Alius (roman)

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Alius (roman)

Messagede Vaxtouwen » 22 Sep 2019, 20:27

Bonjour ami de tout poils, plumes, écailles, ... J'écris un livre chapitre par chapitre, le nom est "Alius". Bien que je vais suivre une ligne d'histoire, à la fin des chapitres, il y aura une décision à prendre, et prendre en compte vos avis (en général, dès fois ça ne sera là que pour le suspens). Voici le 1er chapitre :


Chapitre I : L’alien.
Je suis un mordu des anthropomorphes. J’ai rejoins la communauté furrie pour essayer de m’en rapprocher, je lis et vois des œuvres où il y a des anthropomorphes pour essayer de me sentir moi-même ; mais à chaque fois que j’arrête de lire je pense aux anthropomorphes, et je me rends bien compte que je suis emprisonné dans ce monde, que jamais je ne pourrais devenir un véritable anthropomorphe. Je suis enfermé ici, et plus je lis, plus je pense et plus je vois, plus une frustration me prends et je me sens de plus en plus enfermé… Alors j’ai commencé des études de sciences. J’ai appris de mon côté la génétique des animaux et celle des humains. Mon rêve sera que je puisse métamorphoser ceux qui veulent (moi le premier) en anthropomorphe ! Mais j’ai peur. Le gouvernement pourrait décréter que cette libération serait amorale et l’interdire, même si dans les cartes d’identité il y aura le visage originel à côté du visage présent. J’ai peur aussi que si ça soit accepté, on nous traite de zoophile, déjà que c’est le cas avec des simples déguisement où la seule partie animale est posé sur une majorité de caractère humains, et dès fois le côté animal se retrouve aussi dans le jeu que la personne interprète lorsqu’il est dans son personnage, mais ça s’arrête là. Il y a bien les féraux, mais n’ont ils pas une âme humaine ? Et puis de toutes manière, la partie sexuelle ne concerne même pas tout le monde, seulement une petite partie nommé yiff. Et puis cela ne sera même pas le seul obstacle. Les humains on en général peur de l’inconnu, et on nous traquerait, tuerait, pousserait au suicide, ou au moins nous harcèlerait. Certains malades irons jusqu’à voir quelle sera la différence de goût entre un animal et un anthropomorphe… Mais si ça pouvait fonctionner ? Si c’était légal, si on nous acceptais majoritairement ? Pour moi en tout cas, ça serait le paradis ! Cette pensé m’aide à continuer, et je rêve du jour où je pourrais avoir une queue et un museau. Le corps humain ne deviendrait plus qu’un patron pour les autres corps et cette multiplication des physiques pourrais aider à mieux accepter les différences, et cette modifications pourrait changer la face du monde… Si je puis m’exprimer ainsi ! Enfin bref, je divague. Pour le moment, je suis en terminale S et, des rêves plein la tête, j’étudie. Demain sera un autre jour, un jour où je pourrais penser au futur.
Je me sens bizarre, comme si mon corps se dissipait… C’est peut-être la fatigue. Je vais me coucher, si demain ça persiste, j’irais voir un médecin. Une fois couché, je me sens tomber. Mes muscles doivent se décontracter, c’est une sensation agréable. Je rêve d'un endroit sans fond, des anthropomorphes y sont joyeux. Quand j'arrive, l'endroit se structure, mais les anthropomorphes meurent : soit de ma main, soit de leur propres mains.

