Les chroniques de Kopa [Fanfiction]

[Askari]

[Voici ma première fanfiction, je vous laisse apprécier, et même donner votre avis si vous en avez, ou même des conseils à donner ]


Prologue

Dix-huit heures, c'est ce qu'on pouvait lire sur mon téléphone portable, dix-huit heures, je m'avançais d'un pas lent en direction d'un appartement en fixant le fond d'écran immobile qui ne changeait jamais de place. Si on pouvait ignorer le monde aussi bien que moi, c'est simplement que je n'aimais pas vraiment m'attarder sur d'autres problèmes tant que les miens ne s'étaient pas encore réglés. J'avais peut-être vécu dans l'ombre, vécu dans la solitude, vécu dans l'oubli, mais je n'avais rien que je pouvais regretter, j'avais toujours fait ce qui me semblait de mieux pour les autres et pour une fois, je devais penser à ma propre santé.

C'est ainsi que j'arrivais en face de ce bâtiment, je regardais à travers la porte vitrée afin de pouvoir voir l'intérieur, jusqu'à voir une petite inscription: «Frederic Teste, psychologue». Quelle ironie de me voir parler à un inconnu alors que j'avais toujours refusé de les voir, avec le nombre de fois dont on m'en avait parlé, il aurait fallu attendre qu'un incident se produise pour me décider à me faire aider lors de cette détresse. Je montais alors les marches une par une, après avoir appuyé sur le bouton de l'interphone, je repensais à ce qui avait pu me faire partir dans l'ombre, peut-être mon passé? Tout était si froid... 28 février 2012, je pensais bien que le temps avançait si vite quand je voyais que j'avais grandi dans ce monde si rapidement, peut-être que j'étais un loup pas comme les autres?

Je finis alors par attendre l'heure de rendez-vous pour entrer dans l'appartement du psychologue, en le voyant, bien entendu il ne fallait pas s'étonner que ça soit un humain. Je restais assez timide en le regardant, mais je voulais tellement prendre un nouveau départ, et j'étais prêt à tout pour enfin sortir de cette angoisse... Je sentais encore la puissance de ce médicament que je venais de prendre la veille afin de calmer mes crises d'angoisse, malheureusement il fallait bien que je suive le traitement comme on me l'avait demandé, c'est pour mon bien.

Je m'assis alors sur la chaise en regardant l'être humain, une conversation s'en suivit très rapidement, des présentations, parler, parler, parler... C'est tout ce qu'on pouvait faire pour l'instant, mais ce que je n'allais pas oublier, c'est ce que j'allais lui raconter, vivre, vivre, vivez, souffrez, profitez. Le psychologue me posa une dernière question:

- On peut se tutoyer, je vois que tu t'es souvent attaché à ton enfance d'après ce que tu m'as dit, dis-en moi plus.

Je regardais donc l'adulte avec un petit regard, je savais que j'avais encore tous les souvenirs dans ma mémoire, mais je n'avais plus la force de tout affronter, mais c'est dans un élans de courage que je repris ma respiration pour tout lui raconter.

- Mon enfance ? C'était dur, très dur, les autres enfants étaient méchants, comme les adultes, mais ce n'est pas ça qui m'a fait devenir ce que je suis maintenant, c'est mon adolescence... Mais, j'ai assez souffert quand même.

Le psychologue reprit donc la parole afin de pouvoir me mettre en confiance, d'une voix douce, il m'adressa un sourire:

- Tu peux tout me dire, je suis là pour t'aider, je t'écoute...

Si j'étais connu pour être un des rares furrys vivants dans cette terre, c'est sûr qu'on pouvait s'entendre à un rejet de la part des autres humains, j'avais souvent trouvé le réconfort auprès de mes sœurs, et de mes rares amis, un flash arriva, tout devint si blanc que je ne voyais plus rien et je commençais à raconter mon histoire.

