Le ptit roman du ptit loup.

[Rudolf]

Tous les messages suivants ne sont plus d'acutalités. Descendez directement au dernier message, c'est le seul qui compte

[kushimushi]

base assez classique et intrigue pas encore très très puissante mais bonne base pour créer une bonne suite, mfin j'ai une idée en tête, ce début peut laisser présager une suite positive toussa \o/
(normalement je ne me permet pas de faire une critique sur le forum de peur que ça nuise mais là, on va dire que c'est une base, moyenne d'aspect (à priori après, reste que ça n'engage que moi) mais qui peut laisser présager à des bonne surprise donc j'attends, huhu)

tu t'adresses au lecteur? Oué pourquoi pas ça ne me déplait pas!

En somme, curieux de voir la suite ^^ , voir comment tu vas mettre en scène les loustics en question

edit: soit dit en passant, c'est intelligent de poster qu'un petit bout comme ça, pour moult raison ^ ^

[Rudolf]

C'est pas grave que tu critiques. Si tu disais " c'est parfait, rien à changer ", tu ne m'aiderais pas. Et puis, ce n'est que le premier essai d'un ado de 14 ans en matière de roman. Et puis tout le monde ne peut pas aimer.

Voilà, fin du premier chapitre, donc je le poste. Les personnages y sont un peu plus présentés et bien que ça ne fasse pas avancer l'action, ça me permet de me détendre un peu. si vous avez des idées pour améliorer le tout, ne vous gênez pas, je n'attends que ça !