Mais où je suis ? Je me réveille, mais au beau milieu d’une ville ! Je ne la reconnais pas, mais au moins, je suis toujours en France : j’arrive à lire ce qu’il y a marqué sur la vielle affiche qu’il y a en face de moi, et je ne parle que français, avec des bribes d’anglais. J’étais au beau milieu d’une impasse, mais une barrière empêche l’accès, et il fait sombre… C’est bizarre, je dois rêver. Je me rend compte que je sens le monde autour de moi, donc je ne peux pas rêver. Je m’avance vers la barrière pour voir comment je pouvais l’enlever pour sortir, et là, je vis une chose qui m’emplis de joie et en même temps de stupeur : il y avait des anthropomorphes partout ! Je m’écartais pour ne pas que l’on me remarque, et je remarquais qu’il n’y avait pas le moindre signe d’être humain. Si ils détestaient les humains ? Si ils ne les connaissaient pas ? Il faut que je cache ma nature tant que je n’en serais pas sûr. Je cherchais partout autour de moi, mais à part une boite noir que je mis un temps à voir dans cette obscurité (l’impasse avait un plafond), il n’y avait rien. Il y avait une forme de main sur la boite, alors après plusieurs essais infructueux et à tout hasard, je mis ma main sur la boite. Elle s’ouvrit toute seule, donc cette boite avait un lien avec moi, ou aux humains, mais il y a des humains alors ? J’en apprendrais plus plus tard ! Pour le moment, ce qu’il y avait dans la boite, c’était des habits noir, dont des gants et c’était pour cacher l’identité. Un manteau qui continuait jusqu’à mes chevilles avec une grande capuche qui couvrait un bonne partie de ma tête ou en totalité si je baissais la tête était avec. Donc, cette boite qui s’ouvre avec un contact humain donne des vêtements pour se cacher dans un monde sans trace d’être humains… Le message était clair : les êtres humains doivent se cacher des yeux des autres, mais pourquoi ? Il y avait aussi de l’argent. En lisant sur la pièce, j’appris que ça s’appelait des athropones. Il y en avait 150, en valeur de 3 pièces de 50. Pendant que je me changeais, je remarquais que j’avais laissé ma clef USB dans la poche de mon haut de pyjama. Une chance, elle continent des musiques et des documents que je garde toujours avec moi. Enfin elle sera peut-être inutile ! Après quelques efforts, je réussis à ouvrir la porte. Je pris un plan de la ville qui était par terre et vis qu’il y avait un grand lycée dans la ville. Les lycéens sont des gens de mon âge, je pourrais peut-être mieux survivre là-bas ? J’y allais, mais sans être serein. J’attendais que les élèves entre pour me mêler aux autres, mais mon accoutrement me valu quelques remarques. J’avais de la chance qu’on ne demandait pas d’identité, et me cachais. J’essayais en premier lieu de repérer où était les cuisines, les toilettes, et où je pouvais me cacher, hormis sur les arbres, qui étaient feuillus. Je volais de la nourriture et me soulageais la nuit, quand tout le monde dormais. Il y avait un internat pour ceux qui dormaient la semaine et un pensionnat pour ceux qui ne pouvais entrer chez eux que les vacances, et de ce que j’en entendais, pas tous. J’espionnais plusieurs personnes, mais jamais personnes n’évoquait le terme « d’humain ». Un jour je le cru, mais je me suis rendu compte qu’il disait « demain ». Finalement, voyant que ça ne servait à rien, je me demandais comment je pourrais parler à un anthropomorphe sans me faire découvrir. D’abord, il fallait un pensionnaire, car sinon je ne pourrais pas parler avec lui tout le temps, et que les pensionnaires étaient un peu plus libre que les internes. Ensuite, il fallait que je regarde le caractère de chacun, pour voir lequel ne s’enfuira pas quand je commencerais à lui envoyer des mots. Mon intérêt se porta sur un loup de, j’ai eus de la chance qu’il le dise, 18 ans. Ironiquement, c’était comme moi. Il était plutôt calme, mais gardez vous de l’énerver ! Il était sinon plutôt jovial et passait du temps à se coiffer, ce qui était plutôt difficile au niveau de la queue car il aimait se coiffer et cela la lui faisait remuer. Quand je m’en suis rendu compte j’ai faillis rire, mais heureusement j’ai pu étouffer cet éclat. Il y avait quelques problèmes que je n’arrivais pas à saisir, et le plus gros était qu’à la cantine il n’y avait pas de viande. Que mangeaient les carnivores ? Peut-être qu’ils étaient devenus herbivores. Finalement, mon entré n’était pas si discrète. On parlait souvent de la personne en noir, on l’a vu entrer, c’est tout. On se demandait si elle était encore dans l’établissement, et surtout on se demandait qu’est-ce qu’elle voulait. Je voudrais pouvoir faire un câlin à un anthropomorphe.
C’était un vendredi soir quand je me suis faufilé dans le pensionnat. J’ouvris la porte de la chambre, et je me suis trouvé comme un sot : je ne savais pas quel était le nom du loup et il y avait plusieurs personnes dans la chambre. Je rajoutais alors en haut du papier « Au loup ». La formulation me paru après coup insultante, mais trop tard, j’avais déjà dû faire un effort de discrétion pour écrire sans faire trop de bruit. Je sortis et ne dormis pas de la nuit : je voulais impérativement voir la réaction du loup en la lisant, c’est pour cela que je l’avais mise devant la fenêtre, et par chance, il y avait un arbre en face. J’avais marqué sur ce mot : « Que sait-tu des êtres humains ? ». N’empêche, je me demandais : lui dévoilerais-je que je suis un être humain, ou resterais-je à jamais dans l’ombre, juste un anonyme vêtu de noir ?
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Re: Alius (roman)