[PaperDragon]

Je pense que quand on se lance dans l'écriture il est indispensable d'avoir une grammaire irréprochable. Je vois que tu ne la maîtrise pas parfaitement (je sais que c'est pas facile puisque moi même j'ai des problèmes avec) mais il va falloir y travailler. Le problème c'est que tes erreurs de grammaire nous font perdre totalement le fil de ce qu'on est en train de lire. C'est un peu comme quand un fursuiter enlève sa tête et que tu vois que c'est un humain à l'intérieur, ça brise la magie! Pour y croire, on a besoin de s'immerger dans la truc.

[Askari]

Pas de soucis, merci PaperDragon de ta remarque, je veillerai à régler ce problème pour la prochaine fois.

[Askari]

( C'est un fanfic autobiographique de Kopa, alors ne vous attendez pas à un récit qui se suit, je donnerai des passages xP )


Tome 1: Les débuts du royaume de lumière
Chapitre 1: Les premiers pas d'un louveteau

Il avait fallu peu de temps pour que le miracle arrive, une nouveauté dont deux loups précis n'allaient pas s'attendre, c'est bien l'arrivée dans ce monde mystérieux de trois louveteaux, un mâle et deux femelles, je faisais donc parti de cette lignée qui semblait se diriger vers un destin assez inattendu qui allait rassembler nos trois personnes. On va donc en conclure que je suis le mâle de cette portée, Kopa Eternal, pour vous servir.

Il aurait fallu si peu de temps pour apprendre à marcher, pas très longtemps pour apprendre à parler, mais une éternité pour s'intégrer dans ce fameux paysage rempli d'humain et de furry, même si ce-dernier reste en minorité, une question dont on aurait pu se poser depuis un certain moment, pourquoi? Une question qu'on ne peut encore répondre, on peut simplement dire: Parce que!
Un souvenir restait très souvent dans les mémoires, nous avions à l'époque trois ans, l'entrée à l'école maternelle comme tous les enfants de notre âge. C'est là qu'on commençaient à se détacher des parents afin de pouvoir rencontrer de petites personnes avec le même âge que nous.

Je marchais en compagnie de ma mère, collé à elle, alors que mes deux sœurs Ikou et Fleonnix commençaient à courir toutes les deux en tentant de deviner le chemin qu'il faudrait prendre jusqu'à l'école. Je les suivis du regard, tenant la main à ma maman avec un grand sourire au visage, j'avais l'impression de bondir dans les airs pour rejoindre les étoiles, j'étais simplement aux anges. Il n'aurait pas fallu longtemps avant d'arriver devant un grillage. La louve s'abaissa et nous donna un petit sachet contenant un goûter avec de l'eau à mettre dans le sac puis entra avec nous dans le bâtiment, la grande louve reprit alors avant de rejoindre une humaine non loin de là.

- Je reviens tout de suite, vous pouvez jouer tous les trois ici, maman ne va pas loin.

Elle partit ensuite en lâchant ma main vers cette inconnue, pendant que je baissais les oreilles tout en tremblant légèrement, quand je sentis quelqu'un me bondir dessus soudainement.

- Nyah ! Kopa ne boude pas ! Viens jouer avec nous !, cria Fleonnix.
- Oui, viens, on va s'amuser, continua Ikou

C'était inévitable, mon sourire revint sur mes babines lorsque je commençais à marcher vers Ikou tout en redressant mes oreilles sur ma petite tête poilue.

- D'acc...ord, vous zoulez zouer à quoi ?, dis-je timidement.

à … à ! UN DEUX TROIS ROI DU SILENCE !, cria Ikou avant de se taire avec Fleonnix

Je le regardais tendrement avant d'écarquiller les yeux, c'est vrai que je ne prenais pas vraiment cette habitude, mais je passais du bon temps avec mes sœurs, je jouais dans le jeu tout en m'asseyant en tailleur avec un petit sourire tout en les fixant sans bouger. Fleonnix et Ikou se tiraient la langue et commençaient à faire des grimaces comme pour se faire rire et commençaient à montrer de grands cris de joie, je n'avais pu contenir mon rire, Fleonnix reprit donc la parole :

- Ikou, Kopa, z'avez rigolé en premier, perdu ! J'ai gagné !, nous nargua Fleonnix
- Non, c'est même pas vrai d'abord, j'ai gagné !, reprit Ikou

Je restais assis sans rien dire, puis je me tournais à nouveau en direction de ma mère en me demandant ce qu'elle pouvait faire, c'est ainsi que je me levais pour marcher doucement dans sa direction quand Ikou s'exclama.