-------------------------------------------------------------------

Chapitre 1 : Comme quasiment tous les matins en me réveillant, j’ai eu le droit à une thérapie : un câlin de la part de ma petite amie, Krystal. C’est une chatte au pelage blanc tigré de marron. Elle est un peu plus petite que moi. Elle à les yeux verts et elle est accro à la mode. Elle est ultra positive, excitée, fraîche, gentille et attentionnée. Elle est super douée en cuisine et en art, surtout en musique. Elle fait donc partie d’un groupe pop-rock très connu et apprécié par les furrys et son guitariste principal est un de mes meilleurs amis. Elle, elle est chanteuse, auteur et compositrice du groupe. On se connaît depuis l’âge de 3 ans – et on en à tous les deux 16 aujourd’hui – et cela fait un an et demi qu’on « est ensemble ». Je dis ça comme ça car on est juste amoureux et pourtant, elle dort, mange, vit chez moi, dans ma maison, située près de Paris, dans une petite ville qu’une personne sur mille connait. Elle loue sa maison et habite chez moi, son petit copain. Bizarrement, je suis un loup, c’est une chatte mais on s’en fiche, on s’aime. A la question : « comment compter vous avoir des enfants ? », on ne répond pas. On est des adolescents, on cherchera plus tard, au moins on est d’accord sur ça. J’ai parlé de son guitariste. Il s’appelle Seb, c’est un dragon noir aux yeux marrons, plus grand que la moyenne, avec une puissante musculature et à nous trois, on est super amis. Lui, il est rebelle, fort, il se fiche de l’école, il est impulsif. Il est très fort en sport, il a une répartie sidérante et sa spécialité, c’est de glandouiller. Il ne respecte que moi et Krystal. Moi je suis cool, gentil, plein d’humour mais un peu je-m’en-foutiste sur les bords. J’ai un pelage gris, sauf le bout de pattes et le ventre blanc que je tiens de mon père. J’ai les yeux bleus de ma mère. Je suis particulièrement nul en cuisine mais je suis doué en dessin et en pleins de trucs utiles (premiers soins, nettoyage de maison, logique,…)
- Bien dormi, mon gros loup ? me demanda-t-elle en ronronnant
- Si je te dis que j’ai mal dormi, je vais passer à un vrai interrogatoire, donc oui, j’ai bien dormi, rétorquais-je en me levant.
- Ah, les mecs, soupira-t-elle. Tu veux pas me faire mon petit déjeuner et me l’apporter au lit ?
- On reparlera de tout ça quand on aura pas cours, ce week-end, dit-je en lui lançant un tee-shirt. Met ça ma puce, si tu veux pas avoir froid. Je ne voudrai pas avoir à cuisiner, blaguais-je en l’embrassant.
- Je note, je note.
Je sortis de la pièce en direction de la cuisine, après m’être habillé, la laissant hésiter entre le petit haut vert qui va bien avec le jean ou le tee-shirt noir à manche longue qu’elle a acheté samedi dernier. La cuisine, toujours aussi mal rangée, faisait pitié à voir.
-Chéri, tu sais pas où est ma montre ? demanda Krystal depuis le couloir.
-Regarde dans le micro-onde !
- Si tu essayes de me faire comprendre qu’on doit ranger la maison, c’est réussi.
Je pris un bol que je bourrai de lait et de céréale et le posai à la place de Krystal. Puis je pris du pain et du beurre pour enfin m’asseoir à ma place et commencer à manger. Je finis mon petit-déjeuner le plus vite possible et partis mettre des chaussures épaisses, vu la couche de neige imposante qui reflétait la lumière bleue pâle de cette matinée. Je pris ensuite mon sac et attendis que la petite princesse ait finis de se brosser les cheveux.
- J’ai les cheveux en pétard ! J’ai besoin d’un compliment, Wolf !
- Tu as bonne vue, me moquais-je.
- C’est toi qui cuisine ce soir, rien que pour ça !
- Faudra que j’envoie un rapport de décès à tes parents alors. Et qu’ils m’envoient un chèque pour les funérailles.
- J’ai compris, mais alors ce week-end, c’est petit-déj au lit pour moi, les deux jours !
- Ca marche, mais je vais mourir de vieillesse si tu ne te dépêches pas !
J’attendis qu’elle finisse de mettre ses chaussures pour sortir. Dehors, en plus de la neige et du froid, il y avait du vent. Nous étions partis un peu plus tôt que d’habitude, prévoyant que la neige nous ralentirais, à juste titre, d’ailleurs. Après une dizaine de chutes et quelques bleus, nous entrions dans le lycée. A peine je passais la grille que la cloche retentit. Tout le monde monta en cours, en soupirant. Seb, Krystal et moi commencions par une heure de français. Quoi de mieux pour commencer la journée après tout, qu’une heure de cours soporifique avec un prof ayant deux de tensions vous expliquant que la PSR était attribut de l’antécédent servant de sujet au GN de la principale. Le cours se déroula sans trop de soucis. Seb, toujours en train de mâcher un chewing-gum bruyamment, les pieds sur la table, ne daigna même pas répondre au professeur. Krystal se fit réprimander pour me faire passer des messages avec marquer « je t’aime » dessus et moi, je ne sortit de mon semi coma d’hiver que pour expliquer la définition d’un zeugma. La sonnerie retentit pour la deuxième fois et toute la classe se dirigea vers la salle d’histoire géographie. Seb, cette fois, ne se contenta pas de ne rien faire en cours. Cette fois, il sécha les cours pour aller traîner dans les rues de Paris. Krystal, fanatique de la leçon, se concentra tellement qu’elle en oublia de se retourner vers moi pour me sourire. Mais en plein milieu du cours, rebondissement inattendu, l’alarme incendie sonna, obligeant tout professeur à suspendre momentanément son cours. Le prof, exaspéré, voulu continuer mais il dut bien descendre dans la cour comme tout le monde. La classe, plus que joyeuse qu’on arrête de parler de la décadence de Rome, sortit très vite te tous les élèves se pressèrent dehors. Mais une fois dehors, dans le froid, et sous la pluie qui venait de commencer, tout le monde fut moins enthousiasme, ce qui fit ricaner notre professeur. Après une attente interminable, et la pause commencée, on nous libéra enfin et je pus faire remonter la température de mon corps. Je partis rejoindre Seb, assis sur un banc, en traînant Krystal pendue à mon bras.
- Ca va toi ? lançais-je à Seb.
- Mon coup à marché donc ça va super bien, dit-il en souriant.
- QUOI ? C’est à cause de toi si je me suis gelée pendant 10 minutes ?cria Krystal.
- Pourquoi tu sors en tee-shirt manche courte quand il fait 0 degrés aussi ?
- Parce que le tee-shirt manche courte m’a coûté 60 euros et que je n’avais pas prévu de sortir !
- Quels arguments ! se moqua-t-il
- Arrêtez de vous bouffer le nez tous les deux ! finis-je par lâcher. Mais ils ne se calmèrent pas et passèrent le reste de la pause à s’enfoncer l’un l’autre. Je ne pris pas la peine de les écouter et m’assit à l’autre bout du banc pour observer quelques arbres dont le mouvement répété des feuilles ballottées par le vent devenait si relaxant qu’il en était presque hypnotique. Puis vint l’heure de retourner en cours.

