'Cassioppée' manque d'originalité pour un vaisseau spatial, je suis sûr que tu peux faire mieux.
- C'est mon credo, je l'admets, mais peut-on avoir quelques descriptions ? Ordinateur de bord ou pas, après s'être écrasé sur une autre planète, qui ouvrirait la porte du sas sans même regarder par le hublot ? Quel effet ça fait de traverser l'atmosphère d'un monde inconnu dans l'équivalent spatial d'un gilet de sauvetage ? Et même dans ces circonstances, être le premier Homme à poser le pied sur une planète inconnue mérite peut-être un petit pincement au coeur ? Cette angoisse de se retrouver seul dans l'univers sans aucun espoir de secours, ça ne justifie pas quelques lignes ? Ou plus prosaïquement, le hurlement de l'air sur la capsule, les cris assourdissants des alarmes en tous genres, le choc de l'ouverture du parachute et de l'aterrissage puis ces premiers pas dans une combinaison lourde et encombrante - tout ça, le lecteur a besoin de le lire pour y être.
- Enfin, tu as de gros problèmes de concordance des temps. La narration à la première personne y est peut-être pour quelque chose, puisqu'elle est plus difficile à maîtriser. Essaye par exemple de réécrire ce premier chapitre à la troisième personne pour voir ce que ça donne.
Bon, malgré tout ce que j'ai dit il y a quand même du bon. Le second narrateur, la femme, a attiré mon attention et m'a donné envie de continuer à lire. Il y a aussi quelques bons points dans les descriptions et de manière générale, je sens qu'il y a un bon fond. Je vais aller lire un peu la suite et voir ce que ça donne.
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Merci beaucoup pour ton commentaire détaillé, je vais essayer d'y répondre en reprenant les points que tu a soulevé :
- Ce n'est normalement pas une scène de panique, mais je reconnais que j'ai voulu mettre le lecteur dans le bain tout de suite. L'historique du personnage devait surtout illustrer son coté M.tout-le-monde et la généralisation de l'accès à l'espace.
- Je reconnais que ce chapitre est un peu court pour utiliser pleinement ce procédé d'alternance des points de vue, mais il me semblait idéal pour introduire simultanément les deux personnages principaux juste avant leur rencontre.
- C'est vrai que je pourrais remplacer "exigu" par "étroit".
- Le héros est surtout un technicien lambda, comme indiqué dans son historique, et les Forces Spatiales n'ont de militaire que le nom au-delà du système solaire. Il est alors sur les nerfs à cause de son cauchemar et repense à ses amis dont il ne connait pas encore le sort.
- Le nom de la spatio-nef était un hommage à la mission du même nom à laquelle participa Claudie André-Dehays.
- Le capsule en question est sensé être, d'après la description que j'en fait au début, l'équivalent du module de rentrée Soyouz et non l'ULS. La combinaison est une variante améliorée des combinaisons à pression partielle dont j'ai parlé dans la discussion sur l'espace, car une spatio-nef n'est sensé orbiter qu'autour de planètes dotés d'atmosphère.
Je n'ai pas donné beaucoup de détails fins pour deux raisons : on me reproche souvent à juste titre de trop insister sur les aspects scientifiques et techniques, et il me parait presque impossible de décrire un objet de SF qui n'existe pas déjà (ordi-poignet, écran holographique...).
Toute la nouvelle se déroule après l'atterrissage sur la planète, qui n'est pas totalement inconnue comme je le décrirai dans le chapitre 6, et est plus "ethnographique" que purement SF .
- J'ai décidé de varier les modes de narration pour chaque chapitre afin de ne pas privilégier le point de vue de Matthew, le chapitre suivant étant justement à la troisième personne et équilibré entre les deux personnages.
- Ce n'est normalement pas une scène de panique, mais je reconnais que j'ai voulu mettre le lecteur dans le bain tout de suite. L'historique du personnage devait surtout illustrer son coté M.tout-le-monde et la généralisation de l'accès à l'espace.