- Koupa, tu vas où ?!
Ze vais voir meuman, répondis-je
On a même pas le droit, y faut rester ici d'abord !, continua Fleonnix

Je repris la marche vers la louve quand je vis mes sœurs me suivre, elle était donc en train de parler avec une humaine de la même taille qu'elle, je levais donc la tête timidement pour les regarder, quand l'inconnue tourna sa tête pour se baisser à notre niveau.

Alors, c'est vous les trois petits loupiots ? Vous allez bien vous amuser ici, vous allez vous faire de petits camarades.
On peut s'amuser, yeah !, Fleonnix sautilla sur place

Je me réfugiais timidement derrière les jambes de ma mère tout en rougissant, s'il y avait quelque chose que je ne comprenais pas, c'est de quoi elle voulait parler, j'ignorais même la raison de notre venue ici, c'est alors que ma maman se mit à mon niveau pour me raconter :

- Mes petits loups, maman va devoir vous laisser ici, je reviendrai vous rechercher tout à l'heure, vous pourrez vous faire des copains.
- Des copains ? Chouette alors, s'exclama Ikou

Je commençais à baisser les oreilles, avec les yeux qui s'humidifiait, je ne voulais pas la quitter, c'est alors que je commençais à prendre son bras pour ne plus le lacher.

Nhn... ! Meuman, ze veux rester avec toi... Ze ne veux pas que tu partes meuman...

- Mon chéri, maman n'a pas le choix, tu resteras avec tes sœurs, tu pourras t'amuser... je reviendrai dans peu de temps
- promis Meuman?..., continuai-je
- Promis.

C'est alors que je lachais doucement son bras en le voyant partir avec des au revoir et des bisous pour ensuite voir l'humaine avec un grand sourire, je levais bien la tête pour la regarder jusqu'à la suivre jusqu'à une porte, oû se trouvait derrière une classe avec des enfants, il y avait beaucoup d'humains, mais presque pas de furry, nous étions les seuls. Je me cachais alors derrière mes sœurs timidement en voyant leurs petits regards. Beaucoup de chose se passa avec ce petit temps, mes sœurs s'étaient directement fait des copines et des copains avec sympathie alors je restais légèrement triste à l'idée de ne plus être avec ma mère, je restais à fixer la porte pendant le temps libre quand un bruit attira mon attention. Une oreille se leva, je tournais le regard vers la boite à jouet, c'est ainsi que je trouvais ce qui avait attiré mon attention. Je venais de trouver une poupée aux cheveux sombres mais avec un regard magnifique, je ne pouvais m'empêcher de faire un fabuleux sourire face à ce miracle de la nature, même si ce n'était pas de la même espèce que moi.

- Oh... Elle est zolie..., dis-je en murmurant.

Je le pris donc doucement dans les bras en allant m'asseoir sur une petite chaise avec elle, je regardais donc ses bras, ses cheveux sa tête, tout. Un vrai coup de cœur, je ne voulais pas m'en séparer, je la faisais sautiller sur mes genoux quand une petite humaine se rapprocha de moi avec mes deux sœurs.

- Koupa, pourquoi tu ne viens pas ?!, commença Ikou
- Ze zoue avec ma nouvelle copine, dis-je avec un petit sourire en regardant la poupée
- On s'est fait pleins de copine nous, on joue, dit Fleonnix
- Oui, on joue à trappe-trappe, dit Ikou

Je levais le regard vers elles avec le même sourire quand je repris avec timidité.

- Ze viens après, ze zoue avec ma topine, repris-je.

Mes sœurs partaient donc rejoindre leurs copines pour reprendre les jeux, quand je commençais à parler doucement à la petite poupée.

- Tu t'appelles comment?

On ne pouvait pas espérer qu'elle me réponde, mais j'imaginais l'entendre comme si c'était vrai, c'est ainsi que j'entendis le nom : Alice.

- Moi, ze m'appelle Kopa, ze peux être ton topain ?