[Fullgrim]

J'ai bien aimé. Bientôt la suite??
en tout cas merci tu m'a redonné un petite envie de lire après 3h de suite sur "les cerveaux-land de Kaboul"(pour que 150 malheureuse pages) m'ont dégoûté pour un moment et sa me change de "mort ou damné" et "paroles de sang". Des livres si pacifiques qui parle que d'amour de joie et d'eau fraîche on le contact rien qu'aux noms....
Je vais voir les autres oeuvres dans cette section quand j'aurai 5min^^

[poisson]

(je ne suis pas du tout bon en français loin de la et je te donne juste mon ressenti.)

j'ai bien aimé aussi, juste je trouve que tes phrases sont trop lourde sa ralentie trop la lecture et on ne ressent pas assez l'aspect "furry" du roman ^^.

pk tu demande pas a ta prof de français de t'aider???
je pense qu'elle pourra te donner plein de bon conseil.
en tout cas il seront toujours meilleurs que les miens

voila, voila et bonne continuation.

[Rudolf]

(je ne suis pas du tout bon en français loin de la et je te donne juste mon ressenti.)

j'ai bien aimé aussi, juste je trouve que tes phrases sont trop lourde sa ralentie trop la lecture et on ne ressent pas assez l'aspect "furry" du roman ^^.

pk tu demande pas a ta prof de français de t'aider???
je pense qu'elle pourra te donner plein de bon conseil.
en tout cas il seront toujours meilleurs que les miens

voila, voila et bonne continuation.

Faut pas dire que les tiens sont pas biens !!!!

Et merci pour les remarques, je note ...

Et je demanderais ptêt à ma prof , mais que si je galère ( je suis le genre a faire le maximum tout seul pour ne pas gêner les autres ( bien que là, ça ne la gênerai pas ) )

[Jack Norisk]

Hum... C'est trop long comme début. Enfin long, dans le sens que la description alourdie ton texte c'est dommage. N'hésite pas à faire un peu de dialogues ou des pensées pour expliquer certains passages. Ça éclaircit un peu le texte et le rend plus agréable à lire.

Sinon pour l'instant au niveau de l'histoire : ben, à part le résumé on ne sait pas grand chose. Écrit-nous donc la suite ! ^^

[L'ai lu finalement ! xD]

[Tho Panda]

Ho la la...

Je lis le prologue, je dis non.
Qu'est ce que c'est que ce mélange de tout et n'importe quoi? J'irais pas plus loin dans la lecture. C'est franchement n'importe quoi:

Pour faire simple, on va se limiter à la peste, les 2 guerres mondiales, le crack boursier de Wall street, le réchauffement climatique, la pollution

un style de vie diffèrent qui les rejette plus ou moins de la société. On note surtout les protestants, les juifs, les homosexuels…

Je voulais juste rappeler cette petite phrase qui illustre ma situation actuelle : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »

Bon je cite trois phrases mais je m'aperçois que je suis en train de TOUT citer en fait.
On passe de sexualité, à religion, de peste à guerre à crack boursier.... WTF?! Et pour déboucher où? Sur Lavoisier?! Non je dis non! (et lui aussi surement...)