Messagede Vaxtouwen » 24 Sep 2019, 19:24

Vous en pensez quoi ? Et surtout, vous voulez que l'humain fasse quoi ? Allez-y, donnez votre avis, normalement, j'écris la suite vendredi ^w^
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Re: Alius (roman)

Messagede Vaxtouwen » 27 Sep 2019, 19:19

Coucou ! Je vois que personne n'a décidé de prendre part au choix, alors j'ai choisis comme je le voulais. J'apprécierais avoir vos retours, et bonne lecture ! ^_^ /!\ Le narrateur change.

Chapitre 2 : Activités nocturnes.

-Wouuuu ! J’ai bien dormi !
Je m’étais levé un peu tôt ce matin, et mon hurlement avait réveillé les autres, bien qu’il n’était pas fort. Généralement, c’est moi qui me lève le dernier. Après m’être fait excusé je m’habillais. J’aime bien respirer l’air frai du matin, une fois que la nuit entière l’ai refroidi. La terminale est ennuyeuse : l’histoire actuelle ne m’as jamais passionné (je préfère celle antique), j’aime bien lire mais pas étudier les livres et d’autres. Enfin, au moins en L nous n’avons plus sciences, c’est au moins ça. J’ai fais L parce qu’il y aurait plus d’heures de philo, et de ce que j’en avais entendu, c’était génial. Pour le coup, je ne me suis pas trompé. J’ouvre la fenêtre, et un papier s’envole. Je le rattrape rapidement. Mais ce papier n’est pas normal : c’est un message. Pourquoi mettre un message alors que l’on pourrai me parler ? Je lis le papier, et ne comprends pas tout de suite. C’est quoi, les humains ?
-Eh, les drôles, c’est qui qui à écrit ce message ?
Ils regardent le message, et tous semblent interloqués et nient.
-Hyrda, c’est toi ?
-Eh, mais pourquoi moi ?!
Tu joue souvent à des jeux, lit des livres et vois des films. Les « humains » pourrais un élément d’un univers qui te passionne.
-Mais pourquoi j’aurai écris un message ? J’en aurai parlé si je savais ce que c’est.
Face à cet argument. Le vent frai s’était arrêté. J’allais à la fenêtre, mais pas d’air. C’est dommage, le vent frai m’aide à réfléchir, ce qui aurait été bien utile. À force d’y réfléchir, je partis dans mes pensées. Un avion en papier me frôla, ce qui me tira hors de ma tête. Mais mince ! Je ne suis pas une cible ! J’étais en colère et voulais cracher mon venin.
-C’EST QUI L’IDIOT QUI M’A PRIT POUR UNE CIBLE ?! J’AI UNE TÊTE DE CIBLE MOI ?!
Je remarque alors qu’il n’y avait personne. Quelqu’un devait être perché dans l’arbre, feuillu comme il est, c’est le seul endroit d’où quelqu’un aurait pu m’envoyer un avion. Je me mis sur le bord de la fenêtre, prêt à bondir sur la première branche venu, mais me rétracta aussitôt en voyant que je risquais au mieux de me casser quelque chose si je sautais. Je pris l’avion et le renvoya dans l’arbre.
-Garde ton papier pour la poubelle !
Je vis alors une mains ganté de noir sortir de l’arbre, prendre l’avion et, après l’avoir rétablit, le renvoyer. Je le pris, abasourdi : la mystérieuse personne en noir était là, et il s’intéressait à moi. Mais qu’est-ce qu’il me veut ? J’imagine que l’avion est un message, vais pour l’ouvrir, mais Hyrda, le chaton mordu d’imaginaire, me prit l’épaule. Je tourna la tête, et à la sienne je compris que j’avais une tête qui faisait peur.