- Je reconnais que ce chapitre est un peu court pour utiliser pleinement ce procédé d'alternance des points de vue, mais il me semblait idéal pour introduire simultanément les deux personnages principaux juste avant leur rencontre.
- C'est vrai que je pourrais remplacer "exigu" par "étroit".
- Le héros est surtout un technicien lambda, comme indiqué dans son historique, et les Forces Spatiales n'ont de militaire que le nom au-delà du système solaire. Il est alors sur les nerfs à cause de son cauchemar et repense à ses amis dont il ne connait pas encore le sort.
- Le nom de la spatio-nef était un hommage à la mission du même nom à laquelle participa Claudie André-Dehays.
- Le capsule en question est sensé être, d'après la description que j'en fait au début, l'équivalent du module de rentrée Soyouz et non l'ULS. La combinaison est une variante améliorée des combinaisons à pression partielle dont j'ai parlé dans la discussion sur l'espace, car une spatio-nef n'est sensé orbiter qu'autour de planètes dotés d'atmosphère.
Je n'ai pas donné beaucoup de détails fins pour deux raisons : on me reproche souvent à juste titre de trop insister sur les aspects scientifiques et techniques, et il me parait presque impossible de décrire un objet de SF qui n'existe pas déjà (ordi-poignet, écran holographique...).
Toute la nouvelle se déroule après l'atterrissage sur la planète, qui n'est pas totalement inconnue comme je le décrirai dans le chapitre 6, et est plus "ethnographique" que purement SF .
- J'ai décidé de varier les modes de narration pour chaque chapitre afin de ne pas privilégier le point de vue de Matthew, le chapitre suivant étant justement à la troisième personne et équilibré entre les deux personnages.
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Pr. Théodose - Martre Anthro
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C'est bien d'avoir pris le temps de répondre mais ça n'était pas la peine ! Ce qui n'est pas dans le texte n'existe pas
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Lone_Fox - (C'est comme le Port-Salut, c'est écrit dessus)
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Au contraire !Ce qui n'est pas dans le texte n'existe pas
Je ne me suis pas cassé la tête pendant un mois à forger un univers narratif le plus complet et cohérent possible, allant même jusqu'à utiliser un programme de simulation d'astrophysique, pour ne pas l'utiliser pleinement. En plus, c'est toi qui m'a conseillé de travailler le worldbuilding dans cette discussion
Mais je n'utiliserai surement pas tous les petits détails que j'ai imaginé et je compte, une fois la nouvelle terminée ou peu s'en faut, mettre mon univers dans le "domaine public" à la disposition des autres artistes, dessinateurs comme écrivains.
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Pr. Théodose - Martre Anthro
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Pr. Théodose a écrit:En plus, c'est toi qui m'a conseillé de travailler le worldbuilding dans cette discussion
C'est vrai. Mais ce que tu crées doit être mis en valeur dans le récit. Pour faire une analogie rapide, peu importent les couleurs sur la palette si tu n'en fais pas un tableau.
Mais c'est une vue personnelle et tout le monde n'est pas d'accord avec moi.
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Lone_Fox - (C'est comme le Port-Salut, c'est écrit dessus)
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Je remonte ce sujet pour faire juste deux petites annonces :
- Du fait des soucis récurrents de Furaffinity et du manque d'adéquation de mon travail avec le type d'œuvre recherché sur ce site, j'ai décidé de me créer une galerie parallèle sur DeviantArt où j'exposerai les mêmes choses que sur FurAff mais en étant en mesure de capter un plus large public :
http://pr-theodose.deviantart.com/
- Soufrant d'un blocage artistique d'origine multi-factorielle, je me suis dit qu'il serait préférable que les histoires inachevées prenant actuellement la poussière dans mon disque dur puissent servir à d'autres artistes, quel que soit leur spécialité, en attendant que je puisse m'y remettre.
Je peux donc vous proposer les bribes d'une quinzaine de nouvelles très variées (SF, fantastique, prospective imaginaire, survival-horror...) ainsi que le résumé de l'univers sous-jacent pour chacune des nouvelles que j'ai déjà publié.