De plus... Si on fait exception de cet amalgame hérétique, on tombe dans une histoire totalement absurde...
Si on prend en compte le fait que le crash boursier se soit produit, nous sommes au moins au 21eme siècle et dans un monde à peu prés similaire au notre excepté qu'il y'a des animaux anthro mélangé à la population. Donc tous les humains sont stupides et/ou ont régressés socialement (voir mentalement) pour reprocher aux anthros ce que la religion a pu reprocher aux homosexuels (les tremblements de terre) ou ce que les blancs ont pu reprocher aux noirs (pas bruler assez vite sur la croix?). Je trouve donc qu'il y'a un sérieux problème sur le background de cet univers, et même si on l'admet, c'est du simplifié et baclé (dans le sens où c'est une idée à peine posée sur le papier, sans aucun développement derrière), sans parler du fait que c'est du réchauffé (voir tes cours d'histoire) ce qui apporte selon moi une base totalement instable à tout début d'histoire.

Ensuite y'a deux trois (euphémisme) passages qui me gènent...:
-"j’ai nommé mon équipe, les furrys"
Mon équipe
.
.
.
DONNEZ MOI UN F, DONNEZ MOI UN U! VOICI LES FUFU! D'où on parle de son espèce comme d'une équipe?

-"Espérons qu’avec le temps le temps, un gentil maître"
Oulà... un gentil maître? Genre un gentil dictateur? Avec des gentilles chambres à gaz? Non, encore un problème là...

-"des ragots amènent les humains et les furrys à se détester"
Des ragots sacrément violents! Enfin ça c'est un point qui me parait crédible... Avec les furries les dramaqueen ça pleut *merci merci, clin d'œil a sa panthère favorite*


Enfin, tu aurais pu selon moi faire un effort au niveau des noms: Wolf le loup.... Et il devient pote avec Humain, l'humain?

Bon tout ça c'est que mon avis perso et y'en a qui ont l'air d'aimer hein. Mais je te dis ce qui me saute aux yeux.

Pour terminer sur une note amusante "Seb un dragon bad-boy"... Un bad-dragon donc? ahahah

[Kaeku]

C'est un peu niais...
Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est nul mais je n'apprécie pas, il en faut pour tout les gouts

"Espérons qu’avec le temps le temps, un gentil maître arrive et fasse régner la paix ou que les deux camps prennent d’eux même l’initiative."

Heuuuu?

[Rudolf]

Depuis le succès TRES mitigé de mon dernier essai de roman, j'ai pris en compte les remarques et j'ai retenté le coup, en m'entrainant dur. Le fruit de ce travail est le prologue d'un roman que je travaille depuis deux semaines. J'espere m'être amélioré...

Synopis : Les parents d'Ash sont morts lors d'un accident quand il avait trois ans. Des furrys l'ont recueilli et il a recommencé une nouvelle vie. La seule séquelle qu'il garde de ce jour est le fait qu'il voit des fantomes. Ca ne gène pas sa vie jusqu'au jour ou son frère Sebastien est retrouvé pendu dans sa chambre. La police humaine et furry déclare le suicide d'un commun accord. Mais Sebastien, devenu fantôme, va voir Ash et lui raconte ... le meurtre. Ash va alors tenter de mettre l'assassin sous les verrous, son don étant un allié de taille mais aussi une puissante barrière.

Prologue

J’avais trois ans. J’avais trois ans quand mamie Ours, comme nous l’appelions, nous a invitée à passer nos grandes vacances chez elle. J’avais trois ans quand nous sommes partis un lundi vers le sud, le coffre rempli de bagages. J’avais trois ans quand nous roulions sur une petite route en forêt. J’avais trois ans quand le camion s’est renversé. J’avais trois ans quand nous avons glissé dans la chaussée. J’avais trois ans quand mon père a crié. J’avais trois ans quand ma mère a fermé les yeux.