-Qu’est-ce que tu as ? Pourquoi tu cris, et pourquoi tu a l’air d’avoir vu un fantôme ?
-J’en ai peut-être vu un, en effet…
J’ouvris la lettre, mais je fus trop pressé de savoir ce qu’elle disais que je ne la descendis pas à la hauteur d’Hyrda qui dû sauter sur mon dos pour lire la lettre.
« Viens ce soir dans la clairière du bois lycéen. Nous avons besoin de réponses, et il se peut que chacun de nous ai celles de l’autre. »
Je levais les yeux vers l’arbre. Je n’avais pas pris cette histoire de bête noire au sérieux, mais maintenant, je suis devant le fait. Hyrda demanda de sa voix qui faisait plus jeune que son âge :
-Tu peux m’expliquer ? Qu’est-ce que c’est que ce message ?
-Tu as entendu les rumeurs sur cet bête en noir, non ? Il s’intéresse à moi.
Hyrda était tellement choqué qu’il se laissa tomber de mon dos et se retrouva par terre. Les autres étaient déjà sortis pour prendre leur déjeuner. C’est décidé, j’irais après le souper.
-Tu sais ce qu’il te veux ?
-Non.
-Tu le connais ?
-Non.
-Je te suivrai ce soir !
-Ah non ! Si il ne s’exprime qu’à moi, c’est pour une raison ! Je n’ai pas envie qu’il me fuis si je suis accompagné.
Hyrda s’insurgea, mais il n’est jamais crédible quand il se met en colère.
-Mais imagine qu’il te fasse du mal !
-Mais pourquoi quelqu’un me demanderai de venir quelque part pour me faire du mal sans le préciser ?
-Il a peut-être oublié ? Mais quand même ! Laisse moi venir! Moi aussi j’ai des griffes !
-Non.
Il finit par abandonner. La journée sa passa, et je ne disais presque rien. Je restais planté sous l’arbre, à essayer de voir si il y avait quelqu’un. C’était interdit de monter aux arbres car on pourrait tomber, aussi je n’allais pas vérifier profondément. J’appris que les marqueurs de l’école avaient disparus ainsi qu’un couteau et une lime. C’est quand même absurde de voler ça. Si on a besoin de couper du pain, on demande qu’on le coupe à celui qui a un couteau, et le marqueur est au lycée, autrement dit, tout le monde peut l’utiliser. Et son couteau, il aurait pu le limer avant de partir au lieu de voler une lime. Mais cela passait au second plan. J’avais mieux à penser qu’à un idiot casse-pied. Je pris ma soupe rapidement et alla rapidement dans la clairière. Je mis un temps avant de le voir, adossé contre un arbre. Il portait quelque chose à sa main droite. Il s’approcha doucement, comme si il se méfiait de moi. Il s’arrêta à deux pas de moi.
-Merci d’être venu, comme je le demandais. Désolé d’avoir une arme, mais je vais devoir me défendre si on m’agresse.
-Une arme ? C’est quoi ?
Il ne dit rien pendant un petit temps.
-Vous ne savez pas ce qu’est une arme ?
-Non. C’est quoi ?
Il réfléchit un petit temps. J’avais plein de questions, mais je ne savais pas quoi dire.
-C’est quelque chose qui nous sert à agresser quelqu’un.
-Mais tu peux utiliser tes crocs, tes griffes, tes sabots ou autre si tu veux agresser quelqu’un.
Je n’arrive pas à croire que j’ai donné un conseil sur le comment agresser une personne. Il rit un peu.
-Vous pouvez. Moi, la nature ne m’as rien donné pour me défendre. Pas de force pour s’imposer, pas de vitesse pour s’échapper ni de grande fertilité pour assurer la suite de l’espèce.