- Du fait des soucis récurrents de Furaffinity et du manque d'adéquation de mon travail avec le type d'œuvre recherché sur ce site, j'ai décidé de me créer une galerie parallèle sur DeviantArt où j'exposerai les mêmes choses que sur FurAff mais en étant en mesure de capter un plus large public :
http://pr-theodose.deviantart.com/
- Soufrant d'un blocage artistique d'origine multi-factorielle, je me suis dit qu'il serait préférable que les histoires inachevées prenant actuellement la poussière dans mon disque dur puissent servir à d'autres artistes, quel que soit leur spécialité, en attendant que je puisse m'y remettre.
Je peux donc vous proposer les bribes d'une quinzaine de nouvelles très variées (SF, fantastique, prospective imaginaire, survival-horror...) ainsi que le résumé de l'univers sous-jacent pour chacune des nouvelles que j'ai déjà publié.
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Pr. Théodose - Martre Anthro
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Ecrivain
Aujourd'hui, les cours d'anglais auront été particulièrement productifs :
- Le matin comportait une présentation orale scénarisée où le Pr. Théodose Marten (représentant son laboratoire du CNRS) rencontrait Mr. Omar Khan (directeur scientifique du département "Vaisseaux Spatiaux Habités" de l'ESA) pour mettre au point ensemble le bouclier thermique de la navette européano-russe Kliper...
- Le cours de l'après-midi s'est terminé par un entrainement à l'écriture d'essais courts (250-300 mots) où le thème "Imaginez un jour de votre vie en 2027" m'a permis de réaliser cette nouvelle très condensée :
A normal day in an (almost) normal life...
J'espère pouvoir exploiter cette modeste relance au niveau artistique pour me sortir de l'ornière -métaphorique- que j'ai évoqué dans mon message précédent.
- Le matin comportait une présentation orale scénarisée où le Pr. Théodose Marten (représentant son laboratoire du CNRS) rencontrait Mr. Omar Khan (directeur scientifique du département "Vaisseaux Spatiaux Habités" de l'ESA) pour mettre au point ensemble le bouclier thermique de la navette européano-russe Kliper...
- Le cours de l'après-midi s'est terminé par un entrainement à l'écriture d'essais courts (250-300 mots) où le thème "Imaginez un jour de votre vie en 2027" m'a permis de réaliser cette nouvelle très condensée :
A normal day in an (almost) normal life...
J'espère pouvoir exploiter cette modeste relance au niveau artistique pour me sortir de l'ornière -métaphorique- que j'ai évoqué dans mon message précédent.
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Pr. Théodose a écrit:Aujourd'hui, les cours d'anglais auront été particulièrement productifs :
- Le matin comportait une présentation orale scénarisée où le Pr. Théodose Marten (représentant son laboratoire du CNRS) rencontrait Mr. Omar Khan (directeur scientifique du département "Vaisseaux Spatiaux Habités" de l'ESA) pour mettre au point ensemble le bouclier thermique de la navette européano-russe Kliper...
Eeeeh beh !!!
Pr. Théodose a écrit:la navette européano-russe Kliper...
Citation wikipedia :
Kliper est un vaisseau spatial de 10 mètres de long (...) de 14,5 tonnes et aurait été capable de transporter 2 pilotes et jusqu'à 4 passagers ou, pour la version cargo, 2 pilotes et jusqu'à 700 kg de charge utile. (...) Tout comme la navette spatiale Bourane, elle sera non-pilotée et volera en vol automatique.
Je décèle comme une contradiction quelque part... Finalement, comment qu'elle fonctionne Klip-chan ??
Pr. Théodose a écrit:- Le cours de l'après-midi s'est terminé par un entrainement à l'écriture d'essais courts (250-300 mots) où le thème "Imaginez un jour de votre vie en 2027" m'a permis de réaliser cette nouvelle très condensée :
A normal day in an (almost) normal life...