J’avais trois ans quand mes parents sont morts.

Aujourd’hui, j’ai quinze ans et je vis dans une famille furry qui m’a recueillie après le décès de mes parents -le grand voyage vers le pays blanc, comme on disait au début-. J’y vis depuis que mamie Ours a décidé de faire le tour du monde en solitaire. Aujourd’hui, tout va bien, j’ai des amis, une famille, je vis des jours heureux, entre mes connaissances furry et humaines. Mais j’ai gardé un don -ou une malédiction-, depuis ce jour du grand pays blanc : je vois des fantômes. Tous, je les vois tous. Les morts de vieillesse, d’accident, de meurtre, de suicide, de maladie,… Ils me font voir leur vie en rêve, me parle d’eux le jour. Je me promène dans la rue et j’entends une conversation, ou je vois une situation passée dans laquelle un mort a été mêlé, sans que personne ne me prévienne. Je vois mes parents aussi. Je continue de voir le sourire de ma mère, terni par la mort. Je continue d’entendre le rire de mon père, assombri par le pays blanc. Mais j’ai révolu le temps du jeu ou des câlins avec eux. J’ai révolu cette période.
J’ai révolu mon passé.

J’ai embrassé une nouvelle vie depuis ce jour. J’ai déménagé depuis ce jour. Pour ne plus voir le chemin en forêt. Pour ne plus voir le camion. Pour ne plus voir l’hôpital. Pour ne plus voir mon passé.
Mais le passé rattrape tout le monde et depuis ce jour, les morts me harcèlent. « Fais passer un message à ma femme », « dis à Gégé que je ne pourrais plus le rembourser », « dis à Clara que je m’excuse », « dis à mes enfants qu’ils me manquent », « dit à mon assassin que je sais que c’est lui et que je le tuerai ». « Passe une bonne journée » disent mes parents. Passe une bonne journée SANS NOUS. Passe une bonne journée TANT QUE TU PEUX ENCORE EN PASSER UNE. Passe une bonne journée TOI. Je sais qu’ils pensent ça. Je sais qu’ils veulent que je profite de la vie que j’ai, mais je sais qu’ils aimeraient aussi avoir put profiter de la vie qu’ils auraient dut avoir. Ca se voit dans leurs yeux. Mais j’avais trois ans.

J’avais trois ans, eux trente-sept et trente-deux. J’ai survécu, pas eux. Je suis en vie, pas eux.

[Esperal]

-Au début de ton texte, je trouve que le fait d'utiliser l'anaphore est une bonne idée. Ça donne du rythme au récit. Mais attention!
Il ne faut non plus pas trop en abuser.
Pour remédier à ça, essaye plutôt de "fusionner" quelques unes de tes phrase. Par exemple:

J’avais trois ans quand le camion s’est renversé. J’avais trois ans quand nous avons glissé dans la chaussée.

Tu peux reformuler ce passage comme ça:

"J'avais trois ans quand le camion s'est renversé, qu'il a glissé dans la chaussée.
J’avais trois ans quand mon père a poussé son dernier cri, quand ma mère a définitivement fermé ses yeux."
Enfin c'est comme ça que je le vois. Les avis peuvent ensuite différer hein

Puis, tu marque un espace sur cette phrase:

J’avais trois ans quand mes parents sont morts.

Bonne idée. Ça la rend d'autant plus insistante.

La suite maintenant:
Tes deux derniers paragraphes sont ( je trouve ) bien conçus. Les faits que tu veux faire ressentir au lecteur sont correctement exprimés, ce qui rend le texte "plausible".

Conclusion:
Bah dis-donc sa à carrément plus rien à voir avec ton premier prologue!
C'est mille fois mieux écrit, mille fois plus subtil comme intro!
Malgré les unes ou deux 'tites truffes qui se cachent à droite et à gauche, c'est ( selon moi ) nettement mieux!

Ensuite chacun ses préférences mais de mon côté, je dis: Ne t'arrêtes pas!
Bonne chance pour la suite.