C’était les 3grands points qui constituent un animal, personne n’en sortait.
-Mais ça n’est pas possible. Tous ont au moins un de ces 3 points pour survivre. Tu as eu un accident ?
-Non, c’est mon espèce qui est comme ça. Comme nous n’avons rien et que nous sommes fragiles, alors nous avons inventés des palliatifs. Nous n’avons pas de fourrure pour nous protéger du froid, nous l’avons arraché à ceux qui en avait. Nous n’avons pas de force, alors nous avons créé les armes. Nous avons créé ce qui nous manquait. Nous sommes les humains. Que sais tu des humains ?
J’étais effrayé : arracher la peau d’une personne pour se la mettre dessus ? Mais ses écailles ou ses plumes ne lui suffisent pas ?!
-Les humains me sont inconnu. Mais pourquoi tu ne te contente pas de tes plumes ou alors de tes écailles si tu n’a pas de fourrure.
Il resta silencieux. La chose qu’il avait dans sa main, il me la montra.
-C’est une masse en bois. Une arme des plus rudimentaires. Je l’ai coloré de noir pour qu’elle passe plus inaperçu avec ma tunique. Elle sert à assommer son adversaire. J’ai été transporté dans ce monde je ne sais comment. Ce que je sais, c’est qu’il n’y a aucun signe d’humains et que je suis faible, et vous êtes fort. Je n’ai pas assez de forces dans mes bras pour me battre, alors j’ai créé une arme des plus rudimentaires car je suis incapable de faire autre chose pour me défendre, et je n’ai jamais manié d’armes. Je suis une proie dans un monde où tout être, même la souris, est plus fort que moi !
Il n’est pas de ce monde ?! Mais c’est n’importe quoi ! Il me mène en bateau ! Il a volé son… truc dans un musée et il brode ! J’allais lui dire ce que je pensais de lui lors que Hyrda, qui m’avais suivi discrètement, saute sur celui qui se nommait humain.
-Tu ne lui fera pas de mal !
La dernière phrase de l’inconnu avait dû faire penser à mon ami qu’il allait m’agresser. J’essayais de les séparer, mais l’humain s’était mit à tourner sur lui-même pour essayer de se débarrasser d’Hyrda qui s’était accroché à sa tête. Quand il l’eut éjecté, il allait lui donner un coup de son « arme » alors je m’élançais pour le sauver. Mais quelque chose n’allait pas : il ne prenait pas son élan pour frapper. Je m’arrêta. Finalement, il lança son arme au loin, incapable de faire du mal. Je pris Hyrda dans mes bras. Il s’était assommé sur une pierre. Il avait dans les pattes un morceau de tissu : il avait arraché un bout de la capuche de l’humain. L’humain était de dos, il regardait la pleine Lune. Il avait des poils, alors pourquoi il m’a dit ne pas avoir de fourrure ? Il m’entendit approcher et se retourna. On voyait sa peau ! Il n’était pas couvert de poils, c’est quoi cette bestiole ?! Je fis un pas de recul par la surprise.
-Je suis un humain. Je suis dans un monde peuplé d’anthropomorphes et en quelques jours, il y en a un qui m’attaque. Je suis forcé de me cacher et de me montrer violent dans un monde dont j’ai toujours rêvé.
Il pleurait. Je devais le consoler et essayer de l’intégrer à ce monde qu’il aime manifestement où alors devrais-je le laisser là, le condamnant à une vie de fuite ?
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Re: Alius (roman)