Ha ha, pas mal, j'ai toujours aimé quand le récit ménageait des éléments de surprise sur ce qui pourtant ne paraît poser aucun problème d'identification, j'aimerais bien savoir comment les autres, qui n'étant pas dans le milieu, n'ont pas vu venir la chose, ont réagi... Ca me rappelle plusieurs projets d'histoires et de BD que j'avais dans le même genre, dont un avec la création artificielle d'un trou noir microscopique qui ne se passait pas du tout comme prévu (Dieu que j'ai pu faire de calculs sur sa taille en fonction de sa taille, sa vitesse d'expansion et autres durées de vie à ce sujet...) !
Ca me rappelle un peu une histoire dans la fameuse série de bouquins dont on avait parlé il y a plusieurs mois "histoires de..." où ce que l'on croyait être des humains découvrait les restes d'une civilisation... qui était la nôtre ! Mais de part sa faible longueur, ton récit est mieux construit, et la fin n'est pas décevante dans sa platitude comme l'était hélas cette nouvelle. J'aurais cependant aimé découvrir un peu plus d'éléments technologiques et sociétaires, que veux-tu, on ne se refait pas... ;D
Merci beaucoup pour ton commentaire précis et encourageant !
Je dois reconnaitre avoir eu pour cette histoire courte deux sources d'inspirations indirectes :
- La nouvelle "Le champ du Départ" de Lone Fox
- Le dessin "Life's a long song" de Kalahari
--------------------------------
Le pilotage automatique intégral était d'ailleurs une des particularités du vaisseau orbital Bourane, avec les sièges éjectables pour chaque membre d'équipage et la possibilité d'installer des turboréacteursà la base de la dérive autorisant un atterrissage propulsé.
Je dois reconnaitre avoir eu pour cette histoire courte deux sources d'inspirations indirectes :
- La nouvelle "Le champ du Départ" de Lone Fox
- Le dessin "Life's a long song" de Kalahari
Avec seulement 250-300 mots de permis, j'ai dû me limiter aux technologies les plus évocatrices. Il s'agit d'ailleurs là de SF par diffusion, basé sur le postulat que le high-tech d'aujourd'hui sera le matos basique de demain, plutôt que de SF par anticipation où l'on extrapole les spéculations technologiques des futurologues.J'aurais cependant aimé découvrir un peu plus d'éléments technologiques et sociétaires, que veux-tu, on ne se refait pas... ;D
C'est une coïncidence, mais je suis en train de finir "Les trous noirs", un excellent ouvrage de vulgarisation avancée écrit par Jean-Pierre Luminet (AKA le modo JPL sur Futura-Sciences) !Ca me rappelle plusieurs projets d'histoires et de BD que j'avais dans le même genre, dont un avec la création artificielle d'un trou noir microscopique qui ne se passait pas du tout comme prévu (Dieu que j'ai pu faire de calculs sur sa taille en fonction de sa taille, sa vitesse d'expansion et autres durées de vie à ce sujet...)
--------------------------------
En même temps, je n'ai pas choisi la facilité en parlant de matrice mésoporeuse et PVD (métallisation en phase vapeur) à des ingénieurs en informatique ou calculs scientifiques... Vu que seule la moitié de mon auditoire semble avoir compris du premier coup, il me reste encore du travail.Eeeeh beh !!!
La paragraphe est mal formulé en effet : il faut comprendre que Kliper peut être lancé SOIT avec des spatio/astro/cosmo-nautes à bord pour rallier l'ISS, soit en mode automatique avec du fret et du carburant pour ravitailler la station. C'est tout simplement la continuité de la politique de bi-modularité réalisée par les soviétiques avec le couple Soyouz (passagers) / Progress (cargo).Je décèle comme une contradiction quelque part... Finalement, comment qu'elle fonctionne Klip-chan ??
Le pilotage automatique intégral était d'ailleurs une des particularités du vaisseau orbital Bourane, avec les sièges éjectables pour chaque membre d'équipage et la possibilité d'installer des turboréacteursà la base de la dérive autorisant un atterrissage propulsé.