Je montrais un grand sourire émerveillé tout en regardant les yeux de cette poupée quand soudain l'adulte arriva, attirant mon attention.

- Alors, à quoi joues-tu Kopa ?, commença la femme
- Ze zoue avec ma nouvelle topine
- Mais c'est un jouet pour petite fille, tu es un petit garçon
- Mais ...mais...ze...ze l'aime bien quand même

La femme me prit donc la poupée des mains pour la remettre dans le coffre et me donner une petite voiture.

- Tu peux jouer avec ça

Je secouais timidement la tête pour reposer la voiture sur la petite table et me lever pour reprendre la poupée dans mes bras, l'adulte reprit donc la poupée doucement.

- Non Kopa, ce n'est pas pour toi

C'est alors que je la vis se diriger vers une table pour la poser, je ne pouvais plus la reprendre puisqu'elle était hors de portée, je m'assis donc par terre tout en baissant les oreilles, triste, les larmes aux yeux, j'arrivais vers cette table en regardant en l'air, je ne voulais pas le perdre...

**Sois pas triste Kopa, je suis là**

[Piou0]

Hâte de voir la suite, continues

[Askari]

Chaque chapitre sort tous les Mercredi

Chapitre 2: Un mauvais rêve

Le temps qui passait ne saurait rattraper ce que j'avais pu rater durant cette vie, mais les expériences et tous ces souvenirs que j'avais pu garder ne pouvaient que donner le sourire lors des petits coups durs qu'on peut avoir, c'est pourquoi on appelle cela, des instants de bonheur, nous profitons tous de ce petit moment afin de pouvoir le retrouver quand il pointera à nouveau le bout du museau.
C'est bien durant l'année que j'avais quand même pu me faire des amis, que j'avais pu faire connaissance avec certaines personnes avec mes deux sœurs Ikou et Fleonnix, mais malheureusement, je n'avais pas pu retrouver cette poupée qui me faisait tant rêver, je ne saurais pourquoi je commençais à avoir une petite phobie de ces petites choses alors que je ne pouvais pas avoir ma première ami de cet école maternelle.

Alors que je marchais dans le petit parc en compagnie de ma famille, je ne pouvais m'empêcher de tourner mon regard vers l'étendu d'eau qui parcourait cet espace verdâtre de ce lieu. Je pouvais ressentir l'envie de bondir, de courir, libre comme le vent, je me sentais si bien. Je voyais donc Fleonnix et Ikou se courir après tout en se dirigeant vers le petit air de jeu, je les suivis donc doucement tout en restant auprès de ma mère, et c'est ainsi que commençait un petit moment de tendresse, d'amusement dans ce petit parc si paisible.

Je pouvais me rappeler que tout se passait comme je l’espérais, les Humains s'entendent aussi bien avec les Furrys, je ne voyais qu'une égalité, pour une minorité qui vit parmi l'autre majorité. Je ne voyais qu'une grande harmonie, voir mes sœurs jouer avec les petits Furrys et Hommes, tout était féerique, magique comme l'imagination d'un enfant, extraordinaire comme ce que je pouvais voir de ce grand monde si rempli. Je tournais l regard d'un coté pour voir mes sœurs vers les balançoires, c'est alors que je me mis à courir en leur direction pour voir une troisième place de libre, je pressai donc le pas pour la prendre et commencer à se balancer, lorsque Ikou commença à rire:

Venez, on joue à un jeu, celui... Celle qui monte le plus haut avec sa balançoire!, ria Ikou
Oui oui!, répondit Fleonnix.

Je n'étais pas tellement sûr de pouvoir jouer à ce petit jeu, car monter aussi haut avait quand même le don de m'effrayer, je ne voulais pas paraître apeuré, mais je ne pouvais pas le cacher, j'avais horreur d'être à quelques mètres au dessus du sol. Je secouais légèrement la tête tout en répondant timidement.

Nyah! Ze... Ze ne veux pas... z'aime pas, moi...