Messagede Vaxtouwen » 05 Oct 2019, 19:07

Désolé pour le retard de un jour. J'ai pris en compte vos commentaires, et comme il n'y en avait pas, j'ai fait mon choix. Voilà le 3ème chapitre, et s'il vous plait, laissez un commentaire, au moins que je connaisse votre point de vu. Je risque de ne pas pouvoir publier des histoires pendant un temps (j'ai des problèmes personnels), et j'espère qu'il y aura des avis la prochaine fois. Mais enfin bref, ça n'est pas une obligation non plus, ça serait juste sympa ^_^

Chapitre III : La bête noire.

Je me sens coupable d’avoir levé mon arme vers ce chaton. J’aimerais le rejoindre, lui et le louvard, mais je ne peux pas. Pas après avoir agressé ce chaton.
-Tu peux venir avec nous si tu as envi.
Je relevai la tête. Était-ce réel ? Sa voix était douce, et sa proposition était tout ce dont j’avais besoin, tout ce dont j’avais envi. J’arrêtai de pleurer. Ne pouvant exprimer ma volonté d’accepter tellement la joie m’étouffait, je lui fit un signe de tête dont j’essayai tant bien que mal d’en extraire toute forme de sentiments. Je le suivis tout le long du bois. Personne ne disait rien. J’étais captivé par l’aura que ce moment dégageait : la lumière de la Lune éclairait le chemin, mais elle était tranché par les branches. Devant moi, le louvard avançait et de dos, j’avais l’impression qu’il était impassible. Nous étions arrivés à la chambre du louvard et du chaton.
-Attends, s’il te plais.
Le louvard se retourna vers moi.
-D’accord. pourquoi ?
-Est-ce que je ferais peur à tes colocataires ? Peut-être vaut t’il mieux que tu m’introduise.
Le louvard devint pensif.
-Oui, je n’avais pas pensé à cela… Mais je n’ai aucune idée pour t’introduire, et toi ?
-Dis simplement que tu a rencontré quelqu’un qui n’est pas d’une espèce connu.
Le louvard me fit un signe de tête et entre avec difficulté au vu qu’il avait Hyrda dans les bras. Quand il entra, j’entendis des exclamations de surprises, tous se demandait ce qui lui était arrivé.
-Il a été blessé après s’être battu pour me défendre. Il n’est pas blessé gravement et il s’est fourvoyé : personne n’allait m’agresser. Cette bête était perdu. Elle s’est retrouvé hors de son monde et est arrivé dans le notre qui est différent du sien. Il se sent menacé, et j’ai décidé de l’aider.
Des personnes ne le crurent pas, certaines se moquèrent de lui à cause du ton solennel qu’il avait prit, mais le reste lui demanda pourquoi il était prêt à l’aider alors qu’il avait fait du mal à Hyrda. Le louvard était un peu gêné par les remarques sur son ton et dit d’une manière plus naturelle :
-Hyrda s’est jeté sur lui et c’est en essayant de s’en débarrasser qu’il l’a lancé sur une pierre, et croyez moi, ça n’était pas fait exprès. Quand il allait lui mettre un coup, il n’a pas pu. Je vous présente la bête noire.
Pourquoi il m’a affilié un surnom pareil… Pour ne pas le laisser dans un moment de solitude, je rentrai quand même. Les réactions furent diverses. Il y en a qui se demandaient pourquoi je n’avais pas de poils partout, d’autres qui reculaient méfiant, il y en a un qui a crié, et le lion me renifla. Je le laissais faire. Le lion fronça le nez et me demanda alors :
-Mais tu est de quelle espèce ?!
-Je suis de la puissante race humaine.
Je ne sais pas pourquoi j’ai qualifié l’espèce humaine de puissante, c’était sortit tout seul. En revanche, j’avais dis « race » car de mon point de vu (que je me suis forgé lorsque j’ai eus l’idée des métamorphoses) l’espèce humaine comportait pour le moment uniquement la race humaine, mais pour ne pas exclure les anthropomorphes en les qualifiants d’inhumains, je les plaçais dans l’espèce humaine, la seconde race.
-De quoi ?
La question venait de tout le monde en même temps.
-Je suis un humain. Ma race est faible au vu qu’elle n’a ni force, ni vitesse, ni fertilité, mais en contre parti nous avons créé des palliatifs. Nous sommes des proies qui sont devenus des superprédateurs.
Tout le monde devint perplexe.
-C’est quoi une proie et c’est quoi un superprédateur ?
J’avais envi de me mettre des baffes ! Pourquoi a t’il fallut que je parle de ça ?!
-Ce sont des concepts que vous ne pouvez pas comprendre si vous ne connaissez pas.