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Pr. Théodose a écrit:Avec seulement 250-300 mots de permis, j'ai dû me limiter aux technologies les plus évocatrices. Il s'agit d'ailleurs là de SF par diffusion, basé sur le postulat que le high-tech d'aujourd'hui sera le matos basique de demain, plutôt que de SF par anticipation où l'on extrapole les spéculations technologiques des futurologues.J'aurais cependant aimé découvrir un peu plus d'éléments technologiques et sociétaires, que veux-tu, on ne se refait pas... ;D
Oui, le moins que l'on puisse dire c'est que tu devais faire concis, et un "catalogue de visions" aurait été ennuyeux... A ce propos, je n'ai pas très bien compris ce qu'il en était de la combinaison par rapport à la porte et à l'ascenseur, voulais-tu dire que les capteurs et émetteurs de celle-ci agissent afin que ces derniers s'ouvrent ?
Pr. Théodose a écrit:C'est une coïncidence, mais je suis en train de finir "Les trous noirs", un excellent ouvrage de vulgarisation avancée écrit par Jean-Pierre Luminet (AKA le modo JPL sur Futura-Sciences) !Ca me rappelle plusieurs projets d'histoires et de BD que j'avais dans le même genre, dont un avec la création artificielle d'un trou noir microscopique qui ne se passait pas du tout comme prévu (Dieu que j'ai pu faire de calculs sur sa taille en fonction de sa taille, sa vitesse d'expansion et autres durées de vie à ce sujet...)
JPL... Ce n'est pas lui qui est le plus acharné partisan (voire fondateur) de la théorie d'un univers bien plus petit que ce que l'on croit, mais qui nous paraît vaste à cause de sa géométrie en boucle ? J'ai lu son bouquin à ce sujet, extrêmement intéressant... Où en est-il à ce sujet ? Je crois me souvenir qu'au début, il regrettait qu'il soit probablement impossible de vérifier cette théorie, puis d'autres études ont montré que ce serait quand même faisable, mais c'était il y a des années de celà, et depuis je n'en ai plus entendu parler...
Pr. Théodose a écrit:En même temps, je n'ai pas choisi la facilité en parlant de matrice mésoporeuse et PVD (métallisation en phase vapeur) à des ingénieurs en informatique ou calculs scientifiques... Vu que seule la moitié de mon auditoire semble avoir compris du premier coup, il me reste encore du travail.Eeeeh beh !!!
Moi je dirais au contraire que c'est encourageant, les domaines de recherches sont désormais tellement cloisonnés tant ils sont pointus, que deux chercheurs qui ont des bureaux mixtes ne se comprennent en général pas du tout !
Pr. Théodose a écrit:La paragraphe est mal formulé en effet : il faut comprendre que Kliper peut être lancé SOIT avec des spatio/astro/cosmo-nautes à bord pour rallier l'ISS, soit en mode automatique avec du fret et du carburant pour ravitailler la station. C'est tout simplement la continuité de la politique de bi-modularité réalisée par les soviétiques avec le couple Soyouz (passagers) / Progress (cargo).Je décèle comme une contradiction quelque part... Finalement, comment qu'elle fonctionne Klip-chan ??
OK, merci pour la précision !
Pr. Théodose a écrit:Le pilotage automatique intégral était d'ailleurs une des particularités du vaisseau orbital Bourane, avec les sièges éjectables pour chaque membre d'équipage et la possibilité d'installer des turboréacteursà la base de la dérive autorisant un atterrissage propulsé.
Ooooh oui, c'est vrai, je m'en souviens... Quel gâchis, dire que Buran sert de terrain de jeu en plein air aux gosses à l'heure actuelle... Enfin.
Oh, à propos de gâchis, t'avais-je donné ce lien ?
http://maps.google.com/maps?ll=42.88166 ... ,47.656667
Clique sur "satellite", une "petite" (c'est assez ironique ici) surprise t'attend... Voilà encore une réalisation soviétique très originale qui aurait mérité autre chose que sa situation actuelle, même si son application était surtout militaire à l'époque T_T
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