S'il y avait quelque chose qui pouvait me séparer de mes sœurs était bien un petit défaut de compréhension et malheureusement, elles pouvaient quand même se montrer très têtue, jusqu'à aller jusqu'au bout de leurs idées. Elles commencèrent alors à se balancer jusqu'à tenter d'aller aussi haut, pour ma part, je m'étais arrêter jusqu'à les fixer pour tourner mon regard en direction de mes parents, mon père était présent... Un loup très gentil, vraiment sympathique, je ne voyais que le bien envers lui, même s'il était assez sévère, mais dans ma tête de petit loup, tout ne pouvait qu'être positif.

Nous partîmes de ce lieu dans l’après-midi pour retourner à la maison, toujours collé à la même personne, je regardais le cil avec un petit sourire. Si j'aimais les nuages, il était vrai qu'il avait un petit coté apaisant qui pouvait me détendre, surtout lorsqu'une envie prend le contrôle de mon esprit depuis un petit moment: retrouver cette petite poupée.

Une porte s'ouvrit donc pour laisser place à une famille de loup, entrant dans la demeure, deux petites choses se poussaient pour arriver jusqu'à une chambre rose, pendant que j'allais moi-aussi rejoindre ma chambre, fermant la porte de mes petites mains poilues, je marchais maintenant à quatre pattes pour retrouver le grand sac noir et regarder à l'intérieur. Je pouvais avoir une grande panoplie de peluche, des chiens, des chats, des loups, des tigres, et même un dragon, je sortis donc ce-dernier avant de lui adresser la parole:

Jake, z'ai été au parc, tu aurais du venir avec moi, c'était rigolo.

La peluche ne répondit pas, c'est ensuite que je sortis les autres une par une, et ils avaient chacun un nom que je leur avais donné, et j'y mettais beaucoup d'attention puisque je m'y étais attaché, ils faisaient partis de mon cercle d'ami.
C'est alors qu'un moment de rigolade se mit en place entre les peluches et moi-même, je riais à m'en décrocher la mâchoire jusqu'à que ma mère m'appelle pour manger, je les laissais à leur place, pensant les rejoindre plus tard pour commencer un petit jeu, mais la réalité revient toujours, il faut dormir.

Le tout n'est qu'un rêve, je m'imaginais en train de gambader sur une plaine, je ne me voyais pas tellement marcher à deux pattes, mais plutôt à quatre. Je courrais tout en jouant avec les fleurs que je voyais, et plus le temps passait, plus le monde qui m'entourait commençait à s'urbaniser, et plus je redevenais le furry que j'étais. C'est alors que j'entrai dans une maison que je ne connaissais pas, mais pourtant, il y avait quand même un petit air, je voyais donc un petite chaise avec assis dessus, une poupée en porcelaine avec des cheveux noirs qui ressemblait fortement au jouet confisqué dans l'école maternelle. Plus je me rapprochais, plus la pièce s'assombrissait, et plus une musique angoissante enfantine se faisait entendre. Je continuais ma route, jusqu'à que la pièce devienne obscurité, et que je ne puisse voir que ce personnage. C'est alors que j'aperçus le jouet s'animer et parler.

Tu m'abandonnes déjà, Kopa ? Pas bien..

La musique en question avait un petit air de ressemblance avec celle d'une boite à musique, ce qui peut tout de même sembler étrange avec les circonstances, cette poupée venait bien de m'adresser la parole. Je commençais à m'arrêter jusqu'à que la musique s'arrête: Ting!
Tout se calma, tout s'arrêta, tout disparu, ne laissant que derrière un louveteau effrayé... que s'est-il passé... j'ai du oublier ce passage, mais je sais que quelque chose s'est passé...

[Isatis]

Comme l'a dit Kopa y'a pas de suite
Faut lire....

Ne jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué !

[Askari]

Je disais: "Pas de suite" dans le sens, que ce n'est pas un roman mais une autobiographie

[Piou0]

Non mais je voulais dire par la suite voir plus, continuer en quelque sorte

[Askari]

J'espère que le chapitre vous plait, le prochain mercredi prochain

[Askari]

J'annonce une interruption indéterminé de l'écriture puisque mon écran d'ordinateur ne souhaite plus fonctionner.
Je vous le dirai quand ça marchera à nouveau.
Encore désolé :/