Cette pirouette me permit de réparer mon erreur. Après une séance d’interrogations, je pu avoir la paix. Hyrda était sur le lit, à se reposer. Il était seulement assommé, il n’avait pas besoin de soins particuliers. Un guépard s’avança.
-Eh, tu voudra faire une course demain, sans queue ?
-Sans queue ?
Oui, tu est le seul animal qui me vient à l’esprit qui n’as pas de queue.
Alors que personne n’avait fait attention, il était vrai que les humains avaient perdus leur queue dans le processus de l’évolution car elle était devenu inutile, ce qui m’amena à la question suivante : pourquoi ils l’avaient encore ? Ce qui est drôle, c’est que pendant que je m’interrogeais sur le pourquoi ils avaient leur queue, eux me questionnaient sur le pourquoi je n’en avais pas. Personne n’eus de réponse à ce niveau là car si j’avais dis que nous les avions perdu faute d’utilité, ils m’auraient justement rétorqués que eux l’avaient toujours. J’avais inventé un moyen de décupler ma vitesse il y avait un an. J’arrivais à dépasser les voitures dans ma ville, alors cela me faisais courir vite. Ça n’était certainement pas suffisant pour battre un guépard au vu qu’ils courent à 120 km par heures, mais qui ne tente rien n’as rien, et puis je pourrais leur faire une comparaison. J’acceptai, et sortis de la chambre. J’y revint bien plus tard, et tous dormaient. Je me mis, moi et mon invention, contre un mur et m’endormis.
Ce fut Hyrda qui me réveilla au petit matin. Il voulait s’excuser pour sa méprise et s’était engagé à réparer ma capuche. Normalement, j’aurais refusé, mais je tenais à cette capuche, je ne sais trop pourquoi. Je m’adossai sur le mur et pensa à la veille, puis à maintenant. Un sourire se dessina sur mon visage, et je commençai à rigoler. J’étais dans un monde peuplé d’anthropomorphes, et ils ne savaient pas ce que guerre voulait dire. Autrement dit, je n’avais rien à craindre ! Les humains n’avaient simplement jamais existé dans ce monde, et aucune ire n’était tournée vers ma race ! Je me sentais libre, comme dans un paradis sur Terre. Le guépard vint me chercher pour la course. Tous les élèves étaient présent car tous savaient qui j’étais et qu’est-ce qui se passait. Les colocataires avaient prévenus tout le monde par téléphone et il y avait autant de personnes… pardon, de « bêtes » qui sont venu voir la course que pour voir la bête noir, la nouvelle espèce. Ils se considéraient comme la race anthropomorphe et les espèces (chat, loup, guépard,…). La course commença, et je la fis sans mon invention de fortune. Il me distança, mais pas assez vite : un anthropomorphe devait aller moins vite qu’un animal sauvage. Alors que le guépard se vanta de sa supériorité en vitesse, je lui proposa de refaire la course, ce qu’il accepta. Je mis mon invention, et quand le départ fut annoncé, je me pencha si bien en avant qu’il m’aurait été impossible de me rattraper, mais c’était fait exprès : l’humain se déplace par perte d’équilibre constant. Je mettait juste tout mon poids devant et je me propulsais avec mes pieds. Mon invention fonctionnait comme un ressort de courte distance. Mes pas me menaient plus loin, mon orientation me donnait plus de vitesse et m’obligeait à faire moult pas pour ne pas tomber. Je battis alors le guépard à la course, et je compris alors pourquoi j’avais dis que la race humaine était puissante. Évidemment, ma position ne me permit pas de me relever et je me laissai tomber. Bien que j’avais mis mes bras, le choc fut rude. J’allais voir le guépard, qui était arrivé quelques 10 secondes plus tard, et lui dis, ainsi qu’à tous les colocs autour de moi :
-Vous vous rappelez de ce que je vous ai dis hier ? Que les humains sont dépouillés mais qu’ils inventent des palliatifs ? Je ne cours pas vite, mais j’ai su battre un guépard à la course, grâce au palliatif.
Maintenant, un désir me brûlait, un désir d’orgueil : J’avais envi de dépasser tous les animaux dans leur domaine de prédilection, exception faite de la fertilité évidemment ! Devrais-je y répondre et l’assouvir ou bien la garder enfouie en moi ?
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Re: Alius (roman)

Messagede Vaxtouwen » 14 Oct 2019, 12:33

Bon bon, toujours aucune réponse. T_T Bon, en tout cas, je ne me lasse pas ! Je sais pour les fautes et les erreurs, mais quand j'écris vite (ce qui m'arrive quand ça me passionne) j'en fais beaucoup et généralement j'oublie de me relire. Là pour le coup je n'ai juste pas le temps, mais enfin voilà. Ce chapitre est plus court, mais cette décisions m'orientera vraiment, et je n'avais pas envie de faire du remplissage pour combler le vide. En tout cas, bonne lecture, amis de tous poils, plumes écailles ou autre ! ^_^


Chapitre IV : Paix.

Il serait plus sage de ne pas le faire, cela pourrait attiser des haines inutiles. D'ailleurs, existe t-il des haines utiles ? Je dois arrêter d'agir comme si j'allais me faire écraser à tout instants, je dois me pacifier, retrouver mon bonheur d'avant mon arrivé. Je ne parlerais des humains plus que quand on ne me parlera de cela. Évidemment, tous les curieux m'entourèrent et me posèrent des questions sur les humains. Peu à peu, je me trouvais comme dans une nouvelle famille et arrêta de parler de la puissance des humains et me résolu de ne pas parler des vices. Je parlais des Monuments de l'art, mais cela ne les intéressaient pas : cela existait déjà chez eux. Je compris alors que je pouvais me servir de cette réaction pour jauger ce monde : ce qui existe n'intéressera pas. À tout hasard je décidais de parler de la génétique, domaine où je suis fort. Cela les ennuyaient au début, mais dès que j'ai commencé à parler de clones il se sont intéressés.
-Nous avons réussit à cloner un agneau, mais il n'a pas vécu très longtemps et puis finalement la pratique a été jugée amorale.
Un agneau protesta que de toute façon, ça aurait dû être compliqué d'un niveau social pour le clone. J'ai faillis dire qu'il serait parti pour l'abattoir de toute manière, mais je me ravisa.
-Les agneau n'ont, à ma connaissance, pas de modèle social très évolué, ça n'aurait pas été grave.
Un grondement se fit entendre.
-Ben quoi ?
-NOUS VALONS AUTANT QUE TOI !
Les agneaux partirent, ainsi que d'autres animaux. Mais qu'est-ce que j'ai dis ? Ils peuvent bien comprendre que je parlais des animaux normaux ; enfin pas anthropomorphes.
-Euh, quelqu'un peu m'expliquer qu'est-ce que j'ai dis de mal ?
Là, tous partirent, à quelques exceptions prêt. Le louvard vint et me regarda d'un air grave.
-Dis, de là où tu viens, les agneaux sont quoi ?
-Ben, ils ne parlent pas, ils ont quatre pattes et à par bêler et manger de l'herbe ils ne font rien d'autre à ma connaissance.
Le louvard semblait perturbé et légèrement apeuré. Il m'attrapa le bras et le serra fortement.
-Et les autres animaux ? Ils sont comment ? Et les loups ?
-Ils ne parlent pas, et sont à 4 pattes, si ce n'est les animaux marins et les oiseaux. Les humains sont les seuls à être considérés comme étant des être dit intelligents et même nous avons pour beaucoup arrêtés de nous considérés comme des animaux. Le loup, lui, a une structure sociale solide, mais pas assez pour être une structure politique. Le.. Le loup est considéré comme étant le pire ennemi de l'humain.
Le louvard s'éloigna un peu.
-Le pire ennemi ?
Il attendit un peu.
-Mais pourquoi ?
Je pris une respiration longue, puis me jeta à l'eau.
-Le loup est un symbole de méchanceté et de cruauté. Je ne sais pas exactement pourquoi. Les loups dans les forêts et les montagnes tuaient les animaux des bergers et en France les humains ont finis par les tuer jusqu'au dernier. Actuellement les loups d'Italie reviennent et des lois les protègent, mais ils y a toujours des tensions.
D'un coup le doute me prit.
-Mais il n'y a pas des animaux autre qu'anthropomorphes ?
Le louvard mit un temps. Je vis le peu d'effroi sur son visage se dissiper.
-Non. Ici, il n'y a que des anthropomorphes. J'arrive même pas à concevoir que des animaux ne le soient pas.
Je compris alors ma bourde : j'avais parlé d'agneaux mais ont n'imaginaient pas les mêmes agneaux. Le louvard fit prévenir tout le monde de la méprise, que les animaux de mon monde étaient simplement très différents de ceux de ce monde et que « l'humain pensait qu'il y en avait ici aussi ».Alors on revint me poser des questions, mais sur les animaux. Je décidais de la ménagers alors je ne décris que leur physique. Les détails, je pourrais les dires au louvard. Tiens, c'est quoi son nom, d'ailleurs ?
C'est fou ce qu'il est agréable d'être avec les anthropomorphes. Ils parlent bien, sont jovial et ne sont pas rancuniers. C'est d'ailleurs pour cela qu'ilsont tous étés content de me parler à nouveaux quand ils ont su pour la méprise au lieu de continuer à me distancer. Je m'enivre de ce bonheur.Maintenant, je sais que à condition que je fasse attention à ce que je dis, le bonheur sera toujours au rendez-vous.
Mais mince ! Je dois goûter aux plats, aux spécialités, je dois visiter ce monde, approfondir mes connaissances sur tout, apprendre le style vestimentaire de chacun et connaître leur système politique, mais par quoi je devrai commencer ?
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Re: Alius (roman)

Messagede Claircendre » 14 Oct 2019, 17:57

et ba quelle courage ^v^
sache que ne ne prend hélas pas le temps de lire les nouvel et roman en ce moment mais je te souhaite bon courage tous de même.
Croa croa. Moi oiseau de mauvais augure? mais non... Juste nécrophage filou et farceur ^v^
+ [spoiler]
déçue? vous vous attendiez à quoi? ^v^
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Re: Alius (roman)

Messagede Vaxtouwen » 15 Oct 2019, 13:02

Merci ^_^ ça fait plaisir. Je compte bien finir ce roman avec ou sans commentaires, mais c'est sûr que c'est mieux avec. Ça me met le baume au coeur que tu ai laissé un commentaire :wink:
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